L’Union africaine a levé ses sanctions contre la Mauritanie en raison de récentes mesures prises par Nouakchott pour rétablir la démocratie, annonce l’UA dans un communiqué diffusé mercredi. La levée des sanctions a été décidée par le conseil de paix et de sécurité de l’UA lors d’une réunion lundi 29 juin.
Ce dernier précise qu’il continuera de suivre l’évolution de la situation en Mauritanie et n’exclut pas d’imposer à nouveau des sanctions. L’UA avait exclu provisoirement la Mauritanie après le renversement en août dernier par l’armée du président élu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. L’institution avait également interdit de visas et de voyages les membres de la junte au pouvoir et ses partisans. Une élection présidentielle doit avoir lieu le 18 juillet sous la supervision d’un gouvernement d’union nationale nommé par le président déchu en vertu d’un accord avec les militaires. Les portefeuilles ont été répartis à égalité entre la junte dirigée par Mohamed Ould Abdel Aziz et la coalition d’opposition, le Front national pour la défense de la démocratie. Abdallahi, premier président mauritanien démocratiquement élu, était depuis moins de deux ans au pouvoir lorsqu’il a été renversé. Les pays voisins de la Mauritanie se sont inquiétés du coup d’Etat en craignant qu’il ne crée un précédent dans une région ayant retrouvé une certaine stabilité ces dernières années. Mais Khaddafi a ouvertement soutenu le putsch et a été son avocat au niveau de l’ UA.
Source: Tahalil
Ce dernier précise qu’il continuera de suivre l’évolution de la situation en Mauritanie et n’exclut pas d’imposer à nouveau des sanctions. L’UA avait exclu provisoirement la Mauritanie après le renversement en août dernier par l’armée du président élu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. L’institution avait également interdit de visas et de voyages les membres de la junte au pouvoir et ses partisans. Une élection présidentielle doit avoir lieu le 18 juillet sous la supervision d’un gouvernement d’union nationale nommé par le président déchu en vertu d’un accord avec les militaires. Les portefeuilles ont été répartis à égalité entre la junte dirigée par Mohamed Ould Abdel Aziz et la coalition d’opposition, le Front national pour la défense de la démocratie. Abdallahi, premier président mauritanien démocratiquement élu, était depuis moins de deux ans au pouvoir lorsqu’il a été renversé. Les pays voisins de la Mauritanie se sont inquiétés du coup d’Etat en craignant qu’il ne crée un précédent dans une région ayant retrouvé une certaine stabilité ces dernières années. Mais Khaddafi a ouvertement soutenu le putsch et a été son avocat au niveau de l’ UA.
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