Selon des sources médiatiques à Dakar, lors de la réunion restreinte de ce vendredi après-midi, les facilitateurs internationaux ont proposé, aux trois protagonistes de la crise mauritanienne, l'organisation du premier tour des élections présidentielles le 18 juillet prochain et le second tour vers la fin du même mois.
Les représentants des trois parties mauritaniennes (camp du général Ould Abdel Aziz, FNDD, RFD) ont demandé la levée de la séance dans le but de rendre compte à leurs différents leaders politiques, en espérant pouvoir revenir à la table des discussions ce soir aux alentours de 22H.
Par ailleurs les médiateurs internationaux ont décidé de solliciter l’intervention personnelle et officielle du président Me Wade auprès des autorités étatiques mauritaniennes afin que soient libérés les détenus du dossier Air Mauritanie avant la signature éventuelle de l’accord-cadre.
Par ailleurs, des informations filtrées de l’intérieur de la salle de réunion rapportent que le chef de la délégation représentant le président de l’UPR, le candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, M. Sid’Ahmed Ould Raiss aurait exigé que le poste de Premier ministre revienne à l’UPR, étant celui de la majorité parlementaire
Les représentants des trois parties mauritaniennes (camp du général Ould Abdel Aziz, FNDD, RFD) ont demandé la levée de la séance dans le but de rendre compte à leurs différents leaders politiques, en espérant pouvoir revenir à la table des discussions ce soir aux alentours de 22H.
Par ailleurs les médiateurs internationaux ont décidé de solliciter l’intervention personnelle et officielle du président Me Wade auprès des autorités étatiques mauritaniennes afin que soient libérés les détenus du dossier Air Mauritanie avant la signature éventuelle de l’accord-cadre.
Par ailleurs, des informations filtrées de l’intérieur de la salle de réunion rapportent que le chef de la délégation représentant le président de l’UPR, le candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, M. Sid’Ahmed Ould Raiss aurait exigé que le poste de Premier ministre revienne à l’UPR, étant celui de la majorité parlementaire