La classe politique mauritanienne a salué la signature, jeudi soir à Nouakchott, d'un accord pour mettre fin à la crise politique née du coup d'Etat du 6 août dernier et de l'organisation de l'élection présidentielle dont le premier tour, prévu ce samedi, a été reporté au 18 juillet.
Cet accord a été signé après six jours de négociations qui se sont déroulées à Dakar, la capitale du Sénégal, sur l'initiative du président sénégalais, Abdoulaye Wade, appuyée par l'Union africaine (UA) et le Groupe de contact International sur la Mauritanie.
En plus du report de la présidentielle l'accord prévoit également la mise en place d'un gouvernement d'union nationale de transition.
L'ancien ancien chef de l'Etat mauritanien, d'août 2005 à avril 2007, Ely Ould Mohamed Vall, s'est «réjoui de la capacité du peuple mauritanien à se surpasser pour faire face aux grands défis».
Il a estimé que cela est «une grande source de fierté», promettant de mettre sa «modeste expérience au service du pays en vue du renforcement de la démocratie».
L'Alliance populaire progressiste (APP) du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, soutient que cet accord répond à «l'intérêt supérieur de la Mauritanie» et appelle les vives du pays «à faire preuve de maturité, de réalisme et de tolérance pour traduire dans les faits cette nouvelle volonté».
Le Forum national des organisations de défense des droits humains (FONADH) appelle les leaders politiques «à une mise en œuvre consensuelle de l'accord qui favorise la réconciliation nationale et permet l'organisation d'une élection présidentielle libre, juste, transparente et crédible».
L'accord inter-mauritanien a été signé par le camp de l'ancien chef de la junte et candidat à la présidentielle du 18 juillet, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), une alliance de partis opposés au pouvoir militaire, et le Rassemblement des forces démocratiques (RFD).
Cet accord a été signé après six jours de négociations qui se sont déroulées à Dakar, la capitale du Sénégal, sur l'initiative du président sénégalais, Abdoulaye Wade, appuyée par l'Union africaine (UA) et le Groupe de contact International sur la Mauritanie.
En plus du report de la présidentielle l'accord prévoit également la mise en place d'un gouvernement d'union nationale de transition.
L'ancien ancien chef de l'Etat mauritanien, d'août 2005 à avril 2007, Ely Ould Mohamed Vall, s'est «réjoui de la capacité du peuple mauritanien à se surpasser pour faire face aux grands défis».
Il a estimé que cela est «une grande source de fierté», promettant de mettre sa «modeste expérience au service du pays en vue du renforcement de la démocratie».
L'Alliance populaire progressiste (APP) du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, soutient que cet accord répond à «l'intérêt supérieur de la Mauritanie» et appelle les vives du pays «à faire preuve de maturité, de réalisme et de tolérance pour traduire dans les faits cette nouvelle volonté».
Le Forum national des organisations de défense des droits humains (FONADH) appelle les leaders politiques «à une mise en œuvre consensuelle de l'accord qui favorise la réconciliation nationale et permet l'organisation d'une élection présidentielle libre, juste, transparente et crédible».
L'accord inter-mauritanien a été signé par le camp de l'ancien chef de la junte et candidat à la présidentielle du 18 juillet, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, le Front national pour la défense de la démocratie (FNDD), une alliance de partis opposés au pouvoir militaire, et le Rassemblement des forces démocratiques (RFD).