Madame Kane Peya Gueye, épouse du candidat Kane Hamidou Baba est bien une figure marquante en Mauritanie eu égard à son dynamisme dans le secteur économique qui l’occupe depuis une vingtaine d’années. Dans cet entretien exclusif, celle que l’on considère comme une amazone parle de l’intérêt que la politique suscite à travers ses activités et considère la candidature de son mari, KHB comme l’unique occasion offerte au peuple mauritanien pour rompre avec les vielles habitudes funestes qui trente ans durant ont meurtri ce pays. Selon madame Kane, l’heure a sonné pour que les mauritaniens, toute communauté confondue prennent conscience de l’extraordinaire chance que KHB donne aux jeunes dont il a dédié sa candidature et aux femmes dont il partage un idéal et un projet de société pour une Mauritanie résolument tournée vers l’avenir. Entretien.
Q : On dit toujours que derrière un grand homme il y a une grande dame. Vous êtres l’épouse du candidat Kane Hamidou Baba qui brigue la magistrature suprême du pays. Qui est réellement cette grande dame qui se cache derrière un grand homme qui est le candidat Kane Hamidou Baba ?
Peya Gueye : Je suis Madame Kane Peya Guèye, opératrice économique et femme d’affaires. Je suis dans les affaires depuis une vingtaine d’années. Mais je suis un peu effacée car j’ai l’habitude de travailler dans l’ombre.
Q : Qu’est-ce qui explique votre présence au RFD aux côtés de votre mari. Cela veut dire que vous militez au Rfd ?
P.G. : J’ai toujours accompagné mon mari au sein du parti Rfd. Parce qu’en tant qu’épouse, je tenais à apporter ma contribution pour envisager l’avenir comme ce qui vient de se passer. Et pour envisager l’avenir, il faut faire les premiers pas en intégrant un parti politique. Voilà qu’aujourd’hui, M. Kane a pris une décision sage et courageuse de briguer la magistrature suprême en sollicitant le suffrage du peuple mauritanien. S’il était méconnu des Mauritaniens et du milieu politique, il n’allait pas prendre cette lourde responsabilité .
Q : Madame Kane est-elle pour quelque chose dans la décision prise par son mari de s’écarter du Rfd et de briguer pour la première fois la magistrature suprême ?
P.G : Je n’ai pas influencé mon mari dans sa prise de décision. Il a pris sa décision tout seul après avoir mûrement réfléchi. J’ai certes apporté quelques conseils dans ce sens au début. Mais il faut reconnaître qu’il a pris la décision tout seul et avec responsabilité .
Q : Est-ce qu’aujourd’hui Madame Kane qui aspire devenir la première dame de Mauritanie s’investit à fond pour apporter sa contribution à l’élection de son mari?
P.G : Evidemment. Je m’investis à fond mais discrètement à travers mes relations en tant que femme. J’utilise surtout ce créneau pour mobiliser l’électorat féminin en faveur de la candidature de mon mari. J’insiste pour dire que je m’investis dans l’ombre parce que c’est mon habitude.
Quelles sont les actions que vous avez posées concrètement pour appuyer la candidature de votre mari ?
P.G : Je l’ai accompagné dans le cadre de ses missions et prises de contact avec les Mauritaniens. Mais aussi et surtout, j’ai mobilisé pas mal de femmes à l’intérieur comme à l’extérieur de la Mauritanie. Et j’ai bon espoir que cela portera des fruits le moment venu. A Nouakchott par exemple, j’ai contribué à booster la gente féminine qui constitue un électorat important. Vous savez, quand l’élément féminin intervient dans ce que vous faîtes, vous avez de fortes chances de réussir. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que le candidat Kane a focalisé son programme sur la jeunesse et les femmes parce que ce sont des catégories sociales importantes et ce sont elles qui sont les plus vulnérables et les plus sensibles. En tout état de cause, je suis un élément complémentaire pour mon mari candidat.
Dans un autre registre, j’utilise mes parents, mes amitiés pour aider mon mari dans cette campagne. C’est dur mais je suis une femme combattante même si je travaille de manière inaperçue.
Avez-vous bon espoir pour l’élection de votre mari à la magistrature suprême au soir du 06 juin ?
P.G : Pourquoi pas ! Je suis sure que si la confiance que vouent les Mauritaniens à la candidature de M. Kane se concrétise, il gagnera à coup sûr. D’ailleurs, j’ai toujours eu bon espoir dans tout ce que je fais. Mieux, on ne va pas dans l’arène avec pessimisme. Je pense qu’on jubilera au retour de l’arène.
Sur quoi madame Kane fondent ses espoirs ?
P.G : Mes espoirs se fondent sur la personnalité de M. Kane, son intelligence, ses capacités intellectuelles, son expérience politique avérée, sa maîtrise de la chose publique et sur l’amour qu’il voue aux Mauritaniens et pour le pays.
Si demain vous devenez la première dame de Mauritanie, quelles seront vos priorités pour la femme mauritanienne?
P.G : D’abord, ma priorité ce sera la participation des femmes dans les instances de décisions. Les femmes sont absentes sur l’arène politique. C’est vrai qu’on avait accordé un taux de participation des femmes dans la fonction publique de 20% mais cela n’était pas suffisant et les femmes sont encore lésées et/ou frustrées. J’apporterai des projets aux femmes pour qu’elles puissent travailler et devenir des forces complémentaires dans la gestion des foyers. Et là je parle de toutes les femmes de la Mauritanie pas seulement celles de Nouakchott.
Alors quel appel lancez-vous aux femmes à cet effet ?
P.G : Je m’adresse surtout à toutes les femmes, à mes sœurs et amies. Il faut se réveiller. C’est maintenant ou jamais. Ce pays a été longtemps dirigé par les hommes et les femmes qui n’ont jamais eu la place qui sied avec leurs préoccupations quotidiennes. C’est une chance qui leur a été offerte cette fois-ci. Je lance donc un appel à toutes les femmes de s’impliquer dans la vie politique, de se mobiliser autour de la candidature de Kane Hamidou Baba qui est le candidat de l’espoir, des jeunes et des femmes pour qu’elles trouvent demain la place qui leur revient entièrement et de manière définitive.
Source: HK
Q : On dit toujours que derrière un grand homme il y a une grande dame. Vous êtres l’épouse du candidat Kane Hamidou Baba qui brigue la magistrature suprême du pays. Qui est réellement cette grande dame qui se cache derrière un grand homme qui est le candidat Kane Hamidou Baba ?
Peya Gueye : Je suis Madame Kane Peya Guèye, opératrice économique et femme d’affaires. Je suis dans les affaires depuis une vingtaine d’années. Mais je suis un peu effacée car j’ai l’habitude de travailler dans l’ombre.
Q : Qu’est-ce qui explique votre présence au RFD aux côtés de votre mari. Cela veut dire que vous militez au Rfd ?
P.G. : J’ai toujours accompagné mon mari au sein du parti Rfd. Parce qu’en tant qu’épouse, je tenais à apporter ma contribution pour envisager l’avenir comme ce qui vient de se passer. Et pour envisager l’avenir, il faut faire les premiers pas en intégrant un parti politique. Voilà qu’aujourd’hui, M. Kane a pris une décision sage et courageuse de briguer la magistrature suprême en sollicitant le suffrage du peuple mauritanien. S’il était méconnu des Mauritaniens et du milieu politique, il n’allait pas prendre cette lourde responsabilité .
Q : Madame Kane est-elle pour quelque chose dans la décision prise par son mari de s’écarter du Rfd et de briguer pour la première fois la magistrature suprême ?
P.G : Je n’ai pas influencé mon mari dans sa prise de décision. Il a pris sa décision tout seul après avoir mûrement réfléchi. J’ai certes apporté quelques conseils dans ce sens au début. Mais il faut reconnaître qu’il a pris la décision tout seul et avec responsabilité .
Q : Est-ce qu’aujourd’hui Madame Kane qui aspire devenir la première dame de Mauritanie s’investit à fond pour apporter sa contribution à l’élection de son mari?
P.G : Evidemment. Je m’investis à fond mais discrètement à travers mes relations en tant que femme. J’utilise surtout ce créneau pour mobiliser l’électorat féminin en faveur de la candidature de mon mari. J’insiste pour dire que je m’investis dans l’ombre parce que c’est mon habitude.
Quelles sont les actions que vous avez posées concrètement pour appuyer la candidature de votre mari ?
P.G : Je l’ai accompagné dans le cadre de ses missions et prises de contact avec les Mauritaniens. Mais aussi et surtout, j’ai mobilisé pas mal de femmes à l’intérieur comme à l’extérieur de la Mauritanie. Et j’ai bon espoir que cela portera des fruits le moment venu. A Nouakchott par exemple, j’ai contribué à booster la gente féminine qui constitue un électorat important. Vous savez, quand l’élément féminin intervient dans ce que vous faîtes, vous avez de fortes chances de réussir. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que le candidat Kane a focalisé son programme sur la jeunesse et les femmes parce que ce sont des catégories sociales importantes et ce sont elles qui sont les plus vulnérables et les plus sensibles. En tout état de cause, je suis un élément complémentaire pour mon mari candidat.
Dans un autre registre, j’utilise mes parents, mes amitiés pour aider mon mari dans cette campagne. C’est dur mais je suis une femme combattante même si je travaille de manière inaperçue.
Avez-vous bon espoir pour l’élection de votre mari à la magistrature suprême au soir du 06 juin ?
P.G : Pourquoi pas ! Je suis sure que si la confiance que vouent les Mauritaniens à la candidature de M. Kane se concrétise, il gagnera à coup sûr. D’ailleurs, j’ai toujours eu bon espoir dans tout ce que je fais. Mieux, on ne va pas dans l’arène avec pessimisme. Je pense qu’on jubilera au retour de l’arène.
Sur quoi madame Kane fondent ses espoirs ?
P.G : Mes espoirs se fondent sur la personnalité de M. Kane, son intelligence, ses capacités intellectuelles, son expérience politique avérée, sa maîtrise de la chose publique et sur l’amour qu’il voue aux Mauritaniens et pour le pays.
Si demain vous devenez la première dame de Mauritanie, quelles seront vos priorités pour la femme mauritanienne?
P.G : D’abord, ma priorité ce sera la participation des femmes dans les instances de décisions. Les femmes sont absentes sur l’arène politique. C’est vrai qu’on avait accordé un taux de participation des femmes dans la fonction publique de 20% mais cela n’était pas suffisant et les femmes sont encore lésées et/ou frustrées. J’apporterai des projets aux femmes pour qu’elles puissent travailler et devenir des forces complémentaires dans la gestion des foyers. Et là je parle de toutes les femmes de la Mauritanie pas seulement celles de Nouakchott.
Alors quel appel lancez-vous aux femmes à cet effet ?
P.G : Je m’adresse surtout à toutes les femmes, à mes sœurs et amies. Il faut se réveiller. C’est maintenant ou jamais. Ce pays a été longtemps dirigé par les hommes et les femmes qui n’ont jamais eu la place qui sied avec leurs préoccupations quotidiennes. C’est une chance qui leur a été offerte cette fois-ci. Je lance donc un appel à toutes les femmes de s’impliquer dans la vie politique, de se mobiliser autour de la candidature de Kane Hamidou Baba qui est le candidat de l’espoir, des jeunes et des femmes pour qu’elles trouvent demain la place qui leur revient entièrement et de manière définitive.
Source: HK