Au cours du meeting qu’il a animé aujourd’hui dans la capitale du Tiris-Zemmour, le candidat Mohamed Ould Abdel Aziz a fait don, aux familles sinistrées de Zouérate suite aux inondations de la mi-juin, de 20 millions d’ouguiyas et de 60 tonnes de produits alimentaires.
De même qu’il a déclaré faire don de 30 tonnes de vivres aux populations démunies ainsi que de 10 millions d’ouguiyas à l’hôpital régional de Zouérate précisant : «Cet argent n’est pas du budget de l’Etat mais provient des fonds propres de ma campagne, alors que les moyens financiers du Front ont été volés à l’Etat».
Le candidat Ould Abdel Aziz s’est engagé à désenclaver la ville de Zouérate, soulignant que son isolement «dénote de l’échec de ses adversaires qui étaient, peu ou prou, au pouvoir», ajoutant : «la propagation de la gabegie dans le pays et la démission de l’Etat devant les préoccupations des citoyens sont les raisons premières qui nous ont incitées à faire un coup d’Etat en 2005, lequel était techniquement réussi mais la déprédation est revenue de plus belle et de manière agressive. D’où le mouvement rectificatif de 2008 en vue de construire un pays dont les richesses profitent, à part égale, à tout le monde, l’argent ayant été tout au long des périodes précédentes de notre histoire le privilège des riches dont en sont privés les personnes défavorisées, les populations pauvres et les marginalisés.»
Source : ANI
De même qu’il a déclaré faire don de 30 tonnes de vivres aux populations démunies ainsi que de 10 millions d’ouguiyas à l’hôpital régional de Zouérate précisant : «Cet argent n’est pas du budget de l’Etat mais provient des fonds propres de ma campagne, alors que les moyens financiers du Front ont été volés à l’Etat».
Le candidat Ould Abdel Aziz s’est engagé à désenclaver la ville de Zouérate, soulignant que son isolement «dénote de l’échec de ses adversaires qui étaient, peu ou prou, au pouvoir», ajoutant : «la propagation de la gabegie dans le pays et la démission de l’Etat devant les préoccupations des citoyens sont les raisons premières qui nous ont incitées à faire un coup d’Etat en 2005, lequel était techniquement réussi mais la déprédation est revenue de plus belle et de manière agressive. D’où le mouvement rectificatif de 2008 en vue de construire un pays dont les richesses profitent, à part égale, à tout le monde, l’argent ayant été tout au long des périodes précédentes de notre histoire le privilège des riches dont en sont privés les personnes défavorisées, les populations pauvres et les marginalisés.»
Source : ANI
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