Le ministre sénégalais de la pêche et de l’économie mauritanienne Oumar Gueye a révélé la signature, avec son homologue mauritanien, Nani O. Chrougha, un nouvel accord de pêcha autorisant les pêcheurs sénégalais à opérer dans les eaux territoriales mauritaniennes.
Ce nouvel accord met fin à la tension qui prévalait à la frontière maritime entre les deux pays, depuis qu’avait été dénoncé l’ancien accord et que les pêcheurs sénégalais pêchaient illégalement dans les eaux territoriales mauritaniennes.
Une situation qui a amené parfois les gardes côtes mauritaniens, dans leur détermination à faire respecter la loi, à faire usage de leurs armes, ce qui a couté la vie à des pêcheurs sénégalais.
Lors d’un entretien avec les pêcheurs sénégalais à Saint Louis, le ministre sénégalais a révélé que le nouvel accord accorde aux pêcheurs sénégalais 400 licences de pêche et permet aux pirogues sénégalaises de pêcher une quantité de 50.000 tonnes de poissons de surface.
Le nouvel accord signé en marge du sommet de l’union africaine engage les pêcheurs sénégalais à débarquer leur pêche en territoire mauritanien.
Seulement pour faciliter l’opération aux pêcheurs sénégalais, les autorités mauritaniennes ont déplacé le lieu de débarquement du port de NDiago, situé à 7 kilomètres de la frontière, à un nouveau point distant seulement de 2 ,5 kilomètres de la frontière.
Le ministre sénégalais a dit que le déplacement du lieu de débarquement a été décidé grâce à l’intervention du président mauritanien et son homologue sénégalais, ajoutant que le chef de l’état mauritanien s’est engagé à construire un quai sur le nouveau site et à goudronner la route qui le sépare de la frontière.
Le président sénégalais, a encore dit le ministre, s’est engagé à goudronner la bretelle qui lie le point frontalier à la ville et à mettre à la disposition des pêcheurs des camions frigos, bien équipés, pour pouvoir acheminer leurs produits dans les meilleures conditions.
Le ministre a ajouté que toutes les quantités de poissons introduites dans la ville de Saint Louis seront vérifiées et inspectées du point de vue quantité et qualité.
Les pêcheurs sénégalais et les acteurs économiques de la ville, s’étaient opposés à la construction d’un quai de débarquement près de Saint Louis, considérant qu’il constituait un danger pour l’économie de la ville.
Les deux parties ont mis sur pied une commission chargée de suivre l’application de cet accord et éviter d’éventuels problèmes.
L’économie de la ville de Saint Louis se base essentiellement sur la pêche, ca qui amène beaucoup de pêcheurs de la ville à se rendre dans les eaux territoires mauritaniennes, riches en poissons pour pêcher.
Source: https://www.saharamedias.net
Ce nouvel accord met fin à la tension qui prévalait à la frontière maritime entre les deux pays, depuis qu’avait été dénoncé l’ancien accord et que les pêcheurs sénégalais pêchaient illégalement dans les eaux territoriales mauritaniennes.
Une situation qui a amené parfois les gardes côtes mauritaniens, dans leur détermination à faire respecter la loi, à faire usage de leurs armes, ce qui a couté la vie à des pêcheurs sénégalais.
Lors d’un entretien avec les pêcheurs sénégalais à Saint Louis, le ministre sénégalais a révélé que le nouvel accord accorde aux pêcheurs sénégalais 400 licences de pêche et permet aux pirogues sénégalaises de pêcher une quantité de 50.000 tonnes de poissons de surface.
Le nouvel accord signé en marge du sommet de l’union africaine engage les pêcheurs sénégalais à débarquer leur pêche en territoire mauritanien.
Seulement pour faciliter l’opération aux pêcheurs sénégalais, les autorités mauritaniennes ont déplacé le lieu de débarquement du port de NDiago, situé à 7 kilomètres de la frontière, à un nouveau point distant seulement de 2 ,5 kilomètres de la frontière.
Le ministre sénégalais a dit que le déplacement du lieu de débarquement a été décidé grâce à l’intervention du président mauritanien et son homologue sénégalais, ajoutant que le chef de l’état mauritanien s’est engagé à construire un quai sur le nouveau site et à goudronner la route qui le sépare de la frontière.
Le président sénégalais, a encore dit le ministre, s’est engagé à goudronner la bretelle qui lie le point frontalier à la ville et à mettre à la disposition des pêcheurs des camions frigos, bien équipés, pour pouvoir acheminer leurs produits dans les meilleures conditions.
Le ministre a ajouté que toutes les quantités de poissons introduites dans la ville de Saint Louis seront vérifiées et inspectées du point de vue quantité et qualité.
Les pêcheurs sénégalais et les acteurs économiques de la ville, s’étaient opposés à la construction d’un quai de débarquement près de Saint Louis, considérant qu’il constituait un danger pour l’économie de la ville.
Les deux parties ont mis sur pied une commission chargée de suivre l’application de cet accord et éviter d’éventuels problèmes.
L’économie de la ville de Saint Louis se base essentiellement sur la pêche, ca qui amène beaucoup de pêcheurs de la ville à se rendre dans les eaux territoires mauritaniennes, riches en poissons pour pêcher.
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