Le premier constat qui se dégage de cette campagne aux premiers jours est inquiétant. En effet, le tribalisme, le clanisme et le régionalisme sont revenus avec force. Il est devenu courant d’entendre aujourd’hui dire que telle ou telle tribu, tel autre clan ont rejoint tel candidat.
Cette situation est inquiétante à plus d’un titre. Elle risque de diviser le pays de dresser ses populations les unes contre les autres. L’attitude des responsables politiques qui acceptent et encouragent ce genre de « politique » est condamnable à plus d’un titre.
Il est devenu courant de voir des hommes politiques et pas n’importe lesquels faire une publicité médiatique et un tapage autour de l’adhésion d’une tribu ou d’une région.
Nous risquons à ce rythme de devenir comme certains pays où les groupes régionaux ou tribaux sont devenus maîtres. Il faut que les promoteurs de tels comportements se rappellent que la Mauritanie n’est pas l’Iran et encore moins la Somalie. Personne n’a le droit, pour des ambitions personnelles, de pousser le pays vers la catastrophe.
Aujourd’hui certains hommes politiques veulent avoir le pouvoir à tout prix ils sont aveuglés et entendent tout mettre en œuvre pour réussir leur mission. Mais ils doivent se ressaisir prendre le temps de réfléchir et mettre l’intérêt du pays au dessus de tout.
Le plus surprenant est que ce phénomène est encouragé par des hommes politiques qui prétendent vouloir diriger la Mauritanie un pays complexe voire trop complexe.
Il est temps que ceux qui font la politique ou prétendent en faire mettent un terme à leur boulimie et se disent qu’à ce rythme là il n’y aura plus de Mauritanie à diriger.
La sagesse doit prévaloir et personne ne doit plus accepter d’accueillir des groupes qui parlent au nom de tribus. Cette attitude est surtout valable pour ceux qui dirigent des partis politiques parce qu’on adhère aux partis politiques en tant qu’individu et non en tant que groupe. Le fait de les accueillir en tant que groupe est en contradiction avec les textes de base qui sont le fondement même du parti. Un homme qui viole les textes de son parti finira toujours par aller plus loin.
Source: le veridique
Cette situation est inquiétante à plus d’un titre. Elle risque de diviser le pays de dresser ses populations les unes contre les autres. L’attitude des responsables politiques qui acceptent et encouragent ce genre de « politique » est condamnable à plus d’un titre.
Il est devenu courant de voir des hommes politiques et pas n’importe lesquels faire une publicité médiatique et un tapage autour de l’adhésion d’une tribu ou d’une région.
Nous risquons à ce rythme de devenir comme certains pays où les groupes régionaux ou tribaux sont devenus maîtres. Il faut que les promoteurs de tels comportements se rappellent que la Mauritanie n’est pas l’Iran et encore moins la Somalie. Personne n’a le droit, pour des ambitions personnelles, de pousser le pays vers la catastrophe.
Aujourd’hui certains hommes politiques veulent avoir le pouvoir à tout prix ils sont aveuglés et entendent tout mettre en œuvre pour réussir leur mission. Mais ils doivent se ressaisir prendre le temps de réfléchir et mettre l’intérêt du pays au dessus de tout.
Le plus surprenant est que ce phénomène est encouragé par des hommes politiques qui prétendent vouloir diriger la Mauritanie un pays complexe voire trop complexe.
Il est temps que ceux qui font la politique ou prétendent en faire mettent un terme à leur boulimie et se disent qu’à ce rythme là il n’y aura plus de Mauritanie à diriger.
La sagesse doit prévaloir et personne ne doit plus accepter d’accueillir des groupes qui parlent au nom de tribus. Cette attitude est surtout valable pour ceux qui dirigent des partis politiques parce qu’on adhère aux partis politiques en tant qu’individu et non en tant que groupe. Le fait de les accueillir en tant que groupe est en contradiction avec les textes de base qui sont le fondement même du parti. Un homme qui viole les textes de son parti finira toujours par aller plus loin.
Source: le veridique
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