Hier soir, le Bataillon de sécurité présidentielle (Basep) s'est déployé autour du Palais présidentiel, dans la même configuration mise en place peu après le putsch du 8 juin 2003, c'est à dire deux véhicules, équipés, chacun, de mitraillettes et placés sur chaque accès au Palais, avec interdiction de laisser passer quiconque. Motif : Ould abdel Aziz se trouve à l'intérieur de l’enceinte.
Le Général-candidat est venu au Palais, quelques heures après son meeting d'Arafat ; il a ordonné de fermer les accès avant de s'enfermer dans le Bureau réservé au Président de la République. Il sortira au bout de quelques heures et prendra la route de son siège de campagne, sans que l'on sache ce qu'il était venu chercher. Le dispositif sécuritaire ne sera levé qu'au petit matin.
Sollicité par Taqadoumy pour une réaction, l'un des candidats à la présidentielle déclare : "il était sans doute à la recherche des fameuses preuves de la corruption de ses concurrents". Et de préciser avec ironie : "il doit se dépêcher de les trouver avant le 18 juillet, sinon il sera contraint de les fabriquer parce que, sans de tels documents, son discrédit sera total".
Source: Taqadoumy
Le Général-candidat est venu au Palais, quelques heures après son meeting d'Arafat ; il a ordonné de fermer les accès avant de s'enfermer dans le Bureau réservé au Président de la République. Il sortira au bout de quelques heures et prendra la route de son siège de campagne, sans que l'on sache ce qu'il était venu chercher. Le dispositif sécuritaire ne sera levé qu'au petit matin.
Sollicité par Taqadoumy pour une réaction, l'un des candidats à la présidentielle déclare : "il était sans doute à la recherche des fameuses preuves de la corruption de ses concurrents". Et de préciser avec ironie : "il doit se dépêcher de les trouver avant le 18 juillet, sinon il sera contraint de les fabriquer parce que, sans de tels documents, son discrédit sera total".
Source: Taqadoumy
Actualités
