Les dessous du mensonge sur ma récompense par Aziz

Je n’ai pas pour habitude de répondre, mais en pareille occasion, par devoir de vérité et respect à mon peuple, je me dois de lever l’équivoque et mettre fin à toute tentative journalistique ou politique de nuire à ma modeste personne ou celle de mon peuple. Surtout s’il se trouve que l’information provient d’un ami et frère avec qui j’ai eu à partager beaucoup de choses.

Sans chercher à savoir ce qui motive mon collegue Cridemien, contrairement à lui, je me félicite de la nomination de mon frère et ami de lutte Ba Abdoulaye et affirme devant le peuple je ne suis redevable à personne et encore moins au président Aziz.

Je vous ferai l’économie de vous parler de moi car je n’ai rien de spécial ou de plus que quiconque si ce n’est mon attachement à mon combat pour ce peuple et ma profonde conviction sur la capacité de cette jeunesse à aller de l’avant.



Je ne sais par quelle magie mais toutes les personnes citées par le confrère Babacar dans son article « les dessous de la nomination de Ba abdoulaye…. », incarnent la résistance et la justice sur les dossiers le plus médiatisés et le plus évités. La qualité de l’analyse pèche dans l’ignorance et le manque de source. Ce qui est vraiment très grave pour un journaliste.

Pour aider le confrère, qui pourtant à la possibilité de pouvoir prendre un bon thé avec nous et de poser les questions les plus inimaginables, je lui demande de prendre note que ma bourse d’étude est le fruit de brillants efforts au terme de quatre bonnes années d’étudiant et de syndicaliste model ( Hamsoulillah) ayant fait de moi le major de toute ma promotion. Alors que viennent faire Aziz ou Isselkou dans tout ca ?

La petitesse du raisonnement qui concourent à faire des déductions diaboliques pour la simple raison j’ai eu à tenir des réunions avec Aziz et Isselkou prouvent que je me suis toujours soucié de la grande confiance que m’accordaient les étudiants pour trouver une solution à certaines des inquiétudes.

Par la grâce de dieu, j’ai toujours dis très haut ce que je pense de Aziz avec les mots les plus simple. Et j’espère que le confrère sait que la main qui donne est la main qui dirige et que la liberté d’un homme ne peut avoir un prix.

Une fois de plus, ma relation avec Aziz est une relation de principe et non d’intérêt car j’ai la conviction que le seul homme qui mérite ma soumission et mes applaudissements sera celui qui pourra m’offrir la vie éternelle. A défaut, je resterai fidele au maitre suprême qui est le seul à pouvoir décider de ma vie.

Tout en espérant que le confrère est de bonne foi, je l’invite à penser à l’éventuelle possibilité de prendre un bon thé avec nous afin de voir plus claire. S’il le souhaite Aziz, Isselkou, Diakité, Ba Abdoulaye, Lam, Ndiaye Kane Sarr seront de la partie et il pourra mener librement ses enquêtes et affirmer la fiabilité de ses sources.

Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller