La Mauritanie avait-elle besoin de Aziz, du coup d'Etat du 6 aout et des accords de Dakar pour donner au monde un nouveau visage inédit et décrier ainsi une bonne page de son Histoire, éloquente pour ses lehlahas, ses roumouz et ses kangourous politiques?
Un visage fait de mariage entre de vraies guerres à peine voilée et de bonnes guerres et ce dans une atmosphère de liesse populaire riche en couleur. Ou bien, comme notre désert incommensurable et ses crêtes feeriques, sommes-nous en train de jouer à une comedie d’un genre nouveau ?
Finir avec nos haninis, nos chtary, nos Guiletlak pour batir, ensemble, une Nouvelle Mauritanie où chacun de nous se sentira, finalement fier d’appartenir à une nation qui le couve et le berce de douceurs doit etre le noble objectif qui anime tout un chacun de nous.
Cette campagne qui vient de s’achever a été riche en ce sens qu’elle est marquée par un immense ballet de va et viens où les repositionnements , alliances, fractures et cassures politiques horizontales et verticales sont des plus imprévisibles car n’obéissant à aucune logique.
Nos kangourous politiques ,… , et les roumouz, sont-ils morts ? Ou bien, dans un état comateux, ils laisseront Aziz et les autres installer une révolution douce où les pauvres sont l'enjeu majeur ? Pour l’essentiel, je pense que quelque chose a changé car le linge sale ne se lave plus en famille mais en public et en direct sous les feux des projecteurs des médias internationaux .
A ne voir que les différentes sorties des candidats, peut-on dire que nous sommes en train de changer en profondeur ? Après toutes ces années de braise, d’enfer, de marginalisation, de spoliation et de confiscation des libertés où notre société a enfanté de géants kangourous ,nous avons besoin, maintenant, de sortir du giron ou guron de ces animaux politiques .
Changer, changer de peau, de couleur ,de leaders, de cursis, sortir des sentiers battus est le souhait de tous ces mauritaniens anonymes, décomplexés et soucieux de finir avec une agonie qui ne fait que perdurer. Renouveler la classe politique devient une nécessité car nos kangourous n’arrivent pas à mourir…
Transfuges,sorcières de tous les régimes,miraculeusement, ils se muent selon les circonstances, toutes les circonstances. Et c’est ce qui explique tout ce remue menage, toutes ces couleurs, toutes ces sorties et tout ce verbiage ...
Révolution ? Oui,dirai-je car ce combat inauguré par cette campagne est le combat qu'il nous faut mais à condition de savoir contenir les abords .Plus, c'est à mon avis le seul moyen qui découragera nos kangourous, ceux-là qui nous ont spoliés, volés, trompés, confisqué nos libertés et notre Démocratie .
Pour l'histoire,parmi les candidats Aziz a été le plus franc, le plus sincère car il faut avoir du caractère pour déclarer une guerre ouverte aux moufssidines et aux kangourous politiques qui ont toujours fait recours aux multiples acrobaties pour se rapprocher des sphères du pouvoir pour le miner de l’interieur .
Aziz réussir-t-il son projet ? Pourra-t-il tenir à ces caïmans et pour combien de temps ?Les heures,les jours,les mois et les années à venir nous dirons plus que les mots d'une drole de campagne .
En un mot, cette campagne où tous les coups ont été bons y compris les coups de gueule, de pattes, de griffes et de becs échangés entre les différents candidats marquera, pour longtemps encore, notre société traditionnelle bédouine qui, demain plus que jamais, doit savoir choisir le bon grain de l’ivraie à défaut d’ouvrir de nouveau le pays à une nouvelle génération de kangourous politiques vaccinés…
Source : cridem
Un visage fait de mariage entre de vraies guerres à peine voilée et de bonnes guerres et ce dans une atmosphère de liesse populaire riche en couleur. Ou bien, comme notre désert incommensurable et ses crêtes feeriques, sommes-nous en train de jouer à une comedie d’un genre nouveau ?
Finir avec nos haninis, nos chtary, nos Guiletlak pour batir, ensemble, une Nouvelle Mauritanie où chacun de nous se sentira, finalement fier d’appartenir à une nation qui le couve et le berce de douceurs doit etre le noble objectif qui anime tout un chacun de nous.
Cette campagne qui vient de s’achever a été riche en ce sens qu’elle est marquée par un immense ballet de va et viens où les repositionnements , alliances, fractures et cassures politiques horizontales et verticales sont des plus imprévisibles car n’obéissant à aucune logique.
Nos kangourous politiques ,… , et les roumouz, sont-ils morts ? Ou bien, dans un état comateux, ils laisseront Aziz et les autres installer une révolution douce où les pauvres sont l'enjeu majeur ? Pour l’essentiel, je pense que quelque chose a changé car le linge sale ne se lave plus en famille mais en public et en direct sous les feux des projecteurs des médias internationaux .
A ne voir que les différentes sorties des candidats, peut-on dire que nous sommes en train de changer en profondeur ? Après toutes ces années de braise, d’enfer, de marginalisation, de spoliation et de confiscation des libertés où notre société a enfanté de géants kangourous ,nous avons besoin, maintenant, de sortir du giron ou guron de ces animaux politiques .
Changer, changer de peau, de couleur ,de leaders, de cursis, sortir des sentiers battus est le souhait de tous ces mauritaniens anonymes, décomplexés et soucieux de finir avec une agonie qui ne fait que perdurer. Renouveler la classe politique devient une nécessité car nos kangourous n’arrivent pas à mourir…
Transfuges,sorcières de tous les régimes,miraculeusement, ils se muent selon les circonstances, toutes les circonstances. Et c’est ce qui explique tout ce remue menage, toutes ces couleurs, toutes ces sorties et tout ce verbiage ...
Révolution ? Oui,dirai-je car ce combat inauguré par cette campagne est le combat qu'il nous faut mais à condition de savoir contenir les abords .Plus, c'est à mon avis le seul moyen qui découragera nos kangourous, ceux-là qui nous ont spoliés, volés, trompés, confisqué nos libertés et notre Démocratie .
Pour l'histoire,parmi les candidats Aziz a été le plus franc, le plus sincère car il faut avoir du caractère pour déclarer une guerre ouverte aux moufssidines et aux kangourous politiques qui ont toujours fait recours aux multiples acrobaties pour se rapprocher des sphères du pouvoir pour le miner de l’interieur .
Aziz réussir-t-il son projet ? Pourra-t-il tenir à ces caïmans et pour combien de temps ?Les heures,les jours,les mois et les années à venir nous dirons plus que les mots d'une drole de campagne .
En un mot, cette campagne où tous les coups ont été bons y compris les coups de gueule, de pattes, de griffes et de becs échangés entre les différents candidats marquera, pour longtemps encore, notre société traditionnelle bédouine qui, demain plus que jamais, doit savoir choisir le bon grain de l’ivraie à défaut d’ouvrir de nouveau le pays à une nouvelle génération de kangourous politiques vaccinés…
Source : cridem