Dans une déclaration publiée le 5 décembre 2024 sur le site CRIDEM, signée par Mesdames Aissata Alassane Diallo et Aissata Mamadou Anne, présidente de l'association AFVDH, il est affirmé qu’elles s’inscrivent dans la démarche des négociations en cours pour le règlement du passif humanitaire et qu’elles ne souhaitent pas participer à des initiatives non inclusives.
Je tiens à apporter les précisions suivantes :
1. Inconnaissance de l’association AFVDH
Je ne connais pas l’existence de l’association AFVDH, et dans le cadre de la préparation du voyage de deuil à Inal, cette association n’a à aucun moment été mentionnée ou impliquée. Mes déclarations, y compris mes communications audios, ne s’adressaient donc pas à une entité dont j’ignore l’existence.
2. Libre participation au voyage de deuil
Il est important de souligner que toute personne ou entité est libre de participer ou non au voyage de deuil à Inal. Cela relève d’un choix personnel ou collectif qui doit être respecté.
3. Le symbolisme du voyage à Inal
Ce voyage dépasse le cadre d’un simple déplacement. Il représente un hommage solennel aux souffrances passées et incarne une exigence de justice historique pour les victimes du passif humanitaire. C’est un acte de mémoire et de reconnaissance qui ne saurait être entravé ou réduit à des considérations secondaires.
Inquiétude sur l’orientation du débat
Imposer des obstacles ou diluer ce moment de recueillement dans des enjeux politiques soulève des inquiétudes légitimes. Il est crucial de ne pas détourner cet hommage collectif de son essence : honorer la mémoire des victimes et porter haut l’exigence de vérité et de justice.
Je réaffirme donc l’importance de préserver la symbolique et la dignité de ce voyage. Toute démarche visant à limiter ou détourner cette initiative ne ferait que renforcer la nécessité d’un débat transparent et respectueux autour des responsabilités historiques.
Abou SARR
Je tiens à apporter les précisions suivantes :
1. Inconnaissance de l’association AFVDH
Je ne connais pas l’existence de l’association AFVDH, et dans le cadre de la préparation du voyage de deuil à Inal, cette association n’a à aucun moment été mentionnée ou impliquée. Mes déclarations, y compris mes communications audios, ne s’adressaient donc pas à une entité dont j’ignore l’existence.
2. Libre participation au voyage de deuil
Il est important de souligner que toute personne ou entité est libre de participer ou non au voyage de deuil à Inal. Cela relève d’un choix personnel ou collectif qui doit être respecté.
3. Le symbolisme du voyage à Inal
Ce voyage dépasse le cadre d’un simple déplacement. Il représente un hommage solennel aux souffrances passées et incarne une exigence de justice historique pour les victimes du passif humanitaire. C’est un acte de mémoire et de reconnaissance qui ne saurait être entravé ou réduit à des considérations secondaires.
Inquiétude sur l’orientation du débat
Imposer des obstacles ou diluer ce moment de recueillement dans des enjeux politiques soulève des inquiétudes légitimes. Il est crucial de ne pas détourner cet hommage collectif de son essence : honorer la mémoire des victimes et porter haut l’exigence de vérité et de justice.
Je réaffirme donc l’importance de préserver la symbolique et la dignité de ce voyage. Toute démarche visant à limiter ou détourner cette initiative ne ferait que renforcer la nécessité d’un débat transparent et respectueux autour des responsabilités historiques.
Abou SARR