Le bras de fer judiciaire qui oppose le président de l’Ajd/Mr à notre confrère et web journaliste du site Taqadoumy.com, continue de défrayer la chronique, forcé à trouver sa seule issue dans les couloirs de la justice, alors que bien d’autres alternatives se présentent pour tourner la page de ce regrettable incident politico-médiatique.
Ibrahima Moctar Sarr, un bon connaisseur de la profession de journaliste, qu’il a eu à exercer durant ses années de grande énergie, présente l’énorme avantage d’être un homme qui se veut indulgent et magnanime à l’endroit d’autrui.
Mais son statut actuel de figure politique de poids, ne le rend plus libre de ses actes et lui impose un minimum de dignité, que Taqadoumy, a tenté à tort ou à raison, à lui confisquer, pour le réduire en cendres politiques.
Sarr ne demande pas le ciel ni l’impossible pour pardonner, mais juste un écrit qui le blanchit de ce qu’il qualifie comme des accusations sans fondement portées, non seulement contre sa propre personne, mais contre son image de personnalité politique bien admirée par beaucoup des mauritaniens, notamment au sein de sa communauté, qui voit en lui, son potentiel sauveteur de ses maux et de ses souffrances politiques.
Hanevy Ould Dehah n’a pas encore sorti les preuves –s’il elles existent- qui confirment l’authenticité des informations rapportées sur le président et le candidat malheureux de l’Ajd/Mr. Il n’a non plus demandé des excuses ou chercher à s’extraire des mains de ses pénitenciers, en profitant des opportunités offertes, pour recouvrir sa liberté.
Devant la ténacité de l’homme politique à défendre sa dignité et l’acteur médiatique à ne pas revenir sur ses allégations, faut-il se laisser aller au désespoir, pour laisser l’affaire pourrir et devenir plus complexe que nature.
Tout récemment, le Regroupement de la Presse mauritanienne (RPM), un syndicat qui compte 22 journaux parmi les titres les plus les plus réguliers du pays et six sites d’information continue, avait tenu son assemblée générale annuelle, au terme de laquelle il avait nommé son nouveau bureau.
Hanevy Ould Dehah a été coopté membre du RPM. Son procès commence aujourd’hui alors que de l’autre côté, le nouveau président de la République fête en grandes pompes son investiture à la magistrature suprême.
Devant l’incapacité des politiques de régler à l’amiable cette triste affaire, les associations de médias doivent user de leurs poids et audiences pour que Sarr trouve une certaine satisfaction contre les préjudices subis et pour que Hanevy retrouve la maison, les amis, Madame et les enfants dont sa mère qui aurait fondu en larmes pendant son dernier procès.
Pour ce faire, le RPM dont Hanevy et membre, sinon les autres institutions de presse doivent intervenir auprès du président de l’Ajd/Mr, qui est connu pour ses sens élevés de tolérance et de compréhension, pour présenter les excuses que Sarr et obtenir en conséquence le pardon de celui-ci. Sarr ne pourrait qu’être flatter de voir tout un groupe de journalistes venir solliciter ses excuses, qu’un seul. N’est-ce-pas, c’est ne pas aussi compliqué que ça ?
Mohamed Ould Mohamed Lemine
Source: Cridem
Ibrahima Moctar Sarr, un bon connaisseur de la profession de journaliste, qu’il a eu à exercer durant ses années de grande énergie, présente l’énorme avantage d’être un homme qui se veut indulgent et magnanime à l’endroit d’autrui.
Mais son statut actuel de figure politique de poids, ne le rend plus libre de ses actes et lui impose un minimum de dignité, que Taqadoumy, a tenté à tort ou à raison, à lui confisquer, pour le réduire en cendres politiques.
Sarr ne demande pas le ciel ni l’impossible pour pardonner, mais juste un écrit qui le blanchit de ce qu’il qualifie comme des accusations sans fondement portées, non seulement contre sa propre personne, mais contre son image de personnalité politique bien admirée par beaucoup des mauritaniens, notamment au sein de sa communauté, qui voit en lui, son potentiel sauveteur de ses maux et de ses souffrances politiques.
Hanevy Ould Dehah n’a pas encore sorti les preuves –s’il elles existent- qui confirment l’authenticité des informations rapportées sur le président et le candidat malheureux de l’Ajd/Mr. Il n’a non plus demandé des excuses ou chercher à s’extraire des mains de ses pénitenciers, en profitant des opportunités offertes, pour recouvrir sa liberté.
Devant la ténacité de l’homme politique à défendre sa dignité et l’acteur médiatique à ne pas revenir sur ses allégations, faut-il se laisser aller au désespoir, pour laisser l’affaire pourrir et devenir plus complexe que nature.
Tout récemment, le Regroupement de la Presse mauritanienne (RPM), un syndicat qui compte 22 journaux parmi les titres les plus les plus réguliers du pays et six sites d’information continue, avait tenu son assemblée générale annuelle, au terme de laquelle il avait nommé son nouveau bureau.
Hanevy Ould Dehah a été coopté membre du RPM. Son procès commence aujourd’hui alors que de l’autre côté, le nouveau président de la République fête en grandes pompes son investiture à la magistrature suprême.
Devant l’incapacité des politiques de régler à l’amiable cette triste affaire, les associations de médias doivent user de leurs poids et audiences pour que Sarr trouve une certaine satisfaction contre les préjudices subis et pour que Hanevy retrouve la maison, les amis, Madame et les enfants dont sa mère qui aurait fondu en larmes pendant son dernier procès.
Pour ce faire, le RPM dont Hanevy et membre, sinon les autres institutions de presse doivent intervenir auprès du président de l’Ajd/Mr, qui est connu pour ses sens élevés de tolérance et de compréhension, pour présenter les excuses que Sarr et obtenir en conséquence le pardon de celui-ci. Sarr ne pourrait qu’être flatter de voir tout un groupe de journalistes venir solliciter ses excuses, qu’un seul. N’est-ce-pas, c’est ne pas aussi compliqué que ça ?
Mohamed Ould Mohamed Lemine
Source: Cridem