Le médiateur est une personne neutre, impartiale et sans pouvoir. Il n’est ni juge, ni arbitre et il veuille à l’équité. Il doit être reconnu et considéré comme tel.
Abdoulaye WADE chef d’Etat, élu démocratiquement par son peuple, fut le premier à reconnaitre OULD Abdoul Aziz, arrivé au pouvoir par la force, sans diplôme, sans connaissance diplomatique, ni la politique.
Après l’avoir reconnu, WADE l’a officiellement reçu comme chef d’Etat et il a aussi demandé au monde entier de parrainer et de reconnaitre ce coup d’Etat.
Après avoir affiché sa préférence, Abdoulaye Wade veut réconcilier « ses frères ennemis ». On ne peut pas arbitrer, juger, trancher, afficher sa préférence et revêtir les habits d’un médiateur.
Maitre WADE ne doit pas confondre la justice et la médiation. Il ne doit pas confondre l’avocat qu’il est, au médiateur qu’il ne pourra pas être. Il doit aussi savoir que le bon médiateur est celui qui parle peu. Maitre WADE doit arrêter à se mêler de tout ; avoir son mot à dire dans tout, alors que le pauvre Sénégal nécessite aussi que son Président s’occupe des affaires intérieures de son pays. Il doit aussi savoir qu’une bonne image internationale, derrière laquelle il court, doit commencer par un service rendu à son propre pays et à son peuple.
J’aurais voulu entendre Abdoulaye Wade sur la question du racisme, de l’esclavage et de la déportation de noirs mauritaniens dont une grande partie vit toujours dans des camps au Sénégal. J’aurais voulu l’entendre sur les crimes commis par les membres de la junte au pouvoir en Mauritanie, qui sont promus par OULD Abdoul Aziz alors qu’ils doivent être traduits devant la justice internationale. J’aurais voulu entendre Abdoulaye Wade parler des terres du Walo Barak, du Fuuta et du Gidimakha que lui et Taya ont dépossédé aux pauvres paysans mauritaniens et sénégalais. J’aurais voulu l’entendre sur l’égalité des langues et des cultures au Sénégal. J’aurais voulu le voir donner des réponses positives aux sénégalais qui, manifestent depuis des mois devant l’ambassade du Sénégal à Paris pour voir une télévision sénégalaise, RTS représentative de toutes les langues et cultures du Sénégal. J’aurais voulu l’entendre sur des poubelles éparpillées dans tout Dakar depuis des mois. J’aurais voulu l’entendre sur le cas de son fils, qu’il veut faire élire à tout prix président du Sénégal. Malheureusement, comme on dit en Pulaar Kiwoowo yiyataa, zi mum, yiyata ko zi keediizo mum (un gardien de champ qui ne s’aperçoit guère des oiseaux qui sont en train de détruire sa culture, mais de ceux qui sont dans le champ du voisin).
Ne nous aide pas Maitre WADE, en tant que Noirs opprimés dans notre propre pays, mais n’essaye pas non plus de convaincre l’opinion internationale de valider le coup d’Etat de ces criminels, dont les mains sont encore immaculées du sang des Noirs, dont le seul crime est d’être noirs, comme toi.
Pour fermer le chapitre Wade, il doit savoir que le général Aziz et ses acolytes ne voient en lui qu’un nègre et un nègre de service, qu’on l’accepte ou non, c’est la philosophie du système raciste mauritanien.
Quant à Aziz, il doit savoir que le monde a évolué et qu’il a changé. Ce n’est pas en utilisant des hommes de paille de tous bords qu’il arrivera à convaincre le peuple mauritanien ou les organisations internationaux. Assez d’insultes.
Dis-nous qui a tué qui ?
Et pourquoi ?
Veux-tu te protéger ou protéger tes amis !
Un proverbe Pulaar dit yiiloo banngoo seerndataa mawzo e halal mum. N’est-ce pas camarade kowri SOH ?
Je sais que tu étais dans l’école de TAYA, mais les temps ne sont plus les mêmes. Toi Aziz, TAYA, Gabriel Sempère et Ely Old Mohamed VALL et les autres criminels vous répondrez un jour aux questions que tout le monde pose sur la disparition de nos frères, que vous considérez comme des abids (esclaves).
Ce n’est pas en mettant des marionnettes au sommet de l’Etat, en cherchant des candidats payés pour légitimer ton élection, des candidats perdants d’avance que tu pourras exécuter tes plans. Ce n’est pas en invitant des agents de renseignements, qui noyautent des associations à l’extérieur qu’on réglera les problèmes. Ce n’est non plus en réactivant des bandes de gendarmes et des policiers, qui étaient longtemps tapis dans l’ombre pour vendre leurs frères, que tu arriveras à régner sur ce pays calmement. Ceci étant, quoiqu’il en soit on ne peut plus cacher au monde entier que les noirs sont largement majoritaires dans ce pays.
Trois candidats noirs, mêmes si on sait qu’ils servent d’alibi, trois candidats noirs, contre un est une preuve palpable pour le confirmer. Voilà le seul point positif de ces élections.
Mes compatriotes, Arabes, Sooninko, Wolof, Haratins, Fulve et Bammbara, le temps est venu pour enterrer la Mauritanie raciste et esclavagiste, le moment est venu pour construire une autre Mauritanie, une Mauritanie nouvelle, prospère et développée.
Il ne sert à rien de soutenir un incompétent, qui n’aspire qu’ à ses ambitions personnelles. Les Mauritaniens ont besoin d’être protégés, d’être soignés, d’être nourris et d’avoir une protection sociale. Nous voulons des écoles, des hôpitaux et une autosuffisance alimentaire.
OLD Abdoul Aziz, assez de cinéma, Tu dois t’en aller. Toi-même tu sais que tu ne dureras pas à la tête de cet Etat.
Enfin, aucune mauritanienne ou mauritanien ne pourra diriger ce pays sans tenir compte de la question Nationale. Il faut des hommes et des femmes sérieux qui, animeront un programme national, qui n’a comme souci que la Mauritanie, rien que la Mauritanie. Et les mauritaniens.
NB : Ne cherchez pas le mot « médié » dans le dictionnaire, utilisé par les médiateurs, chercheurs pour parler des antagonistes.
Cheikh Oumar BA, Paris-France
Source: Flamnet
Abdoulaye WADE chef d’Etat, élu démocratiquement par son peuple, fut le premier à reconnaitre OULD Abdoul Aziz, arrivé au pouvoir par la force, sans diplôme, sans connaissance diplomatique, ni la politique.
Après l’avoir reconnu, WADE l’a officiellement reçu comme chef d’Etat et il a aussi demandé au monde entier de parrainer et de reconnaitre ce coup d’Etat.
Après avoir affiché sa préférence, Abdoulaye Wade veut réconcilier « ses frères ennemis ». On ne peut pas arbitrer, juger, trancher, afficher sa préférence et revêtir les habits d’un médiateur.
Maitre WADE ne doit pas confondre la justice et la médiation. Il ne doit pas confondre l’avocat qu’il est, au médiateur qu’il ne pourra pas être. Il doit aussi savoir que le bon médiateur est celui qui parle peu. Maitre WADE doit arrêter à se mêler de tout ; avoir son mot à dire dans tout, alors que le pauvre Sénégal nécessite aussi que son Président s’occupe des affaires intérieures de son pays. Il doit aussi savoir qu’une bonne image internationale, derrière laquelle il court, doit commencer par un service rendu à son propre pays et à son peuple.
J’aurais voulu entendre Abdoulaye Wade sur la question du racisme, de l’esclavage et de la déportation de noirs mauritaniens dont une grande partie vit toujours dans des camps au Sénégal. J’aurais voulu l’entendre sur les crimes commis par les membres de la junte au pouvoir en Mauritanie, qui sont promus par OULD Abdoul Aziz alors qu’ils doivent être traduits devant la justice internationale. J’aurais voulu entendre Abdoulaye Wade parler des terres du Walo Barak, du Fuuta et du Gidimakha que lui et Taya ont dépossédé aux pauvres paysans mauritaniens et sénégalais. J’aurais voulu l’entendre sur l’égalité des langues et des cultures au Sénégal. J’aurais voulu le voir donner des réponses positives aux sénégalais qui, manifestent depuis des mois devant l’ambassade du Sénégal à Paris pour voir une télévision sénégalaise, RTS représentative de toutes les langues et cultures du Sénégal. J’aurais voulu l’entendre sur des poubelles éparpillées dans tout Dakar depuis des mois. J’aurais voulu l’entendre sur le cas de son fils, qu’il veut faire élire à tout prix président du Sénégal. Malheureusement, comme on dit en Pulaar Kiwoowo yiyataa, zi mum, yiyata ko zi keediizo mum (un gardien de champ qui ne s’aperçoit guère des oiseaux qui sont en train de détruire sa culture, mais de ceux qui sont dans le champ du voisin).
Ne nous aide pas Maitre WADE, en tant que Noirs opprimés dans notre propre pays, mais n’essaye pas non plus de convaincre l’opinion internationale de valider le coup d’Etat de ces criminels, dont les mains sont encore immaculées du sang des Noirs, dont le seul crime est d’être noirs, comme toi.
Pour fermer le chapitre Wade, il doit savoir que le général Aziz et ses acolytes ne voient en lui qu’un nègre et un nègre de service, qu’on l’accepte ou non, c’est la philosophie du système raciste mauritanien.
Quant à Aziz, il doit savoir que le monde a évolué et qu’il a changé. Ce n’est pas en utilisant des hommes de paille de tous bords qu’il arrivera à convaincre le peuple mauritanien ou les organisations internationaux. Assez d’insultes.
Dis-nous qui a tué qui ?
Et pourquoi ?
Veux-tu te protéger ou protéger tes amis !
Un proverbe Pulaar dit yiiloo banngoo seerndataa mawzo e halal mum. N’est-ce pas camarade kowri SOH ?
Je sais que tu étais dans l’école de TAYA, mais les temps ne sont plus les mêmes. Toi Aziz, TAYA, Gabriel Sempère et Ely Old Mohamed VALL et les autres criminels vous répondrez un jour aux questions que tout le monde pose sur la disparition de nos frères, que vous considérez comme des abids (esclaves).
Ce n’est pas en mettant des marionnettes au sommet de l’Etat, en cherchant des candidats payés pour légitimer ton élection, des candidats perdants d’avance que tu pourras exécuter tes plans. Ce n’est pas en invitant des agents de renseignements, qui noyautent des associations à l’extérieur qu’on réglera les problèmes. Ce n’est non plus en réactivant des bandes de gendarmes et des policiers, qui étaient longtemps tapis dans l’ombre pour vendre leurs frères, que tu arriveras à régner sur ce pays calmement. Ceci étant, quoiqu’il en soit on ne peut plus cacher au monde entier que les noirs sont largement majoritaires dans ce pays.
Trois candidats noirs, mêmes si on sait qu’ils servent d’alibi, trois candidats noirs, contre un est une preuve palpable pour le confirmer. Voilà le seul point positif de ces élections.
Mes compatriotes, Arabes, Sooninko, Wolof, Haratins, Fulve et Bammbara, le temps est venu pour enterrer la Mauritanie raciste et esclavagiste, le moment est venu pour construire une autre Mauritanie, une Mauritanie nouvelle, prospère et développée.
Il ne sert à rien de soutenir un incompétent, qui n’aspire qu’ à ses ambitions personnelles. Les Mauritaniens ont besoin d’être protégés, d’être soignés, d’être nourris et d’avoir une protection sociale. Nous voulons des écoles, des hôpitaux et une autosuffisance alimentaire.
OLD Abdoul Aziz, assez de cinéma, Tu dois t’en aller. Toi-même tu sais que tu ne dureras pas à la tête de cet Etat.
Enfin, aucune mauritanienne ou mauritanien ne pourra diriger ce pays sans tenir compte de la question Nationale. Il faut des hommes et des femmes sérieux qui, animeront un programme national, qui n’a comme souci que la Mauritanie, rien que la Mauritanie. Et les mauritaniens.
NB : Ne cherchez pas le mot « médié » dans le dictionnaire, utilisé par les médiateurs, chercheurs pour parler des antagonistes.
Cheikh Oumar BA, Paris-France
Source: Flamnet