Les négociations en cours sur le passif humanitaire, qualifié par les observateurs comme le premier génocide mauritanien, suscitent de vives inquiétudes. Le président Ould Ghazouani semble vouloir négocier secrètement avec quelques rescapés, ignorant ainsi les victimes civiles ainsi que les déportés restés au Sénégal et au Mali. Cette approche risque de nuire gravement à l'unité nationale. De plus, les organisations de victimes sont divisées et ne parviennent plus à s'entendre sur une plate-forme de revendication face au gouvernement mauritanien.
Le génocide mauritanien qui s'est déroulé entre 1989 et 1991 a été qualifié par les observateurs comme l'un des premiers génocides en Mauritanie. Cette période a été marquée par des violences interethniques, principalement entre les Maures et les Afro-mauritaniens. Des milliers de personnes ont perdu la vie, tandis que de nombreux autres ont été déplacés ou déportés vers le Sénégal et le Mali.
La récente révélation selon laquelle le président Ould Ghazouani mène des négociations secrètes sur le génocide mauritanien suscite de profondes inquiétudes. Ces négociations semblent exclure les victimes civiles ainsi que les déportés qui sont restés au Sénégal et au Mali. Cette exclusion est perçue comme une grave atteinte à l'unité nationale et une injustice envers les victimes qui ont souffert des conséquences de ce génocide.
La division des organisations de victimes :
De plus, cette démarche engendre une division parmi les organisations de victimes. Incapables de s'entendre sur une plate-forme de revendication commune,ces organisations se retrouvent dans l'impasse face au gouvernement mauritanien. Cette division affaiblit la voix des victimes et complique leur lutte pour la justice et la reconnaissance de leurs droits.
L'importance de l'unité nationale et de la justice :
L'unité nationale est un élément essentiel pour la construction d'une société forte et inclusive. En négligeant les victimes civiles et les déportés, le président Ould Ghazouani risque de fragiliser cette unité et de creuser les divisions au sein de la société mauritanienne. De plus, la recherche de justice et de vérité sur les événements tragiques de 1989-1991 est cruciale pour garantir un avenir de réconciliation et de paix durables.
Il est impératif que le gouvernement mauritanien prenne en compte les préoccupations des victimes civiles et des déportés dans les négociations en cours sur le passif humanitaire. La voix de toutes les parties concernées doit être entendue et prise en compte afin de parvenir à une solution juste et équitable. Les organisations de victimes doivent également faire preuve de solidarité et de coopération pour défendre leurs droits et leurs revendications.
Les négociations secrètes sur le génocide mauritanien de 1989-1991, qui excluent les victimes civiles et les déportés restés au Sénégal et au Mali, représentent une grave atteinte à l'unité nationale en Mauritanie. La division des organisations de victimes complique davantage la recherche de justice et de réparation. Il est essentiel que le gouvernement mauritanien prenne en compte toutes les parties concernées et travaille à garantir une solution juste et équitable pour toutes les victimes de ce tragique événement de l'histoire du pays. Abou SARR
Le génocide mauritanien qui s'est déroulé entre 1989 et 1991 a été qualifié par les observateurs comme l'un des premiers génocides en Mauritanie. Cette période a été marquée par des violences interethniques, principalement entre les Maures et les Afro-mauritaniens. Des milliers de personnes ont perdu la vie, tandis que de nombreux autres ont été déplacés ou déportés vers le Sénégal et le Mali.
La récente révélation selon laquelle le président Ould Ghazouani mène des négociations secrètes sur le génocide mauritanien suscite de profondes inquiétudes. Ces négociations semblent exclure les victimes civiles ainsi que les déportés qui sont restés au Sénégal et au Mali. Cette exclusion est perçue comme une grave atteinte à l'unité nationale et une injustice envers les victimes qui ont souffert des conséquences de ce génocide.
La division des organisations de victimes :
De plus, cette démarche engendre une division parmi les organisations de victimes. Incapables de s'entendre sur une plate-forme de revendication commune,ces organisations se retrouvent dans l'impasse face au gouvernement mauritanien. Cette division affaiblit la voix des victimes et complique leur lutte pour la justice et la reconnaissance de leurs droits.
L'importance de l'unité nationale et de la justice :
L'unité nationale est un élément essentiel pour la construction d'une société forte et inclusive. En négligeant les victimes civiles et les déportés, le président Ould Ghazouani risque de fragiliser cette unité et de creuser les divisions au sein de la société mauritanienne. De plus, la recherche de justice et de vérité sur les événements tragiques de 1989-1991 est cruciale pour garantir un avenir de réconciliation et de paix durables.
Il est impératif que le gouvernement mauritanien prenne en compte les préoccupations des victimes civiles et des déportés dans les négociations en cours sur le passif humanitaire. La voix de toutes les parties concernées doit être entendue et prise en compte afin de parvenir à une solution juste et équitable. Les organisations de victimes doivent également faire preuve de solidarité et de coopération pour défendre leurs droits et leurs revendications.
Les négociations secrètes sur le génocide mauritanien de 1989-1991, qui excluent les victimes civiles et les déportés restés au Sénégal et au Mali, représentent une grave atteinte à l'unité nationale en Mauritanie. La division des organisations de victimes complique davantage la recherche de justice et de réparation. Il est essentiel que le gouvernement mauritanien prenne en compte toutes les parties concernées et travaille à garantir une solution juste et équitable pour toutes les victimes de ce tragique événement de l'histoire du pays. Abou SARR