Alors que les supputations vont bon train, en attendant l’élection du nouveau bureau de l’Assemblée nationale, le nom de l’ancien ministre et Haut Commissaire de l’Omvs, Mohamed Salem Ould Merzough, revient souvent dans les projections quant à la formation d’un nouveau gouvernement, issu des dernières élections du 1er et 15 septembre 2018.
Beaucoup d’analystes s’accordent pour dire que la désignation de Merzough, conseiller à la présidence de la République, qui siègera à la Primature au nom du sempiternelle dosage ethnique au sein des institutions représentatives, ne tient plus qu’à la formalité de la propulsion du député-maire de Zouérate, Cheikh Ould Baya, à la présidence de l’Assemblée nationale.
La rumeur persistante de la nomination de Cheikh Ould Baya devient d’ailleurs de plus en plus évidente avec le recul observé dans la tenue de la première réunion de l’Assemblée prévue comme le prévoit l’article 52 de la Constitution depuis le 1er septembre 2018. Ce n’est que le fâcheux accident de Ould Baya, grièvement blessé et évacué en France, qui en avait retardé la tenue.
Aujourd’hui que Cheikh Ould Baya est de retour, le président Mohamed Ould Abdelaziz a émis depuis vendredi le fameux décret convoquant à la tenue de la première réunion de l’Assemblée nationale dévoilant au moins une pièce de puzzle avec cette première étape d’un processus avec en toile de fond la présidentielle de 2019.
Une posture qualifiée d’illégale et d’antidémocratique par l’Opposition qui y voit une violation manifeste des dispositions constitutionnelles.
Même s’il manque encore un chainon essentiel à cette pâtée politique, en sourdine, se rapportant au candidat «idéal» pour le système à la succession du président Aziz, force est de constater que la discrétion affichée ces jours-ci par le Général Mohamed Ould Gazwani, chef d’état-major des armées, invite à la réflexion. Même s’il ne raffolerait pas de ce choix qui serait porté sur lui, Ould Ghazwani serait la plus grande, sinon la seule assurance, d’une transition « pacifique » au sein même du système en place.
C’est dans ce contexte de polémique et d’attente du candidat du président que les mauritaniens se posent beaucoup de questions quant à la formation d’un nouveau gouvernement même si l’on ne tarit pas sur les arrière-pensées du président Mohamed Ould Abdelaziz avant la date fatidique de la présidentielle.
Le projet de gouvernement échafaudé est éclaté par le maintien d’une infime partie de l’ancien gouvernement et l’entrée de nouvelles figures qui ont toutes en point commun l’appartenance à l’UPR et le satisfécit du président Aziz quant à leur implication dans les dernières élections générales.
De sources concordantes dans le sérail du pouvoir, le futur gouvernement pourrait se présenter comme suit :
PM : Mohamed Salem Merzoug, Assaba
Ministre secrétaire général de la Présidence : DR CHEIKH MOHAMED OULD CHEIKH SIDIYA
Ministre de la justice : Sidi Mohamed Ould Maham
Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Ismail Cheikh Ahmed
Ministre de la Défense Nationale : Hamadi Ould Meimou
Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité: Fall N’Guissali
Ministre de la Décentralisation et du Développement Régional : Essma Mint Maouloud
Ministre de l’Economie et des Finances : Yahya Ould Abdedayem
Ministre des Affaires Islamiques et de l'Enseignement Originel : Ahmed Ould Ehl Daoud
Ministre de l'Enseignement Fondamental et Secondaire : Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deih
Ministre de l'Enseignement supérieur et la Recherche Scientifique : Naha Mint Mouknass
Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l'Administration : Amedi Camara
Ministre du pétrole, de l'Energie et des Mines : Abdelaziz Ould Dahi
Ministre du Commerce, de l'industrie, de l'Artisanat et du Tourisme : Mohamed Abdellahi Ould Oudaa
Ministre de la Santé : Khattri Ould Jdoud
Ministre de la Culture, de la communication et des relations avec le Parlement : Sidi Ould Salem
Ministre des pêches et de l'Economie Maritime : Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna
Ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement du territoire : Najwa Mint El Kettab
Ministre de l'agriculture : Mohamed El Mokhtar Ould Bellati
Ministre de l’Elevage : Mohamed Radhi Ould Bennahi
Ministre de l'Equipement et des Transports : Madi ould Taleb
Ministre de l'Hydraulique et de l’Assainissement : Vatma Vall Soueinie
Ministre de la Jeunesse et des Sports : Ba Mokhtar Malal
Ministre des Affaires sociales, de l'Enfance et de la Famille : Khadjetou Mint M’Bareck Fall
Ministre de l'Environnement et du Développement durable : Ahmed Zeidane Ould Mohamed Mahmoud
Ministre de l'emploi, de la Formation Professionnelle et des Technologies Nouvelles : Mohamed Ould Kembou
Ministère Secrétaire Général du Gouvernement : Diallo Mamadou Bathia
Ministre délégué auprès du ministre des finances chargé du Budget : Hassena Boukhreiss
Commissaire aux droits de l’Homme: Me Hamdi Ould Mahjoub
Commissaire à la sécurité alimentaire : Mme Khadijetou Mint Bouka
Source: http://mauriweb.info
Beaucoup d’analystes s’accordent pour dire que la désignation de Merzough, conseiller à la présidence de la République, qui siègera à la Primature au nom du sempiternelle dosage ethnique au sein des institutions représentatives, ne tient plus qu’à la formalité de la propulsion du député-maire de Zouérate, Cheikh Ould Baya, à la présidence de l’Assemblée nationale.
La rumeur persistante de la nomination de Cheikh Ould Baya devient d’ailleurs de plus en plus évidente avec le recul observé dans la tenue de la première réunion de l’Assemblée prévue comme le prévoit l’article 52 de la Constitution depuis le 1er septembre 2018. Ce n’est que le fâcheux accident de Ould Baya, grièvement blessé et évacué en France, qui en avait retardé la tenue.
Aujourd’hui que Cheikh Ould Baya est de retour, le président Mohamed Ould Abdelaziz a émis depuis vendredi le fameux décret convoquant à la tenue de la première réunion de l’Assemblée nationale dévoilant au moins une pièce de puzzle avec cette première étape d’un processus avec en toile de fond la présidentielle de 2019.
Une posture qualifiée d’illégale et d’antidémocratique par l’Opposition qui y voit une violation manifeste des dispositions constitutionnelles.
Même s’il manque encore un chainon essentiel à cette pâtée politique, en sourdine, se rapportant au candidat «idéal» pour le système à la succession du président Aziz, force est de constater que la discrétion affichée ces jours-ci par le Général Mohamed Ould Gazwani, chef d’état-major des armées, invite à la réflexion. Même s’il ne raffolerait pas de ce choix qui serait porté sur lui, Ould Ghazwani serait la plus grande, sinon la seule assurance, d’une transition « pacifique » au sein même du système en place.
C’est dans ce contexte de polémique et d’attente du candidat du président que les mauritaniens se posent beaucoup de questions quant à la formation d’un nouveau gouvernement même si l’on ne tarit pas sur les arrière-pensées du président Mohamed Ould Abdelaziz avant la date fatidique de la présidentielle.
Le projet de gouvernement échafaudé est éclaté par le maintien d’une infime partie de l’ancien gouvernement et l’entrée de nouvelles figures qui ont toutes en point commun l’appartenance à l’UPR et le satisfécit du président Aziz quant à leur implication dans les dernières élections générales.
De sources concordantes dans le sérail du pouvoir, le futur gouvernement pourrait se présenter comme suit :
PM : Mohamed Salem Merzoug, Assaba
Ministre secrétaire général de la Présidence : DR CHEIKH MOHAMED OULD CHEIKH SIDIYA
Ministre de la justice : Sidi Mohamed Ould Maham
Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Ismail Cheikh Ahmed
Ministre de la Défense Nationale : Hamadi Ould Meimou
Ministre de l'Intérieur et de la Sécurité: Fall N’Guissali
Ministre de la Décentralisation et du Développement Régional : Essma Mint Maouloud
Ministre de l’Economie et des Finances : Yahya Ould Abdedayem
Ministre des Affaires Islamiques et de l'Enseignement Originel : Ahmed Ould Ehl Daoud
Ministre de l'Enseignement Fondamental et Secondaire : Ahmed Ould Mohamed Mahmoud Ould Deih
Ministre de l'Enseignement supérieur et la Recherche Scientifique : Naha Mint Mouknass
Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l'Administration : Amedi Camara
Ministre du pétrole, de l'Energie et des Mines : Abdelaziz Ould Dahi
Ministre du Commerce, de l'industrie, de l'Artisanat et du Tourisme : Mohamed Abdellahi Ould Oudaa
Ministre de la Santé : Khattri Ould Jdoud
Ministre de la Culture, de la communication et des relations avec le Parlement : Sidi Ould Salem
Ministre des pêches et de l'Economie Maritime : Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna
Ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement du territoire : Najwa Mint El Kettab
Ministre de l'agriculture : Mohamed El Mokhtar Ould Bellati
Ministre de l’Elevage : Mohamed Radhi Ould Bennahi
Ministre de l'Equipement et des Transports : Madi ould Taleb
Ministre de l'Hydraulique et de l’Assainissement : Vatma Vall Soueinie
Ministre de la Jeunesse et des Sports : Ba Mokhtar Malal
Ministre des Affaires sociales, de l'Enfance et de la Famille : Khadjetou Mint M’Bareck Fall
Ministre de l'Environnement et du Développement durable : Ahmed Zeidane Ould Mohamed Mahmoud
Ministre de l'emploi, de la Formation Professionnelle et des Technologies Nouvelles : Mohamed Ould Kembou
Ministère Secrétaire Général du Gouvernement : Diallo Mamadou Bathia
Ministre délégué auprès du ministre des finances chargé du Budget : Hassena Boukhreiss
Commissaire aux droits de l’Homme: Me Hamdi Ould Mahjoub
Commissaire à la sécurité alimentaire : Mme Khadijetou Mint Bouka
Source: http://mauriweb.info