Autrefois le duel est un combat, soumis à certaines règles, opposant deux adversaires, l’un ayant demandé à l’autre réparation par les armes d’une offense ou d’un tort. Les combattants sont assistés de témoins qui veillent au respect des règles, ainsi qu’aux conventions particulières fixées avant le combat.
Ce duel virtuel bien sûr dans ce scrutin est l’imagination de l’auteur de cet article. Ce duel sera d’un genre nouveau un DUEL VERBAL. L’Ex général MOHAMED OULD ABDEL AZIZ au deuxième jour de la campagne commence à vilipender ses adversaires en les traitant de voleurs, de pilleurs de l’économie et menace de construire des prisons pouvant contenir cette bande. Ainsi, se résume le programme électoral de l’ancien putchiste qui veut faire une mue et devenir président élu démocratiquement.
A ces propos Mr AHMED DADDAH, répond par l’indifférence d’abord, ensuite il déclare qu’un président qui veut être rassembleur ne doit pas traiter la lutte de la corruption par la construction des prisons, mais essayer de lutter contre ce mal, comme les maladies endémiques.
Le candidat MESSADOUD par contre, ayant le sang chaud déclare en riant sous cap que : «Le meeting de Ould Abdel Aziz à Nouakchott sera l'occasion d'un grand déballage, il passera son temps à parler des autres sans dire un mot sur son propre programme. Remarquez, ça l'arrange bien : il n'en a pas ou plutôt si, le sien se résume ainsi : "tous ceux qui sont contre moi sont des voleurs, par conséquent je dois les emprisonner".
Le candidat ELY OULD MED VALL, évite de s’adresser directement à son cousin, il interpelle les électeurs en ces termes : « Vous devez faire un choix historique entre l’espoir et l’instabilité »
Le candidat AZIZ ne s’en prend qu’à ses véritables challengers, ceux qui menacent de démanteler ses plans, de lui ravir le fauteuil présidentiel, de réduire son rêve à néant. A ceux-ci, il s’attaque frontalement les traitant de voleurs, d’agents aux services d’ISRAEL. C’est çà le changement constructif selon lui, la Mauritanie des profondeurs, le soutien des centres hospitaliers avec de l’argent propre et bien acquis (pas celui des voleurs Daddah, Messaoud et Ely). Aux autres candidats, il ne dit rien, sachant qu’ils ne le menacent pas.
HITLER, était un grand orateur il haranguait les foules et captait leurs attentions des heures durant. Une fois au stade de Berlin, un reporter assisté d’une sténographe voulait rapporter son discours. La pauvre sténo se démenait comme un diable pour suivre écrire tout ce qu’il disait. Apres quatre heures, le discours terminé, le reporter qui reçoit une pile de feuille se rend compte que le discours est vide de sens comme de contenu. Comme quoi, il faut se méfier de la démagogie des politiques.
CHARLES PEGGY disait : Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles.
A son meeting de NOUAKCHOTT vers la fin de la campagne, l’ex-général promet de divulguer et montrer des preuves contre Daddah et Messaoud sur des malversations dans les gestions des deux structures qu’ils président.
Un peu de retenue mon Général, n’attaquez pas Daddah et Messaoud sur ce terrain, votre petit peuple, celui qui vous écoutait, ne va plus vous croire, un combat perdu d’avance et avec lui votre espoir de devenir président.
ALMORAVIDE
Source:riminfo
Ce duel virtuel bien sûr dans ce scrutin est l’imagination de l’auteur de cet article. Ce duel sera d’un genre nouveau un DUEL VERBAL. L’Ex général MOHAMED OULD ABDEL AZIZ au deuxième jour de la campagne commence à vilipender ses adversaires en les traitant de voleurs, de pilleurs de l’économie et menace de construire des prisons pouvant contenir cette bande. Ainsi, se résume le programme électoral de l’ancien putchiste qui veut faire une mue et devenir président élu démocratiquement.
A ces propos Mr AHMED DADDAH, répond par l’indifférence d’abord, ensuite il déclare qu’un président qui veut être rassembleur ne doit pas traiter la lutte de la corruption par la construction des prisons, mais essayer de lutter contre ce mal, comme les maladies endémiques.
Le candidat MESSADOUD par contre, ayant le sang chaud déclare en riant sous cap que : «Le meeting de Ould Abdel Aziz à Nouakchott sera l'occasion d'un grand déballage, il passera son temps à parler des autres sans dire un mot sur son propre programme. Remarquez, ça l'arrange bien : il n'en a pas ou plutôt si, le sien se résume ainsi : "tous ceux qui sont contre moi sont des voleurs, par conséquent je dois les emprisonner".
Le candidat ELY OULD MED VALL, évite de s’adresser directement à son cousin, il interpelle les électeurs en ces termes : « Vous devez faire un choix historique entre l’espoir et l’instabilité »
Le candidat AZIZ ne s’en prend qu’à ses véritables challengers, ceux qui menacent de démanteler ses plans, de lui ravir le fauteuil présidentiel, de réduire son rêve à néant. A ceux-ci, il s’attaque frontalement les traitant de voleurs, d’agents aux services d’ISRAEL. C’est çà le changement constructif selon lui, la Mauritanie des profondeurs, le soutien des centres hospitaliers avec de l’argent propre et bien acquis (pas celui des voleurs Daddah, Messaoud et Ely). Aux autres candidats, il ne dit rien, sachant qu’ils ne le menacent pas.
HITLER, était un grand orateur il haranguait les foules et captait leurs attentions des heures durant. Une fois au stade de Berlin, un reporter assisté d’une sténographe voulait rapporter son discours. La pauvre sténo se démenait comme un diable pour suivre écrire tout ce qu’il disait. Apres quatre heures, le discours terminé, le reporter qui reçoit une pile de feuille se rend compte que le discours est vide de sens comme de contenu. Comme quoi, il faut se méfier de la démagogie des politiques.
CHARLES PEGGY disait : Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles.
A son meeting de NOUAKCHOTT vers la fin de la campagne, l’ex-général promet de divulguer et montrer des preuves contre Daddah et Messaoud sur des malversations dans les gestions des deux structures qu’ils président.
Un peu de retenue mon Général, n’attaquez pas Daddah et Messaoud sur ce terrain, votre petit peuple, celui qui vous écoutait, ne va plus vous croire, un combat perdu d’avance et avec lui votre espoir de devenir président.
ALMORAVIDE
Source:riminfo