52, 47℅, c’est le pourcentage recueilli par Mohamed ould Abdel Aziz, à l’élection présidentielle du 18 juillet 2009, l’annone a été faite par le Président du conseil constitutionnel peu avant de rejeter le recours de Messaoud Ould Boulkheir, Ahmed Ould Daddah et Ely Ould Mohamed Vall contestant la validité des résultats de cette élection présidentielle. Si la victoire de Aziz est célébrée par une grande majorité des citadins, pour des opposants, l'existence des couveuses à voter fournies par la Fondation Bouamatou a dû peut- être étouffer l’ordre normal des urnes.
Cette première intervient peu après la démission du Président de la Céni qui avait annoncé chez lui qu’il doutait de la crédibilité des résultats tels qu’ils ont été proclamés trois jours avant par Mr Mohamed Ould Rzeizim, ministre de l’intérieur.
Résultats qui avaient accordés plus de 52℅ à Mohamed Ould Abdel Aziz , 16, 29 ℅ pour Messoud Ould Boulkheir, moins de 14℅ pour Ahmed Ould Daddah, les autres candidats en lice enregistrant des scores insignifiants.
Ces résultats n’étaient pas à l’abri des fraudes électorales pour quatre candidats toujours malheureux.
Pour cause, dans l’Etat-major d’Ould Daddah, des couveuses microscopiques à voter ont été installées, dit-on, dans les bureaux de vote par Sid'Ahmed Ould Raiss afin d’assurer la victoire de Mohamed Ould Abdel Aziz dés le premier tour.
En coulisse, on raconte en ce sens, que Raiss a hérité d’ailleurs de ses aïeuls, ce genre invisible de gadget à voter.
Pour le directoire de la campagne d’Ely Ould Mohamed Vall, cette pratique de vote, constitue un danger pour le processus démocratique entamé depuis le 03 août 2005.
La même inquiétude dans le camp de Messaoud qui, selon des sources concordantes, considère que la fiabilité du vote doit se focaliser sur un scrutin où chaque citoyen quelque soit la couleur de sa peau pourrait y exercer une vérification au même titre que les observateurs ou la Céni.
Du coté du président élu, les lettres de félicitations continuent d’affluer, il entend, d’après une source de proximité, célébrer sa victoire après avoir salué et remercié certains challengers venus lui témoigner de leur soutien et le féliciter.
Mais pour Ould Mohamed Vall et ces deux compagnons, il est de l’intérêt de la Mauritanie de refuser tout scrutin qui ne respecte pas le terme de l’espoir d’avoir un candidat pour tous.
Enfin, permettre des invisibles couveuses à voter encouragerait certains responsables connus par leur probité à démissionner, considère-t-on, aujourd’hui à l’hôtel Emira, siège de la Campagne de Daddah.
Ahmed Ould Bettar avec pointschauds
Source: riminfo
Cette première intervient peu après la démission du Président de la Céni qui avait annoncé chez lui qu’il doutait de la crédibilité des résultats tels qu’ils ont été proclamés trois jours avant par Mr Mohamed Ould Rzeizim, ministre de l’intérieur.
Résultats qui avaient accordés plus de 52℅ à Mohamed Ould Abdel Aziz , 16, 29 ℅ pour Messoud Ould Boulkheir, moins de 14℅ pour Ahmed Ould Daddah, les autres candidats en lice enregistrant des scores insignifiants.
Ces résultats n’étaient pas à l’abri des fraudes électorales pour quatre candidats toujours malheureux.
Pour cause, dans l’Etat-major d’Ould Daddah, des couveuses microscopiques à voter ont été installées, dit-on, dans les bureaux de vote par Sid'Ahmed Ould Raiss afin d’assurer la victoire de Mohamed Ould Abdel Aziz dés le premier tour.
En coulisse, on raconte en ce sens, que Raiss a hérité d’ailleurs de ses aïeuls, ce genre invisible de gadget à voter.
Pour le directoire de la campagne d’Ely Ould Mohamed Vall, cette pratique de vote, constitue un danger pour le processus démocratique entamé depuis le 03 août 2005.
La même inquiétude dans le camp de Messaoud qui, selon des sources concordantes, considère que la fiabilité du vote doit se focaliser sur un scrutin où chaque citoyen quelque soit la couleur de sa peau pourrait y exercer une vérification au même titre que les observateurs ou la Céni.
Du coté du président élu, les lettres de félicitations continuent d’affluer, il entend, d’après une source de proximité, célébrer sa victoire après avoir salué et remercié certains challengers venus lui témoigner de leur soutien et le féliciter.
Mais pour Ould Mohamed Vall et ces deux compagnons, il est de l’intérêt de la Mauritanie de refuser tout scrutin qui ne respecte pas le terme de l’espoir d’avoir un candidat pour tous.
Enfin, permettre des invisibles couveuses à voter encouragerait certains responsables connus par leur probité à démissionner, considère-t-on, aujourd’hui à l’hôtel Emira, siège de la Campagne de Daddah.
Ahmed Ould Bettar avec pointschauds
Source: riminfo