Le sort du HCE continue de bloquer l’annonce du gouvernement de Transition. Ould Abdel Aziz continue de multiplier les déclarations sur cette énième « ligne rouge » et refuse toute dissolution de l’organe dirigeant de la junte au pouvoir. Pour sa part, Sidi Ould Cheikh Abdellahi, dont la démission volontaire est la clef de toute sortie de crise, exige l’abrogation des textes instituant l’instrument qui l’a renversé.
Hier, les parties mauritaniennes ont tenu une réunion avec les Facilitateurs. E Représentant de l’UA en Mauritanie, Mohamed Salah Nadhif, s’est dit optimiste, déclarant que cette question doit être réglée rapidement et que l’annonce du Gouvernement de Transition sera faite dans les vingt quatre heures, excluant toujours l’éventualité du report du scrutin.
L’Accord de Dakar stipule : « les institutions et structures de Défense et de Sécurité accomplissent leurs missions dans le cadre de la Constitution et des lois de la République
».
Institution militaire anticonstitutionnelle, le HCE s’est entouré de pouvoirs exceptionnels à travers l’ordonnance constitutionnelle du 11 août 2008 régissant ses pouvoirs provisoires et qui prévoit que : « Le HCE, après avoir mis fin aux pouvoirs du Président de la République élu, exerce, en la forme collégiale, les pouvoirs dévolus à celui-ci en vertu de la Constitution, notamment ceux nécessaires à la réorganisation de la conduite de l’Etat et des affaires publiques pendant la période nécessaire à l’élection et à l’investiture du Président de la République. En application des Articles 23 à 39 de la Constitution, le Président d u HCE, exerce au nom du HCE les prérogatives de chef de l’Etat. Lorsque le fonctionnement du Parlement est entravé, le HCE édicte par ordonnance les mesures de force législatives nécessaires à la garantie de la liberté et de la transparence des Elections Présidentielles. Les dispositions de la Constitution contraires ou incompatible avec la présente ordonnance constitutionnelle sont modifiées en tant que de besoin, pendant la période nécessaire à l’élection et à l’investiture du Président de la République ».
Source: Ponits chaudes
Hier, les parties mauritaniennes ont tenu une réunion avec les Facilitateurs. E Représentant de l’UA en Mauritanie, Mohamed Salah Nadhif, s’est dit optimiste, déclarant que cette question doit être réglée rapidement et que l’annonce du Gouvernement de Transition sera faite dans les vingt quatre heures, excluant toujours l’éventualité du report du scrutin.
L’Accord de Dakar stipule : « les institutions et structures de Défense et de Sécurité accomplissent leurs missions dans le cadre de la Constitution et des lois de la République
».
Institution militaire anticonstitutionnelle, le HCE s’est entouré de pouvoirs exceptionnels à travers l’ordonnance constitutionnelle du 11 août 2008 régissant ses pouvoirs provisoires et qui prévoit que : « Le HCE, après avoir mis fin aux pouvoirs du Président de la République élu, exerce, en la forme collégiale, les pouvoirs dévolus à celui-ci en vertu de la Constitution, notamment ceux nécessaires à la réorganisation de la conduite de l’Etat et des affaires publiques pendant la période nécessaire à l’élection et à l’investiture du Président de la République. En application des Articles 23 à 39 de la Constitution, le Président d u HCE, exerce au nom du HCE les prérogatives de chef de l’Etat. Lorsque le fonctionnement du Parlement est entravé, le HCE édicte par ordonnance les mesures de force législatives nécessaires à la garantie de la liberté et de la transparence des Elections Présidentielles. Les dispositions de la Constitution contraires ou incompatible avec la présente ordonnance constitutionnelle sont modifiées en tant que de besoin, pendant la période nécessaire à l’élection et à l’investiture du Président de la République ».
Source: Ponits chaudes