Monsieur Mohamed Ahmed Ould Mohamed Lemine, ministre de l'Intérieur, de la Promotion de la Décentralisation et du Développement Local, a récemment souligné que les embouteillages à Nouakchott sont devenus une question cruciale qui affecte la qualité de vie quotidienne des citoyens à travers le pays. Cette problématique, loin d'être isolée, touche chaque Mauritanien, rendant les trajets non seulement longs mais aussi stressants.
Un des points soulevés par le ministre est la manière dont les permis de conduire sont délivrés en Mauritanie. Actuellement, de nombreux conducteurs obtiennent leur permis sans avoir suivi de formation adéquate dans une auto-école, ni même de formation au code de la route. Cela pose la question de la compétence des conducteurs sur les routes et de la sécurité routière en général. Sans une formation appropriée, comment le gouvernement peut-il espérer sanctionner efficacement les infractions au code de la route ?
Le constat est alarmant : de nombreux conducteurs semblent agir selon leur bon vouloir sur les routes, ce qui crée un environnement de circulation chaotique. L'autorité de l'État, selon les observations de Monsieur le ministre, semble avoir disparu, laissant place à une anarchie routière. Les grands axes de circulation sont souvent bloqués, et il est fréquent de voir des policiers se concentrer sur la collecte de petites amendes plutôt que sur la régulation efficace de la circulation.
Pour remédier à cette situation, le gouvernement mauritanien devra agir rapidement et avec détermination. Cela pourrait impliquer la mise en place de programmes de formation rigoureux pour les futurs conducteurs, ainsi que des campagnes de sensibilisation sur les règles de la route. En outre, il est crucial de renforcer la présence et la formation des forces de police pour qu'elles puissent jouer un rôle actif dans la régulation du trafic et la sécurité routière.
Il est impératif que l'État retrouve son autorité et mette en œuvre des mesures concrètes pour améliorer la situation actuelle. Les embouteillages à Nouakchott ne sont pas simplement un désagrément, mais un véritable obstacle au développement et à la qualité de vie des Mauritaniens. Le ministre a un défi de taille à relever, mais avec une approche proactive et structurée, il est possible de transformer cette problématique en une opportunité d'amélioration pour la société mauritanienne
Abou SARR
Un des points soulevés par le ministre est la manière dont les permis de conduire sont délivrés en Mauritanie. Actuellement, de nombreux conducteurs obtiennent leur permis sans avoir suivi de formation adéquate dans une auto-école, ni même de formation au code de la route. Cela pose la question de la compétence des conducteurs sur les routes et de la sécurité routière en général. Sans une formation appropriée, comment le gouvernement peut-il espérer sanctionner efficacement les infractions au code de la route ?
Le constat est alarmant : de nombreux conducteurs semblent agir selon leur bon vouloir sur les routes, ce qui crée un environnement de circulation chaotique. L'autorité de l'État, selon les observations de Monsieur le ministre, semble avoir disparu, laissant place à une anarchie routière. Les grands axes de circulation sont souvent bloqués, et il est fréquent de voir des policiers se concentrer sur la collecte de petites amendes plutôt que sur la régulation efficace de la circulation.
Pour remédier à cette situation, le gouvernement mauritanien devra agir rapidement et avec détermination. Cela pourrait impliquer la mise en place de programmes de formation rigoureux pour les futurs conducteurs, ainsi que des campagnes de sensibilisation sur les règles de la route. En outre, il est crucial de renforcer la présence et la formation des forces de police pour qu'elles puissent jouer un rôle actif dans la régulation du trafic et la sécurité routière.
Il est impératif que l'État retrouve son autorité et mette en œuvre des mesures concrètes pour améliorer la situation actuelle. Les embouteillages à Nouakchott ne sont pas simplement un désagrément, mais un véritable obstacle au développement et à la qualité de vie des Mauritaniens. Le ministre a un défi de taille à relever, mais avec une approche proactive et structurée, il est possible de transformer cette problématique en une opportunité d'amélioration pour la société mauritanienne
Abou SARR
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