Le Général s’énerve, y compris devant ses parlementaires, qu’il réunissait ce matin, au point, rapportent certains, de leur manquer de respect. Mintata Mint Hdeïde, députée d’Aïoun prit la parole pour lui demander un peu plus de considération pour les élus. D’autres, en revanche, se sont confondus en marques de loyauté et disponibilité à son endroit.
Dans son propos, que précédait une entrée sans salutations, le Général a été très explicite, voire arrogant selon la plupart des participants. Le Général le confirme d’emblée, le premier tour de l’élection présidentielle se tiendra au 18 juillet 2009, devrait-il, lui, verser le sang, pour faire respecter l’échéance. Il rassurera ses partisans sur le décompte des forces d’ont il dispose.
Ould Abdel Aziz cite le Haut Conseil d’Etat (pourtant dissout et renommé par les accords de Dakar), le Bataillon de Sécurité Présidentielle (BASEP qu’il dirigeait avant sa "démission"), les forces armées et de sécurité, etc...
Il ajoute que le Conseil Constitutionnel (CC) ne pèse rien et ne saurait reculer la date du vote. "S’il le faut, on balayera, "lehweyyeuch" (petit truc, machin, en Hassaniya) qui le préside. Sans le nommer, le Général s’attaque ainsi à Abdallahi Ould Ely Salem.
Ould Abdel Aziz reproche au CC d’avoir censuré, le 24 juin courant, la convocation du collège électoral, par le chef de l’état provisoire, Mamadou Bâ dit Mbaré.
Le Général, visiblement sous tension des préparatifs d’une reprise de sa tournée à Kiffa, chef-lieu de l’Assaba, s’exprimait avec détermination mais trahissait, aussi, un début de nervosité, comme si ses mises en garde s’adressaient, en guise d’avertissement, à ses propres troupes.
Avant de quitter la capitale, le Général a procédé à un énième changement dans son dispositif de campagne. Cheikhn Ould Nenni, le Consul Général à Dakar, remplace Mohamed Mahmoud Ould Brahim Khlil, au dispositif de communication du candidat Ould Abdel Aziz.
Source: Taqadoumy
Dans son propos, que précédait une entrée sans salutations, le Général a été très explicite, voire arrogant selon la plupart des participants. Le Général le confirme d’emblée, le premier tour de l’élection présidentielle se tiendra au 18 juillet 2009, devrait-il, lui, verser le sang, pour faire respecter l’échéance. Il rassurera ses partisans sur le décompte des forces d’ont il dispose.
Ould Abdel Aziz cite le Haut Conseil d’Etat (pourtant dissout et renommé par les accords de Dakar), le Bataillon de Sécurité Présidentielle (BASEP qu’il dirigeait avant sa "démission"), les forces armées et de sécurité, etc...
Il ajoute que le Conseil Constitutionnel (CC) ne pèse rien et ne saurait reculer la date du vote. "S’il le faut, on balayera, "lehweyyeuch" (petit truc, machin, en Hassaniya) qui le préside. Sans le nommer, le Général s’attaque ainsi à Abdallahi Ould Ely Salem.
Ould Abdel Aziz reproche au CC d’avoir censuré, le 24 juin courant, la convocation du collège électoral, par le chef de l’état provisoire, Mamadou Bâ dit Mbaré.
Le Général, visiblement sous tension des préparatifs d’une reprise de sa tournée à Kiffa, chef-lieu de l’Assaba, s’exprimait avec détermination mais trahissait, aussi, un début de nervosité, comme si ses mises en garde s’adressaient, en guise d’avertissement, à ses propres troupes.
Avant de quitter la capitale, le Général a procédé à un énième changement dans son dispositif de campagne. Cheikhn Ould Nenni, le Consul Général à Dakar, remplace Mohamed Mahmoud Ould Brahim Khlil, au dispositif de communication du candidat Ould Abdel Aziz.
Source: Taqadoumy
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