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Il y a 21 ans: La lettre des cinquante

 Ndiol Séne
Vendredi 29 Juin 2012

voila des hommes conscients et conséquents qui pendant que le dictateur sanguinaire Maouya TAya était à son apogée ont osé réclamer plus de droit et de justice.Certains ont eu le courage de soigner les réscapés des camps de torture.C'est à ceux la que l'on devait confier le réglement du passif humanitaire, au lieu de le laisser entre ces GENERAUX débonaire en Carton qui ne font que profiter des malheurs et des souffrances des victimes.Merçi chers compatriotes d'avoir oser défier le dictateur.

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