Mohamed Ould Abdel Aziz 20, 4%, Ahmed Ould Daddah 19,6% Messoud Ould Boulkheir 17%, Ely Ould Mohamed Vall 15%, Ibrahima Moktar Sarr 8%, Mohamed Jamil Mansour 7% , Hamadi Ould Meimou 6%, Kane Hamidou Baba 4%. Voilà un classement bien que subjectif, il a été bel et bien publié dans le quotidien local le rénovateur.
En tout cas, depuis le début de la compagne électorale, l’image du candidat Ould Abdel Aziz, à travers les pancartes, les tentes et les lieux des compagnes, était présente.
Après les accords de Dakar, et la rentrée en compétition des candidats comme Ahmed Ould Daddah, Messoud, Ely Ould Mohamed Vall et autres, la communication et la guerre de l’image a pris une nouvelle forme.
Les ‘édifices’ de l’éclairage public sont quasiment enjolivés, dans Nouakchott ville, par les photos de deux candidats en lice notamment le général démissionnaire et le chef de file de l’opposition. En parallèle, les orientations électorales sont affectées par des ralliements et des contre ralliements et les adversaires se ‘concentrent’ sur le nombre de ralliement et le retrait des uns et les autres. Entre l’esprit politique et la pensée militaire qui va contenir l’autre ?
En effet, la communication en période électorale est semblable à une guerre où les armes ne sont que des signaux, des messages ‘saisis’ positivement ou négativement par le récepteur-citoyen. Et pour vaincre, l’un des camps doit être impérativement en mesure de battre, par la communication, ses adversaires en les considérant analogiquement comme des pierres et des bois. Sun Tzu dit à cet égard que « l’art suprême de la guerre - ‘communicative’, soit-elle - c’est d’être capable de contenir son adversaire sans combattre.» Ce qui sous entend que « la pierre et le bois n'ont aucun mouvement de leur nature ; s'ils sont une fois en repos, ils n'en sortent pas d'eux-mêmes, mais ils suivent le mouvement qu'on leur imprime ; s'ils sont carrés, ils s'arrêtent d'abord ; s'ils sont ronds, ils roulent jusqu'à ce qu'ils trouvent une résistance plus forte que la force qui leur était imprimée ». (Sic).
Politiquement, la contenance exige, en ce sens, un effet de surprise. Et une connaissance de la caractériologie des composantes de la société mauritanienne. Et si l’on se réfère au sondage précité, il sera difficile pour Ahmed Ould Daddah de vaincre Aziz au deuxième tour. Ce qu’il faut au chef de l’opposition c’est de dépasser la psychose craintive de l’électorat de l’Est du pays. Pour ce qui est du Sud du pays, il lui était souvent favorable. Et si Messoud est ‘retenu ‘au premier tour le combat sera focalisé sur l’émancipation sociétale. Ainsi, qui est alors le candidat de taille si l’on maintien l’hypothèse du deuxième tour, et si l’on maintien que Aziz sera toujours en course. Toutefois, cela n’est qu’une supputation loin de la certitude qui reste, à mon avis, difficilement acquise.
m_barrada@yahoo.fr
En tout cas, depuis le début de la compagne électorale, l’image du candidat Ould Abdel Aziz, à travers les pancartes, les tentes et les lieux des compagnes, était présente.
Après les accords de Dakar, et la rentrée en compétition des candidats comme Ahmed Ould Daddah, Messoud, Ely Ould Mohamed Vall et autres, la communication et la guerre de l’image a pris une nouvelle forme.
Les ‘édifices’ de l’éclairage public sont quasiment enjolivés, dans Nouakchott ville, par les photos de deux candidats en lice notamment le général démissionnaire et le chef de file de l’opposition. En parallèle, les orientations électorales sont affectées par des ralliements et des contre ralliements et les adversaires se ‘concentrent’ sur le nombre de ralliement et le retrait des uns et les autres. Entre l’esprit politique et la pensée militaire qui va contenir l’autre ?
En effet, la communication en période électorale est semblable à une guerre où les armes ne sont que des signaux, des messages ‘saisis’ positivement ou négativement par le récepteur-citoyen. Et pour vaincre, l’un des camps doit être impérativement en mesure de battre, par la communication, ses adversaires en les considérant analogiquement comme des pierres et des bois. Sun Tzu dit à cet égard que « l’art suprême de la guerre - ‘communicative’, soit-elle - c’est d’être capable de contenir son adversaire sans combattre.» Ce qui sous entend que « la pierre et le bois n'ont aucun mouvement de leur nature ; s'ils sont une fois en repos, ils n'en sortent pas d'eux-mêmes, mais ils suivent le mouvement qu'on leur imprime ; s'ils sont carrés, ils s'arrêtent d'abord ; s'ils sont ronds, ils roulent jusqu'à ce qu'ils trouvent une résistance plus forte que la force qui leur était imprimée ». (Sic).
Politiquement, la contenance exige, en ce sens, un effet de surprise. Et une connaissance de la caractériologie des composantes de la société mauritanienne. Et si l’on se réfère au sondage précité, il sera difficile pour Ahmed Ould Daddah de vaincre Aziz au deuxième tour. Ce qu’il faut au chef de l’opposition c’est de dépasser la psychose craintive de l’électorat de l’Est du pays. Pour ce qui est du Sud du pays, il lui était souvent favorable. Et si Messoud est ‘retenu ‘au premier tour le combat sera focalisé sur l’émancipation sociétale. Ainsi, qui est alors le candidat de taille si l’on maintien l’hypothèse du deuxième tour, et si l’on maintien que Aziz sera toujours en course. Toutefois, cela n’est qu’une supputation loin de la certitude qui reste, à mon avis, difficilement acquise.
m_barrada@yahoo.fr
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