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Ma "seconde religion" est la COHABITATION (une heure un livre) Amadou sarre mabo
Jam hiire mon musidbe teddube
Kalidou gueye
Je suis militant de arc-en-ciel, le Pmc, communiquez moi vos coordonnées que je remettrai au président Balas .
Merci. Kalidou gueye
Je suis un militant de Arc-en-ciel, le Pmc, envoyez moi vos coordonnées pour que je les communique au président Balas.
Merci Kalidou gueye
Mon e-mail est le suivant.
gseydioumar@yahoo.fr Kalidou gueye
À monsieur le webmaster de Boolumbal !
Merci d,avoir mis en ligne la vidéo du président Balas. Cependant, je n'ai pas vu , le texte écrit par Mr Balas , qui accompagne la vidéo. Je me permets de vous coller le fichier afin que vos lecteur le lisent . Ils comprendront beaucoup de choses. Merci. Ma "seconde religion" est la COHABITATION. Arc-en-ciel, le parti mauritanien du concret, a eu l’honneur, ce mercredi 08/01/2014, d'être invité à l'émission: "1h avec un livre", sur la chaîne Chinguit TV animée par Mr Brahim Bakar ould Sneiba , ex officier supérieur de l'armée mauritanienne , aujourd'hui, devenu écrivain journaliste. Initialement, l'émission devait être littéraire, culturelle et débattre du livre intitulé : " Ou va la Mauritanie ? ", écrit par Mr Isselmou ould Abdel Khadre, ancien Wali, ancien ministre, sous le magistère de Maouya ould Sid'Ahmed Taya. Le point d'orgue de l'émission a été atteint quand cet ancien ministre, sans réfuter sa part de responsabilité dans la solidarité gouvernementale, a volé au secours de Maouya ould Sid'Ahmed Taya, pour démontrer que celui-ci n'était pas raciste. Comme première preuve, précise t-il, c'est avec la complicité de ses amis officiers negro-mauritaniens: feu Colonel Yall Amadou, Colonel Anne Amadou Babaly, Colonel Siliman Soumare, Commandant Diop Mamoudou, qu'il avait pris le pouvoir. http://www.youtube.com/watch?v=Xcg1WftOC7c Selon lui, Maouya, était devenu otage du système mis en place méthodiquement par les mouvements extrémistes arabo-berbères, bassistes, nasseriens, qui avaient savamment infiltré tous les rouages du pouvoir et principalement, les services de renseignement, de tous les corps et du Bed. Ces mouvements, puissamment installés, partout, l'avaient dressé contre la communauté noire, en lui faisant croire, photos, documents et montages à l'appui, que celle -ci, au niveau de l'armée, s'apprêtait à le destituer et à broyer tous les arabo-berbères. Mr Isselmou ould Abdel Khadre, était quant à lui , pendant ces années de braise , Wali du Brakna ( Aleg ). Pour ce qui le concerne, il a suivi sa conscience et refusa de verser dans la vindicte, la chasse aux Pulaars. Mieux, il a été l'un des très rares, pour ne pas dire le seul, à oser libérer tous les prisonniers noirs à Bouhadida, entre Aleg et Boghe. Ces détenus qui attendaient dans les cellules de la mort , venaient exclusivement de Aéré Golere, Aéré Mbar, Djoudé Djery et Bababé. Après l'émission, certains militants d'Arc-en-ciel , m'ont téléphoné pour confirmer les propos de Mr Isselmou qui les a effectivement sauvés de la mort. Ces miraculés, précisent, à son corps défendant, qu'ils étaient au nombre de 27 dont 7 femmes allaitantes, avec leurs bébés. Hélas ! Les détenus de Rosso, n'avaient pas bénéficié de cette aubaine pour échapper aux griffes du directeur régional de la sûreté, le tristement célèbre Cheikh ould Mohamed Salem. La dernière goutte qui a fait déferler son vase , fut , lorsqu'il a abattu, en tirant à bout portant , entre Rosso et Boghe , sur un jeune berger peulh , qui avait, à juste titre, refusé de lui céder deux de ses moutons pour qu'il en fasse son festin de weekend . Cette bavure, lui valut, la radiation du corps de la police et il vit actuellement, en toute quiétude, dans son campement de Lejouad dans la commune de Aéré Mbar, département de Bababé. Hélas également ! Pour les multiples et très nombreux exécutés à " kadiel bossori " qui veut dire en pulaar, la petite colline boucherie, située entre Sélibaby et Woul Yenzé du temps de Dah ould Abdel jelil, Wali du guidimaka , où un nombre inimaginable de peulhs, ont été égorgés comme des moutons et ensevelis comme des scélérats. Mr Dah ould Abdel Jelil, en sa qualité de Wali, confisquait systématiquement, les armes détenus par les peulhs et au même moment, il les remettait à ses sbires, qui ne tardaient pas à leur tour, à faire les sales besognes. J'interpelle solennellement l'ancien Wali ,Dah ould Abdel Jelil, pour lui demander, où sont passés les 13 habitants du village de Mouta, qui ont disparus depuis ce temps à nos jours? Il y'avait parmi eux des femmes en état de grossesse et des enfants en très bas âge. Le chef de village, Goumbo Diawo, ( ami à mon feu père Hamady Soma ), charlatan, de son état, revenait de Nouakchott, avec le fruit de son travail de connaisseur traditionnel: un peu d'argent, quelques objets de valeur ( postes radios , magnétophones, couvertures de premier choix.... ) qui avaient aiguisé l'appétit vorace des gardes ou militaires qui l'avaient vu debarquer de "Noua". Tout ce petit village d'éleveurs, d'innocents petits enfants, de femmes et de pauvres vieillards a été exterminé et effacé de la terre. Cette cruauté n'a d'égale que celle des nazis d'Adolphe Hitler, qui avaient agi de la sorte à Oradour sur Glane ( France ) le 10 juin 1944. Hélas ! Qu'il n'y eut pas eu, plusieurs Isselmou ould Abdel Khadre ! NB: A Arc-en-ciel, le Pmc , notre devise est : Unité , Égalité , TRANSPARENCE ; nous sommes alors tenus, à ne jamais utiliser la langue de bois; nous enseignons aux générations montantes, à notre jeunesse, la culture de la vérité et non celle de la réussite effrénée, de la connivence, de la couardise et de la mascarade. Comment accepter, que notre colonel président Maouya n'avait rien vu de tout cela ? Sauf que, dit-on : qu'il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. D'autres, seraient tenté de croire, que la cécité de Maouya, est due, alors, à la distance qui le sépare, de ses Walis et de leurs sbires. Non ! Un chef d'état, a, son œil et son oreille, au moins, partout, sur l'ensemble de son territoire. Si les Walis et autres responsables de la république qui écumaient sur le reste du territoire, échappaient à son contrôle, du fait de la distance; le président Maouya, son directeur général de la sûreté, ELy ould Mohamed Fall ( Vall ) et ses trois chefs d'état major ( Armée, Gendarmerie, Garde nationale), parcontre, ces derniers, alors qu’ils etaient tous dans la ville de Nouakchott, fermaient les yeux sur les saccages de tous les biens des opérateurs économiques noirs. Pourquoi, ELy ould Mohamed Fall, rétorquait t-il, à feu Hamdi Samba Diop, ministre du commerce et Baro Abdoulaye, secrétaire général de la présidence, qui lui demandaient, avec insistance, de voler au secours du Supermarché Balas. qu'il n'avait aucun élément disponible, alors que des policiers en tenue, étaient parmi la foule de vandales ? Il n'avait pas été le seul à répondre ainsi, les trois chefs d'état major avaient répondu de la même manière aux multiples S O S, lancés par feu Hamdi Samba Diop ( Qu'Allah aie pitié de son âme ) et Baro Abdoulaye à qui je manifeste ici ma reconnaissance éternelle. Cette identique réponse des plus hautes autorités chargées de la sécurité de l'ensemble du peuple mauritanien, m'a contraint à prendre mon arme et à m'auto- défendre. Tenez-vous bien ! Aussitôt que le premier coup de feu retentit dans la clameur, autour du Supermarché Balas, le colonel ELy ould Mohamed Fall, directeur Général de la sûreté, éleva son toupet, jusqu'à m'appeler au téléphone, pour m'intimer, l'ordre de remettre mon arme, et de me rendre, au commissaire Samba Diallo, accompagné de deux inspecteurs de police. Faute de quoi, il bombardera l’immeuble, dans le quel ma famille et moi étions pris en otage. Par pudeur, je vous dispenserai de la réponse, que je lui ai adressée. Un jour les enregistrements de mauritel, restitueront. Quoi de plus normal, légal et légitime d'exercer, devant la lâche démission, de son état, d'exercer son auto-défense et son devoir de protection des 17 membres de sa famille, encerclés par des milliers de malfrats? Poussés par mes concurrents ( SM DIPAL ) appartenant à Abdou ould Maham et soutenus par le système étatique ; ces drogués, comme des zombies, avaient pour mission d'effrayer tout autre pulaar qui aurait l'audace de se hisser à leur niveau . Il faut le reconnaître, Le Supermarché Balas, était la fierté de tous ces nombreux pulaar, qui étaient désormais convaincus, qu'il n'est pas impossible à un des leurs de réussir dans le business. C'est ce démenti qui constitue, le GRAND PECHE, commis par Mr Balas, contre le système qui veut faire croire que, les noirs de Mauritanie en général et les pulaar en particulier, ne peuvent réussir le commerce du fait de leur folie dépensière, de leur incapacité de s'astreindre au fast pendant la période primaire d'accumulation du capital. Ce que mon ami, Mohamed ould Hacen, professeur d'économie, à l'université de Nouakchott, appelle, " le jeûne ", "l'abstinence" du début commercial. Toutefois, Arc-en-ciel , le Pmc , croit dur comme fer, que l'argument avancé, à savoir que Maouya ould Sid'Ahmed Taya n'avait pas ordonné bon nombre de ces aberrations et qu'il n'était même pas au courant de plusieurs autres , ne le dédouane nullement. Il était le commandant en chef, celui qui a délégué une portion de ses pouvoirs aux Walis , Hakems , commandants de bases militaires , commandant de brigades de gendarmerie , commissaires de police , chefs de détachements de la garde nationale , jusqu'aux larcins et petits agents administratifs véreux , qui sévissaient et écumaient sans pitié. Un de ces larcins, officier supérieur, directeur de l'école de gendarmerie de Rosso, l'ex-capitaine Leytou ould Said, avait chargé plusieurs vaches de peulhs du trarza, pour les "déporter" à Aleg; la remorque de vaches fut arrêtée à Boutilimitt. Cela est un secret de polichinelle, parce que connue de tout les Mauritaniens Maouya ould Sid'Ahmed Taya doit assumer la responsabilité de tout, et de tous. Arc-en-ciel , le Pmc , le considère comme étant le principal responsable et tous les autres assassins , voleurs , violeurs sont solidairement responsable avec lui. Tous doivent répondre, ici bas, devant les tribunaux nationaux ou internationaux, de leurs actes ignominieux, des atrocités qu'ils ont fait subir à leurs compatriotes, avant, irrémédiablement, de le faire devant l'infaillible jugement dernier. Vous l'aurez alors constaté, l'aspect politique et principalement la question de la problématique de la cohabitation entre la communauté arabo-berbère et negro-mauritanienne a pris le dessus sur la littérature, la culture, qui devaient être le plat de résistance de l'émission de mon désormais, frère et ami Brahim Bakar ould Sneiba. Nonobstant tout ce qui précède, le peuple mauritanien, doit se surpasser, il aura plus à gagner, à faire son mea-culpa et rebâtir la bonne cohabitation en organisant un véritable débat national, comme celui tenu en Afrique du Sud sous la volonté de Mandela. Il est maintenant évident que, chez nous en Mauritanie, au lieux que: tous les chemins mènent à Rome , c’est tous les débats , toutes les discussions et / ou causeries qui mènent à la problématique de la cohabitation entre les "Kowri" et les ( "thiapato , "naar","sourake " ) . J'utilise volontiers, ces vocables, pour susciter les plaisanteries amicales du cousinage Germain. Cette trouvaille, purement africaine, huile les relations entre les peulhs et leurs "captifs" "sérères", entre le " naar gannar " de Mauritanie et les " Wolofs " du Sénégal , etc, etc... La plaisanterie, du cousinage à germain, dilue les rancœurs et lubrifie les relations humaines. Alors , de Grâce , qu'il n'y ait plus de questions qui fâchent; bannissons la langue de bois et prenons le taureau par les cornes, le mal à sa racine, pour nous débarrasser de cette patate chaude qui nous brûle les mains. Cette responsabilité revient de prime à bord, à l'Etat mauritanien, et à son premier chef, Mohamed ould Abdel Aziz, ainsi qu'à l'ensemble du peuple mauritanien, c.a.d , à chacun de nous. Arc-en-ciel, le Pmc, pour sa part, s'y attellera. Vaille que vaille. Notons également, au passage, que le simulacre de règlement du passif humanitaire concocté par Mohamed ould Abdel Aziz, n'a été qu'un coup d'épée dans l'eau, qui n'a permis qu'à une certaine mafia dirigée par de grosses pointures de se sucrer au dépens des véritables victimes militaires, paramilitaires, civils et d’operateurs économiques. Pour sauver notre prometteuse Mauritanie et lui éviter les affres qu’ont enduré beaucoup de pays africains, et que vivent actuellement les peuples du sud, sud soudan et de la république centrafricaine, ayons le courage, de crever les abcès et vivement que nous nous disions haut et fort, ce que nous nous marmonnons en longueur de journée, dans les bureaux, salons, véhicules de transport, etc , etc . Ainsi , nous prouverons, à la face du monde, notre maturité politique et notre stoïcisme, de pouvoir aller directement à la table de négociations sans passer forcément par la désastreuse case de la confrontation . Mes chers compatriotes , je me veux lanceur d'alertes, et, Arc-en-ciel, le Pmc , notre rampe de lancement, le cap Canaveral de la Mauritanie. Désormais , avec Arc-en-ciel , le Pmc , le soleil brillera pour tous les mauritaniens. In Cha'Allah ! ! ! Balas Président , Arc-en-ciel, Le Pmc . Ecrire une réponse
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