Alors que la Mauritanie est gravement menacée par la famine la capitale manque d'eau et fait face à la grève générale des médecins généralistes et spécialistes ce début de semaine.Un mouvement qui risque de paralyser le pays sur fond de la marche populaire de l'opposition le 13 mai prochain.
Les blouses blanches ont décidé donc de durcir leur mouvement entamé depuis une semaine dans le pays.Les grévistes vont arrêter tout travail sauf bien entendu les urgences et comptent bien prolonger la grève tant que leurs revendications ne sont pas satisfaites.Le gouvernement est resté sourd jusqu'ici par rapport à l'augmentation de leur salaire estimée aujourd'hui à 20000 nouvelle ouguiya soit 4 fois inférieur par rapport à leurs collègues étrangers en Mauritanie et moins payé que leurs collègues de la sous-région.Ce refus de dialogue du gouvernement risque de paralyser le pays au moment où la capitale manque d'eau.Ce sont les populations les plus démunies qui en pâtissent faute de soins surtout pour les cas difficiles mais non urgents.Les médecins généralistes et spécialistes font face depuis longtemps au manque de matériel adéquat dans certains hôpitaux et conditions de travail difficiles aux urgences aggravées par l'afflux des malades.Ce regain de tension sociale est un indicateur que le régime de Ould Aziz est à bout de souffle.Le gouvernement étant plus tourné vers les prochaines élections que de résoudre un conflit qui ne date pas d'aujourd'hui.C'est pareil pour les étudiants, enseignants et professeurs d'Université et les dockers du port autonome de Nouakchott.
Source: http://lesmauritanies.com
Les blouses blanches ont décidé donc de durcir leur mouvement entamé depuis une semaine dans le pays.Les grévistes vont arrêter tout travail sauf bien entendu les urgences et comptent bien prolonger la grève tant que leurs revendications ne sont pas satisfaites.Le gouvernement est resté sourd jusqu'ici par rapport à l'augmentation de leur salaire estimée aujourd'hui à 20000 nouvelle ouguiya soit 4 fois inférieur par rapport à leurs collègues étrangers en Mauritanie et moins payé que leurs collègues de la sous-région.Ce refus de dialogue du gouvernement risque de paralyser le pays au moment où la capitale manque d'eau.Ce sont les populations les plus démunies qui en pâtissent faute de soins surtout pour les cas difficiles mais non urgents.Les médecins généralistes et spécialistes font face depuis longtemps au manque de matériel adéquat dans certains hôpitaux et conditions de travail difficiles aux urgences aggravées par l'afflux des malades.Ce regain de tension sociale est un indicateur que le régime de Ould Aziz est à bout de souffle.Le gouvernement étant plus tourné vers les prochaines élections que de résoudre un conflit qui ne date pas d'aujourd'hui.C'est pareil pour les étudiants, enseignants et professeurs d'Université et les dockers du port autonome de Nouakchott.
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