
Qu'ils incitent à violer les lois de la Republique encore, quoique choquant, on pourrait penser que ces hommes dits "de Dieu" se préoccupent moins de nos pactes entre hommes que de celui avec Le Seigneur.
Mais inciter le président de la République dite islamique de Mauritanie à violer son serment prononcé la main droite sur le Coran, c'est au minimum passible d'un jugement.
Mais si cela est possible, c'est qu'en vérité, par une série d'actes manqués, nous rappelons chaque jour que Dieu fait, que nous ne sommes pas une république islamique.
Si nous étions véritablement une république islamique, (même celle qui conçoit par suicide identitaire, le massacre et la déportation de personnes parce que noires...), sI nous étions cette république là, notre président, investi de sa mission de garant de notre cohérence, aurait été le premier à appeler à sanctionner cette bande d'hypocrites.
Si nous étions une république véritablement islamique, l'ensemble de ceux qui se disent Oulémas, imams et que sais-je encore, aurait multiplié les khoutbas pour appeler tout au moins à leur désaveu. Nos rues auraient en ce moment même agité le carton rouge contre l'inadmissible. Car je ne trouve rien de plus choquant pour un musulman, que l'attitude d'un "homme de religion", qui appelle à violer un serment; à fortiori celui fait sur le coran.
Mais c'est vrai que ces hommes ne sont pas ce "petit forgeron" qui, voulant dénoncer une tare sociétale, se laisse porter par son élan, trébuche et s'excuse. Ceux-là sont reçus dans le salon du président de la République "Islamique " de Mauritanie et l'appellent à trahir son serment face Dieu...! Chi aadi !
Source: Bocar Oumar BA via Facebook
Mais inciter le président de la République dite islamique de Mauritanie à violer son serment prononcé la main droite sur le Coran, c'est au minimum passible d'un jugement.
Mais si cela est possible, c'est qu'en vérité, par une série d'actes manqués, nous rappelons chaque jour que Dieu fait, que nous ne sommes pas une république islamique.
Si nous étions véritablement une république islamique, (même celle qui conçoit par suicide identitaire, le massacre et la déportation de personnes parce que noires...), sI nous étions cette république là, notre président, investi de sa mission de garant de notre cohérence, aurait été le premier à appeler à sanctionner cette bande d'hypocrites.
Si nous étions une république véritablement islamique, l'ensemble de ceux qui se disent Oulémas, imams et que sais-je encore, aurait multiplié les khoutbas pour appeler tout au moins à leur désaveu. Nos rues auraient en ce moment même agité le carton rouge contre l'inadmissible. Car je ne trouve rien de plus choquant pour un musulman, que l'attitude d'un "homme de religion", qui appelle à violer un serment; à fortiori celui fait sur le coran.
Mais c'est vrai que ces hommes ne sont pas ce "petit forgeron" qui, voulant dénoncer une tare sociétale, se laisse porter par son élan, trébuche et s'excuse. Ceux-là sont reçus dans le salon du président de la République "Islamique " de Mauritanie et l'appellent à trahir son serment face Dieu...! Chi aadi !
Source: Bocar Oumar BA via Facebook