L’élection du Général AZIZ au premier tour avec un taux 52,64% continue d’animer les discutions les plus énigmatiques, dans les salons, sous les tentes, dans les lieux de travail. D’aucuns n’attendait ce résultat qui réduit l’évènement à un simple plébiscite dont le vainqueur est connu d’avance.
Depuis la réception des résultats provisoires, c’est comme une stupeur est tombée sur toutes les personnes éprises de justice sociale qui s’attendaient au changement. Un recours est aussitôt déposé auprès du conseil constitutionnel par quatre malheureux candidats que sont : MESSAOUD, DADDAH, ELY et MEIMOU.
Les choses vont vite, la CENI, les observateurs nationaux et internationaux, confirment que les choses se sont passées normalement et que les élections étaient transparentes. Un jour après le ministre de l’intérieur fait sortir les résultats et déclare que le candidat MOHAMED OULD ABDEL AZIZ vainqueur des élections.
Il ne reste plus qu’un infime espoir pour l’opposition, l’arrêt attendu du recours auprès de la cour constitutionnel qui tombera comme un couperet confirmant la victoire du Général.
C’est la stupeur dans le camp de l’opposition, chacun a une stratégie pour faire face à cette nouvelle situation. Un groupe réunissant les candidats (SARR, SGHAIR, KANE, SALEH, ET JEMIL MANSOUR) a reconnu la victoire du général et l’a félicité. Et l’autre groupe qui conteste les élections accusant le général d’avoir mené une fraude de grande envergure, mais ne pouvant malheureusement le prouver.
Le mystère existe et l’histoire retiendra qu’il y a eu quelque chose d’inexpliqué, qui a faussé le résultat des urnes. Nous connaissons des bureaux qui ne peuvent être pris de l’opposition qui ont voté massivement au Général. Les anecdotes ne manquent pas et les exemples sont nombreux.
L’opposition connaît une fissure en ce moment, le FNDD n’a pas adopté la ligne de conduite édictée par AHMED OULD DADDAH qui veut continuer la lutte pour prouver qu’il ya eu fraude. Il envisageait de faire descendre la foule dans la rue pour sauver la démocratie. MESSAOUD et son groupe sont en réunion depuis quelques jours pour voir comment ils vont se rapprocher du président élu en vue de participer avec lui dans le prochain gouvernement qui sera mis en place après l’investiture du Général le 05 AOUT 2009.
Apparemment beaucoup de militants se posent la question sur la volte face du FNDD qui décide de faire ce repli, alors qu’ils se sont engagés à se soutenir avec AHMED OULD DADDAH si l’un d’eux allait au deuxième tour. La question ne pose pas ici, mais quand même celui qui a signé ce document renonce à une partie de sa liberté, est ce que le cas n’allait pas se passer en cas de second tour ?
Forcément en politique tous les coups sont permis, surtout si les intérêts priment sur les principes, n’est pas messieurs les militants kaddihines ?
ALMORAVIDE
Source: riminfo
Depuis la réception des résultats provisoires, c’est comme une stupeur est tombée sur toutes les personnes éprises de justice sociale qui s’attendaient au changement. Un recours est aussitôt déposé auprès du conseil constitutionnel par quatre malheureux candidats que sont : MESSAOUD, DADDAH, ELY et MEIMOU.
Les choses vont vite, la CENI, les observateurs nationaux et internationaux, confirment que les choses se sont passées normalement et que les élections étaient transparentes. Un jour après le ministre de l’intérieur fait sortir les résultats et déclare que le candidat MOHAMED OULD ABDEL AZIZ vainqueur des élections.
Il ne reste plus qu’un infime espoir pour l’opposition, l’arrêt attendu du recours auprès de la cour constitutionnel qui tombera comme un couperet confirmant la victoire du Général.
C’est la stupeur dans le camp de l’opposition, chacun a une stratégie pour faire face à cette nouvelle situation. Un groupe réunissant les candidats (SARR, SGHAIR, KANE, SALEH, ET JEMIL MANSOUR) a reconnu la victoire du général et l’a félicité. Et l’autre groupe qui conteste les élections accusant le général d’avoir mené une fraude de grande envergure, mais ne pouvant malheureusement le prouver.
Le mystère existe et l’histoire retiendra qu’il y a eu quelque chose d’inexpliqué, qui a faussé le résultat des urnes. Nous connaissons des bureaux qui ne peuvent être pris de l’opposition qui ont voté massivement au Général. Les anecdotes ne manquent pas et les exemples sont nombreux.
L’opposition connaît une fissure en ce moment, le FNDD n’a pas adopté la ligne de conduite édictée par AHMED OULD DADDAH qui veut continuer la lutte pour prouver qu’il ya eu fraude. Il envisageait de faire descendre la foule dans la rue pour sauver la démocratie. MESSAOUD et son groupe sont en réunion depuis quelques jours pour voir comment ils vont se rapprocher du président élu en vue de participer avec lui dans le prochain gouvernement qui sera mis en place après l’investiture du Général le 05 AOUT 2009.
Apparemment beaucoup de militants se posent la question sur la volte face du FNDD qui décide de faire ce repli, alors qu’ils se sont engagés à se soutenir avec AHMED OULD DADDAH si l’un d’eux allait au deuxième tour. La question ne pose pas ici, mais quand même celui qui a signé ce document renonce à une partie de sa liberté, est ce que le cas n’allait pas se passer en cas de second tour ?
Forcément en politique tous les coups sont permis, surtout si les intérêts priment sur les principes, n’est pas messieurs les militants kaddihines ?
ALMORAVIDE
Source: riminfo