Le 13 juin 2024, la campagne présidentielle en Mauritanie a pris une tournure inquiétante avec l'intervention des forces de l'ordre pour empêcher Brahim Dah Abeid, candidat aux élections, de tenir un meeting dans la commune de Haayre Mbaara. Cet incident soulève de sérieuses questions sur l'intégrité du processus électoral et la liberté d'expression dans le pays.
Brahim Dah Abeid, figure emblématique de la lutte pour les droits humains et candidat à la présidence, s’est vu refuser l'accès à la commune de Haayre Mbaara par la gendarmerie nationale, sans aucune explication officielle. Cette action arbitraire a indigné de nombreux partisans et observateurs, qui dénoncent une tentative délibérée de museler l'opposition.
Le gouvernement de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani est accusé de mettre en œuvre des mesures répressives pour entraver la campagne de Biram Dah Abeid, un autre candidat influent. Selon des sources sur le terrain, les autorités auraient coupé le réseau internet et déployé des forces de l'ordre pour empêcher les rassemblements politiques de l'opposition. Ces manœuvres sont perçues comme une tentative de restreindre les libertés démocratiques et de garantir une élection sans véritable concurrence.
La situation en Mauritanie est préoccupante, car ces actions compromettent la transparence et l'équité du scrutin. Les organisations internationales et les observateurs électoraux sont appelés à surveiller de près ces élections pour s'assurer que les droits des candidats et des électeurs soient respectés.
Le déroulement de la campagne présidentielle en Mauritanie sera déterminant pour l'avenir politique du pays. Il est crucial que toutes les parties prenantes puissent s'exprimer librement et que le processus électoral se déroule dans un climat de transparence et de respect des droits fondamentaux.
En attendant, le peuple mauritanien observe avec anxiété l'évolution de la situation, espérant que les principes démocratiques prévaudront et que chaque candidat pourra mener sa campagne sans entrave.
Source: boolumbal
Brahim Dah Abeid, figure emblématique de la lutte pour les droits humains et candidat à la présidence, s’est vu refuser l'accès à la commune de Haayre Mbaara par la gendarmerie nationale, sans aucune explication officielle. Cette action arbitraire a indigné de nombreux partisans et observateurs, qui dénoncent une tentative délibérée de museler l'opposition.
Le gouvernement de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani est accusé de mettre en œuvre des mesures répressives pour entraver la campagne de Biram Dah Abeid, un autre candidat influent. Selon des sources sur le terrain, les autorités auraient coupé le réseau internet et déployé des forces de l'ordre pour empêcher les rassemblements politiques de l'opposition. Ces manœuvres sont perçues comme une tentative de restreindre les libertés démocratiques et de garantir une élection sans véritable concurrence.
La situation en Mauritanie est préoccupante, car ces actions compromettent la transparence et l'équité du scrutin. Les organisations internationales et les observateurs électoraux sont appelés à surveiller de près ces élections pour s'assurer que les droits des candidats et des électeurs soient respectés.
Le déroulement de la campagne présidentielle en Mauritanie sera déterminant pour l'avenir politique du pays. Il est crucial que toutes les parties prenantes puissent s'exprimer librement et que le processus électoral se déroule dans un climat de transparence et de respect des droits fondamentaux.
En attendant, le peuple mauritanien observe avec anxiété l'évolution de la situation, espérant que les principes démocratiques prévaudront et que chaque candidat pourra mener sa campagne sans entrave.
Source: boolumbal
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