Une marche contre la candidature du défunt Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie, le Colonel Ely Ould Mohamed Vall s’est ébranlée cet après midi du stade municipal de la capitale en direction de la place des anciens blocs rouges.
Plusieurs personnalités négros-mauritaniennes dont Coumba Bâ, conseillère à la présidence de la République, Rabiatou Aïdara, maire-sénatrice, de Sebkha, Sow Moussa Demba dit Tshombé, maire de Kaédi, ainsi que les responsables du Collectif des Victimes de la Répression de 1989 à 1991 (COVIRE), dirigeaient cette manifestation au cours de laquelle les marcheurs ont brandit différentes banderoles où on pouvait lire: «Non au retour du symbole de la division», «Non à l’élection d’Ely», «Refusons le fossoyeur de la démocratie», «Ely = 1989 à 1990», «Non au grand Moufside», «A bas le relais du sionisme international», «Nous sommes tous des Tarzan», «Oui à la vérité internationale renforcée».
Des supports du colonel Ely Ould Mohamed Vall tenteront de perturber la marche, mais la police antiémeute s’imposera pour départager les militants et sympathisants des deux camps, avant de changer l’itinéraire des manifestants contre la candidature d’Ely Ould Mohamed Vall qui arriveront dans une ambiance de carnaval à la place des «blocs rouges».
Dans son discours de clôture de la marche, le coordinateur du Collectif des Victimes de la Répression (COVIRE), Alioune Moctar NGaïdé dira: «Nous avons fait cette marche pour manifester notre rejet de la candidature d’Ely Ould Mohamed Vall. Cet homme est arrivé au pouvoir en 2005 à la faveur d’un coup d’Etat dont il n’était même pas l’auteur. Il a voulu s’accrocher au pouvoir parce que lors du référendum du 25 juin 2006, il a voulu pousser les Mauritaniens à faire un vote blanc, qui lui aurait permis de rester au pouvoir. Chose que Mohamed Ould Abdel Aziz avait refusé pour le respect de la parole donnée. Nous voulons aujourd’hui dire à la face du monde que nous sommes contre la candidature d’un homme, qui durant 21 ans, a servi Maâouiya Ould Sid’Ahmed Taya. Qu’il sache dès maintenant que nous ne voterons jamais pour lui. S’il a oublié de nous avoir traité de ‘’tarzan’’ à Kaédi, nous, nous n’avons pas oublié !»
Source: ANI
Plusieurs personnalités négros-mauritaniennes dont Coumba Bâ, conseillère à la présidence de la République, Rabiatou Aïdara, maire-sénatrice, de Sebkha, Sow Moussa Demba dit Tshombé, maire de Kaédi, ainsi que les responsables du Collectif des Victimes de la Répression de 1989 à 1991 (COVIRE), dirigeaient cette manifestation au cours de laquelle les marcheurs ont brandit différentes banderoles où on pouvait lire: «Non au retour du symbole de la division», «Non à l’élection d’Ely», «Refusons le fossoyeur de la démocratie», «Ely = 1989 à 1990», «Non au grand Moufside», «A bas le relais du sionisme international», «Nous sommes tous des Tarzan», «Oui à la vérité internationale renforcée».
Des supports du colonel Ely Ould Mohamed Vall tenteront de perturber la marche, mais la police antiémeute s’imposera pour départager les militants et sympathisants des deux camps, avant de changer l’itinéraire des manifestants contre la candidature d’Ely Ould Mohamed Vall qui arriveront dans une ambiance de carnaval à la place des «blocs rouges».
Dans son discours de clôture de la marche, le coordinateur du Collectif des Victimes de la Répression (COVIRE), Alioune Moctar NGaïdé dira: «Nous avons fait cette marche pour manifester notre rejet de la candidature d’Ely Ould Mohamed Vall. Cet homme est arrivé au pouvoir en 2005 à la faveur d’un coup d’Etat dont il n’était même pas l’auteur. Il a voulu s’accrocher au pouvoir parce que lors du référendum du 25 juin 2006, il a voulu pousser les Mauritaniens à faire un vote blanc, qui lui aurait permis de rester au pouvoir. Chose que Mohamed Ould Abdel Aziz avait refusé pour le respect de la parole donnée. Nous voulons aujourd’hui dire à la face du monde que nous sommes contre la candidature d’un homme, qui durant 21 ans, a servi Maâouiya Ould Sid’Ahmed Taya. Qu’il sache dès maintenant que nous ne voterons jamais pour lui. S’il a oublié de nous avoir traité de ‘’tarzan’’ à Kaédi, nous, nous n’avons pas oublié !»
Source: ANI