Certains journaux internationaux publiés cette semaine traitent le mouvement politique, observé en Mauritanie ,au cours des deux dernières semaines et du bruit, provoqué par les déclarations de l’ancien président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, alors qu’il tentait de revenir sur la scène politique, par le biais du parti au pouvoir (Union pour la République), qu’il avait créé, pendant son premier mandat en 2009.
Cette tentative de retour n’a pas été- apparemment – bien accueillie par la population, selon des sondages publiés dans les médias locaux. Elle a plutôt provoqué une nouvelle crise politique, que le pays n’est pas en mesure – du moins pour le moment – à tolérer.La plupart des journaux français qui ont traité de l’événement, le journal « Le Monde » , « Le Point » et d’autres, ont confirmé l’adoption par le nouveau président de la République, Mohamed Ould Cheikh El-Ghazwany, du désir du peuple, qui a exigé que la présence de l’ancien président du pays, Ould Abdel Aziz, soit empêchée, et qu’il ne devrait pas être autorisé à avoir un rôle affectant, dans la future scène politique.
Les partis politiques d’opposition et un grand nombre des membres de la majorité législative (parlement) ont demandé au président Ould Ghazouani d’accélérer l’effacement de l’ombre d’Ould Abdel Aziz.
Ould Cheikh El-Ghazouani s’est rangé du côté du désir de la majorité populaire de son pays et a fortement insisté pour le retrait définitif de son ancien ami de la scène politique – indique le journal français « Le Point ».
Le mercredi 27 novembre, le président de la République Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani a imposé la main sur l’institution de la garde présidentielle. Laquelle a été purifiée des officiers et soldats dont la fidélité à l’endroit de la nouvelle autorité est douteuse.
Après le 28 décembre,(lors de son congrés) le parti de l’Union pour la République (au pouvoir) sera libéré de la subordination à l’ancien président Ould Abdel Aziz, et ce dernier ne sera plus mentionné, sauf qu’en tant qu’ ancien président de la République.
Source : https://www.anbaa.info/?p=53673
Traduit par adrar.info
Cette tentative de retour n’a pas été- apparemment – bien accueillie par la population, selon des sondages publiés dans les médias locaux. Elle a plutôt provoqué une nouvelle crise politique, que le pays n’est pas en mesure – du moins pour le moment – à tolérer.La plupart des journaux français qui ont traité de l’événement, le journal « Le Monde » , « Le Point » et d’autres, ont confirmé l’adoption par le nouveau président de la République, Mohamed Ould Cheikh El-Ghazwany, du désir du peuple, qui a exigé que la présence de l’ancien président du pays, Ould Abdel Aziz, soit empêchée, et qu’il ne devrait pas être autorisé à avoir un rôle affectant, dans la future scène politique.
Les partis politiques d’opposition et un grand nombre des membres de la majorité législative (parlement) ont demandé au président Ould Ghazouani d’accélérer l’effacement de l’ombre d’Ould Abdel Aziz.
Ould Cheikh El-Ghazouani s’est rangé du côté du désir de la majorité populaire de son pays et a fortement insisté pour le retrait définitif de son ancien ami de la scène politique – indique le journal français « Le Point ».
Le mercredi 27 novembre, le président de la République Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani a imposé la main sur l’institution de la garde présidentielle. Laquelle a été purifiée des officiers et soldats dont la fidélité à l’endroit de la nouvelle autorité est douteuse.
Après le 28 décembre,(lors de son congrés) le parti de l’Union pour la République (au pouvoir) sera libéré de la subordination à l’ancien président Ould Abdel Aziz, et ce dernier ne sera plus mentionné, sauf qu’en tant qu’ ancien président de la République.
Source : https://www.anbaa.info/?p=53673
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