Au cours d’un match animé, les Algériens n’ont toujours pas réussi à trouver le chemin des filets. Élimination logique donc pour l’équipe la moins prolifique de la Coupe du monde. De leur côté les États-Unis, secoués en début de rencontre, ont failli regretter leurs occasions manqués. Mais réussissent toutefois à s’imposer 1-0 dans le temps additionnel.
C’était un grand défi qui attendait les Fennecs mercredi après-midi à Pretoria : décrocher leur qualification pour les huitièmes de finales. Les Algériens semblent à la hauteur du défi, tant leur début de match apparaît prometteur. Pressant haut, combinant bien au milieu du terrain, les Fennecs ne tardent pas à se procurer une énorme occasion par l’intermédiaire de Djebbour qui tape la transversale (6e).
Les États-Unis ne tardent pas à réagir mais Mbohli, excellent tout au long de la première période, se détend bien sur une frappe lointaine de Gomez (7e).
Critiqué pour ne pas avoir assez tenté lors de leur deux premiers matches, les joueurs de Rabah Saâdane multiplient les frappes lointaines (9e, 14e, 16e, 38e, 43e). Intéressant dans l’entre-jeu, la finition dans les 20 derniers mètres laisse toujours à désirer du côté des Fennecs malgré les efforts de Djebbour et Matmour pour se rendre disponibles.
Les joueurs de Bradley disposent moins du ballon mais l’utilisent mieux. Menés au score 2-0 contre la Slovénie lors de leur deuxième match, les coéquipiers de Donovan n’ont pas paniqué dans cette rencontre. Cette capacité de réaction, déjà prouvé face à l’Angleterre, leur servira une nouvelle fois. Surtout, ils profitent des errances défensives de leur adversaire. A trois défenseurs centraux du côté algérien, des espaces se créent pour les Yankees. Suite à deux erreurs des défenseurs, Dempsey marque mais se voit refuser le but pour une position de hors-jeu très discutable (20e). A la 35e, suite à un bel arrêt de Mbohli, Altidore gêné par Donovan rate le cadre alors que le but était pourtant totalement ouvert.
Toujours la même histoire, donc, pour les Fennecs, une équipe intéressante, présente au milieu de terrain, mais manquant cruellement de percussions offensives. Alors que les deux équipes sont éliminées par ce résultat nul, les États-Unis vendangent une nouvelle fois une occasion immanquable, le cadre échappe à Dempsey alors que but était vide (57e). Mbohli toujours aussi énorme sauve encore son équipe à trois reprises (65e, 68e, 79e).
Balançant de plus en plus de centres lointains, les coéquipiers d’Antar Yahia n’ont que peu de chances d’inscrire leur premier but de la compétition. Les Algériens n’ont plus l’air de vraiment y croire et montrent des signes de fatigue. La fin de match est tendue mais les deux équipes peinent à créer du danger. Alors qu’on croit la rencontre terminée les États-Unis lancent un contre fulgurant, les Fennecs ne sont plus en place après une ultime parade du portier du Slavia Sofia, Donovan parvient enfin à concrétiser pour les Yankees, et envoie son équipe en huitièmes de finale. (1-0, 91e)
Les Etats-Unis ont failli laisser passer leur chance que ce soit par maladresse ou grâce aux parades de l’étonnant Rais Mbohli. Les Américains finissent premier du groupe F devant l’Angleterre. Quant à l’Algérie, elle a sans doute plus tentée mais hormis la première énorme occasion de Djebbour en tout début du match, les joueurs de Rabah Saâdane ont encore témoigné de leur manque évident de percussion offensive. Zéro but en trois matches, les Fennecs ne pouvaient pas espérer beaucoup mieux qu’une élimination. Dommage toutefois, tant cette équipe paraissait prometteuse dans l’entrejeu.
C’était un grand défi qui attendait les Fennecs mercredi après-midi à Pretoria : décrocher leur qualification pour les huitièmes de finales. Les Algériens semblent à la hauteur du défi, tant leur début de match apparaît prometteur. Pressant haut, combinant bien au milieu du terrain, les Fennecs ne tardent pas à se procurer une énorme occasion par l’intermédiaire de Djebbour qui tape la transversale (6e).
Les États-Unis ne tardent pas à réagir mais Mbohli, excellent tout au long de la première période, se détend bien sur une frappe lointaine de Gomez (7e).
Critiqué pour ne pas avoir assez tenté lors de leur deux premiers matches, les joueurs de Rabah Saâdane multiplient les frappes lointaines (9e, 14e, 16e, 38e, 43e). Intéressant dans l’entre-jeu, la finition dans les 20 derniers mètres laisse toujours à désirer du côté des Fennecs malgré les efforts de Djebbour et Matmour pour se rendre disponibles.
Les joueurs de Bradley disposent moins du ballon mais l’utilisent mieux. Menés au score 2-0 contre la Slovénie lors de leur deuxième match, les coéquipiers de Donovan n’ont pas paniqué dans cette rencontre. Cette capacité de réaction, déjà prouvé face à l’Angleterre, leur servira une nouvelle fois. Surtout, ils profitent des errances défensives de leur adversaire. A trois défenseurs centraux du côté algérien, des espaces se créent pour les Yankees. Suite à deux erreurs des défenseurs, Dempsey marque mais se voit refuser le but pour une position de hors-jeu très discutable (20e). A la 35e, suite à un bel arrêt de Mbohli, Altidore gêné par Donovan rate le cadre alors que le but était pourtant totalement ouvert.
Toujours la même histoire, donc, pour les Fennecs, une équipe intéressante, présente au milieu de terrain, mais manquant cruellement de percussions offensives. Alors que les deux équipes sont éliminées par ce résultat nul, les États-Unis vendangent une nouvelle fois une occasion immanquable, le cadre échappe à Dempsey alors que but était vide (57e). Mbohli toujours aussi énorme sauve encore son équipe à trois reprises (65e, 68e, 79e).
Balançant de plus en plus de centres lointains, les coéquipiers d’Antar Yahia n’ont que peu de chances d’inscrire leur premier but de la compétition. Les Algériens n’ont plus l’air de vraiment y croire et montrent des signes de fatigue. La fin de match est tendue mais les deux équipes peinent à créer du danger. Alors qu’on croit la rencontre terminée les États-Unis lancent un contre fulgurant, les Fennecs ne sont plus en place après une ultime parade du portier du Slavia Sofia, Donovan parvient enfin à concrétiser pour les Yankees, et envoie son équipe en huitièmes de finale. (1-0, 91e)
Les Etats-Unis ont failli laisser passer leur chance que ce soit par maladresse ou grâce aux parades de l’étonnant Rais Mbohli. Les Américains finissent premier du groupe F devant l’Angleterre. Quant à l’Algérie, elle a sans doute plus tentée mais hormis la première énorme occasion de Djebbour en tout début du match, les joueurs de Rabah Saâdane ont encore témoigné de leur manque évident de percussion offensive. Zéro but en trois matches, les Fennecs ne pouvaient pas espérer beaucoup mieux qu’une élimination. Dommage toutefois, tant cette équipe paraissait prometteuse dans l’entrejeu.