Nouakchott a abrité la première conférence scientifique de la Fédération des associations de sages-femmes d’Afrique francophone, en présence de la première dame de Mauritanie, Mariam mint Mohamed Vadel Dah. Plusieurs expériences portant sur la santé maternelle et infantile ont été passées en revue dont celle du Maroc.
Placée sous le thème de l’«Intégration des services de santé reproductive, espacement des naissances et postnatal, santé maternelle, néonatale, infantile et adolescente et nutrition de qualité», la conférence de Nouakchott a permis aux participants d’aborder des sujets majeurs en rapport avec la santé maternelle et infantile.
La séance inaugurale a été marquée par les discours de la présidente de l’Association des sages-femmes de Mauritanie (ASM), de la présidente de la Fédération des associations de sages-femmes d’Afrique francophone (FASFAF), du directeur régional Afrique de l’Ouest de l’agence des Nations unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA) et du ministre mauritanien de la Santé.
Sennen Hounton, directeur régional UNFPA pour l’Afrique de l’Ouest, a évoqué les enjeux de la conférence qui va servir de cadre d’échanges sur les meilleures pratiques de la santé maternelle et infantile et du bien-être de la population, avec un impact positif attendu pour la Mauritanie et l’espace francophone d’Afrique.
Dans son discours inaugural, Anna Antunes, présidente de la FASFAF, a insisté sur l’importance de l’intégration des services de planning familial postnatal et de soins maternels, qui exige une amélioration de la qualité de la formation.
Harrizi Touria, présidente de l’Association marocaine des sages-femmes (AMSF) a mis l’accent sur l’importance de l’unité d’action de la corporation pour faire avancer les questions de santé sexuelle, de la mère et de l’enfant dans l’espace de l’Afrique francophone.
Elle a évoqué, à ce titre, les progrès enregistrés dans la baisse de la mortalité maternelle au Maroc, passée de 227 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2010, à 76 décès pour 100.000 naissances vivantes actuellement. Toutefois, elle considère que faire baisser cet indice en dessous de 76 décès reste un défi, car «aucune femme ne doit perdre la vie en donnant la vie.»
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)
Placée sous le thème de l’«Intégration des services de santé reproductive, espacement des naissances et postnatal, santé maternelle, néonatale, infantile et adolescente et nutrition de qualité», la conférence de Nouakchott a permis aux participants d’aborder des sujets majeurs en rapport avec la santé maternelle et infantile.
La séance inaugurale a été marquée par les discours de la présidente de l’Association des sages-femmes de Mauritanie (ASM), de la présidente de la Fédération des associations de sages-femmes d’Afrique francophone (FASFAF), du directeur régional Afrique de l’Ouest de l’agence des Nations unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA) et du ministre mauritanien de la Santé.
Sennen Hounton, directeur régional UNFPA pour l’Afrique de l’Ouest, a évoqué les enjeux de la conférence qui va servir de cadre d’échanges sur les meilleures pratiques de la santé maternelle et infantile et du bien-être de la population, avec un impact positif attendu pour la Mauritanie et l’espace francophone d’Afrique.
Dans son discours inaugural, Anna Antunes, présidente de la FASFAF, a insisté sur l’importance de l’intégration des services de planning familial postnatal et de soins maternels, qui exige une amélioration de la qualité de la formation.
Harrizi Touria, présidente de l’Association marocaine des sages-femmes (AMSF) a mis l’accent sur l’importance de l’unité d’action de la corporation pour faire avancer les questions de santé sexuelle, de la mère et de l’enfant dans l’espace de l’Afrique francophone.
Elle a évoqué, à ce titre, les progrès enregistrés dans la baisse de la mortalité maternelle au Maroc, passée de 227 décès pour 100.000 naissances vivantes en 2010, à 76 décès pour 100.000 naissances vivantes actuellement. Toutefois, elle considère que faire baisser cet indice en dessous de 76 décès reste un défi, car «aucune femme ne doit perdre la vie en donnant la vie.»
Amadou Seck (Nouakchott, correspondance)
Source : Le 360.ma (Maroc)