L’opposition, toutes catégories confondues, a mis en garde, par la voix de ses quatre grands candidats, en l’occurrence Sidi Mohamed Ould Boubacar, Mohamed Ould Maouloud, Biram Ould Dah Ould Abeid et Kane Hamidou Baba, toute personne qui s’adonnera publiquement ou discrètement à la fraude des futures élections présidentielles, partisane ou opposante soit-elle, civile ou militaire, administrateur ou citoyen simple, érudit, cadre ou notable.
En effet, l’opposition a juré de réserver une correction sévère voire de dénoncer et de ridiculiser devant l’opinion nationale et internationale, toute personne prise en flagrant délit de fraude dans les opérations de vote, et quelques soit le prix à payer, afin de garantir la transparence des futurs scrutins présidentiels.
Cette mise en garde représente un nouveau engagement qualitatif du spectre de l’opposition, que, ni le pouvoir, ni la Majorité, n’ont réussi à fléchir la ferme volonté de forcer le changement et l’alternance pacifique au pouvoir, même si le régime et le gouvernement tiennent à ce qu’elle ne soit pas représentée au sein du Comité Directeur de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et dans ses sous-commissions régionales et centrales ainsi que dans les autres instances impliquées dans la supervision de ces consultations.
Des sources ont révélé dans le même cadre, que les hauts officiers, les sous-officiers et les soldats retraités et actifs, ont exprimé leur soutien total à la pertinente approche envisagée par les opposants afin d’imposer la crédibilité du processus électoral, compte-tenu du manque d’une volonté politique sincère et manifeste des autorités pour jouer franc et dans la transparence.
C’est diront-ils l’unique moyen possible pour contrer toutes les formes de fraude ainsi que pour frapper d’une main de fer tout flagrant délit de fraude publique ou déguisée.
Avec ces mises en garde de l’opposition, la fraude pourrait constituer un vecteur sérieux de l’instabilité dans le pays, dans la mesure où elle conduit au chaos, au désordre et à la perte de contrôle d’un processus électoral faussé dés le départ, dés lors où l’exploitation des moyens de l’Etat par les différents candidats, est marquée par des inégalités criantes sur lesquelles, il est impossible de garder le silence.
Source: http://taqadoum.mr
En effet, l’opposition a juré de réserver une correction sévère voire de dénoncer et de ridiculiser devant l’opinion nationale et internationale, toute personne prise en flagrant délit de fraude dans les opérations de vote, et quelques soit le prix à payer, afin de garantir la transparence des futurs scrutins présidentiels.
Cette mise en garde représente un nouveau engagement qualitatif du spectre de l’opposition, que, ni le pouvoir, ni la Majorité, n’ont réussi à fléchir la ferme volonté de forcer le changement et l’alternance pacifique au pouvoir, même si le régime et le gouvernement tiennent à ce qu’elle ne soit pas représentée au sein du Comité Directeur de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et dans ses sous-commissions régionales et centrales ainsi que dans les autres instances impliquées dans la supervision de ces consultations.
Des sources ont révélé dans le même cadre, que les hauts officiers, les sous-officiers et les soldats retraités et actifs, ont exprimé leur soutien total à la pertinente approche envisagée par les opposants afin d’imposer la crédibilité du processus électoral, compte-tenu du manque d’une volonté politique sincère et manifeste des autorités pour jouer franc et dans la transparence.
C’est diront-ils l’unique moyen possible pour contrer toutes les formes de fraude ainsi que pour frapper d’une main de fer tout flagrant délit de fraude publique ou déguisée.
Avec ces mises en garde de l’opposition, la fraude pourrait constituer un vecteur sérieux de l’instabilité dans le pays, dans la mesure où elle conduit au chaos, au désordre et à la perte de contrôle d’un processus électoral faussé dés le départ, dés lors où l’exploitation des moyens de l’Etat par les différents candidats, est marquée par des inégalités criantes sur lesquelles, il est impossible de garder le silence.
Source: http://taqadoum.mr