Devant l’impossibilité pour les représentants de Mohamed Ould Abdel Aziz, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi et Ahmed Ould Daddah à accepter l’accord cadre recommandé par le Groupe de contact international sur la Mauritanie en perspective d’assurer une transition de courte durée ; le Choix de l’ex-première dame, Madame khatou mint Boukhary pourrait certes décongestionner ce climat malsain et donc permettre sans nul doute et pour plusieurs raisons une seconde transition en douce. D’abord en désignant khattou mint Boukhary, président par intérim de la République, les deux antagonistes dans la crise ne pourront qu’enterrer leur hache de guerre car l’un est, dit-on son, cousin, l’autre est son mari ou plus communément appelé chez moi, « le père de ses enfants ».
Ainsi devant ce scénario, le premier serait dans l’incapacité de susciter une quelconque fronde pour la simple raison qu’il partage avec le nouveau président non seulement les liens de sang mais également les mêmes sentiments pour les pauvres. Madame la présidente est connue par les habitants de Mina, de Tintane, de Toujounine et Tidjikja tandis que son mari et son challenger sont connus par Nouadhibou lors d’un premier conseil de ministres ou plu tard peu après la pénurie d’eau, les émeutes de la faim, la fronde des civils suivie de celle des militaires quelques mois seulement avant une première visite d’un chef d’Etat pour Kebat el Marbat, un quartier périphérique de Nouakchott que même les volailles ne peuvent y habiter.
Ensuite, il ne serait pas vraiment appréciable de se disputer un fauteuil avec une femme.
D’une part, ‘le père de ses enfants arriverait très certainement de convaincre ses amis sauf un seul qui ne manquerait pas, dit—on, à Dienké à adopter de nouveau la politique de la chaise vide pour une durée de 24 heures ou plus.
D’autre part, un tel choix ouvrirait pour le challenger du ‘père de ses enfants’ des nouvelles perspectives et un avenir radieux qui le propulserait au mois de juillet aux commandes d’une nation à la croisée des chemins. Enfin, cette option parfaitement analysée cette fois par les médiateurs de Dakar pourrait très certainement être accepté par « le groupe de contact national sur la Mauritanie », représenté par le président par intérim sortant et en synergie avec les autres candidats en lice pour la présidentielle de juin 2009.
Ahmed ould Mohamed El Noh
Ainsi devant ce scénario, le premier serait dans l’incapacité de susciter une quelconque fronde pour la simple raison qu’il partage avec le nouveau président non seulement les liens de sang mais également les mêmes sentiments pour les pauvres. Madame la présidente est connue par les habitants de Mina, de Tintane, de Toujounine et Tidjikja tandis que son mari et son challenger sont connus par Nouadhibou lors d’un premier conseil de ministres ou plu tard peu après la pénurie d’eau, les émeutes de la faim, la fronde des civils suivie de celle des militaires quelques mois seulement avant une première visite d’un chef d’Etat pour Kebat el Marbat, un quartier périphérique de Nouakchott que même les volailles ne peuvent y habiter.
Ensuite, il ne serait pas vraiment appréciable de se disputer un fauteuil avec une femme.
D’une part, ‘le père de ses enfants arriverait très certainement de convaincre ses amis sauf un seul qui ne manquerait pas, dit—on, à Dienké à adopter de nouveau la politique de la chaise vide pour une durée de 24 heures ou plus.
D’autre part, un tel choix ouvrirait pour le challenger du ‘père de ses enfants’ des nouvelles perspectives et un avenir radieux qui le propulserait au mois de juillet aux commandes d’une nation à la croisée des chemins. Enfin, cette option parfaitement analysée cette fois par les médiateurs de Dakar pourrait très certainement être accepté par « le groupe de contact national sur la Mauritanie », représenté par le président par intérim sortant et en synergie avec les autres candidats en lice pour la présidentielle de juin 2009.
Ahmed ould Mohamed El Noh