Le chef du parti de l’Union et du changement (HATEM) Saleh Ould Hanena a déclaré que les partis d’opposition ont averti le 7 février 2019, le gouvernement du statut illegal de la commission electorale et ont appelé le gouvernement à oeuvrer à mettre en place une CENI dotée d’un minimum de crédibilité et de parité.
Ould Hanena a déclaré, lors d’une conférence conjointe des forces de l’opposition en Mauritanie, que le gouvernement a retardé sa réponse pendant un mois. Ensuite, il a commencé à communiquer avec l’opposition le 3 mars 2019. Il y a eu environ 20 séries de discussions avec le ministre de l’Intérieur en tant que représentant du gouvernement.
Le chef de l’Union et du changement mauritanien, Saleh Ould Hanena, a signalé que le régime tentait de refuser la recomposition de la commission, se justifiant par dire qu’il y'a des partis politiques opposés au sein de la commision electorale.
Arguments rejetés par l’alliance électorale de l’opposition, car le régime n’est pas mandaté à créer une opposition pour faire face à l’opposition sérieuse mauritanienne.
Saleh Ould Hanna a indiqué que l’opposition à accepté des concessions, pour permettre la constitution d’une commission électorale, capable de sortir le pays de la crise politique actuelle, soulignant que le Gouvernement était d’accord avec eux sur tous les détails, tels que la sélection de trois sages et les chargés de mission, avec acceptation de la suppression des sous-comités.
Ould Hanena a déclaré que le régime avait tenté d’exclure une femme crédible de la commission pour que l’opposition en assume la responsabilité. Tout comme, il a également rejeté la proposition du parti d’opposition, le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul), proposant Ould Wedia, pour une raison étrange.
Ould Hanana a conclu en déclarant que : "nous nous trouvons à un stade où les choses se déroulent de manière unilatérale, un comité illégitime en formation, illégitime dans son déroulement et incapable d’accomplir les tâches qui lui sont confiées de manière libre et équilibrée".
Il a affirmé que le pays se dirige vers une situation critique grave et que les autorités mauritaniennes tentent de détourner le processus électoral et diriger le pays vers l’instabilité, en raison de sa volonté à entreprendre une démarche à grands risques, consistant à détourner la volonté du peuple et la manipulation du processus électoral.
Source : http://zahraa.mr/node/20063
Traduit par adrar.info
Ould Hanena a déclaré, lors d’une conférence conjointe des forces de l’opposition en Mauritanie, que le gouvernement a retardé sa réponse pendant un mois. Ensuite, il a commencé à communiquer avec l’opposition le 3 mars 2019. Il y a eu environ 20 séries de discussions avec le ministre de l’Intérieur en tant que représentant du gouvernement.
Le chef de l’Union et du changement mauritanien, Saleh Ould Hanena, a signalé que le régime tentait de refuser la recomposition de la commission, se justifiant par dire qu’il y'a des partis politiques opposés au sein de la commision electorale.
Arguments rejetés par l’alliance électorale de l’opposition, car le régime n’est pas mandaté à créer une opposition pour faire face à l’opposition sérieuse mauritanienne.
Saleh Ould Hanna a indiqué que l’opposition à accepté des concessions, pour permettre la constitution d’une commission électorale, capable de sortir le pays de la crise politique actuelle, soulignant que le Gouvernement était d’accord avec eux sur tous les détails, tels que la sélection de trois sages et les chargés de mission, avec acceptation de la suppression des sous-comités.
Ould Hanena a déclaré que le régime avait tenté d’exclure une femme crédible de la commission pour que l’opposition en assume la responsabilité. Tout comme, il a également rejeté la proposition du parti d’opposition, le Rassemblement National pour la Réforme et le Développement (Tawassoul), proposant Ould Wedia, pour une raison étrange.
Ould Hanana a conclu en déclarant que : "nous nous trouvons à un stade où les choses se déroulent de manière unilatérale, un comité illégitime en formation, illégitime dans son déroulement et incapable d’accomplir les tâches qui lui sont confiées de manière libre et équilibrée".
Il a affirmé que le pays se dirige vers une situation critique grave et que les autorités mauritaniennes tentent de détourner le processus électoral et diriger le pays vers l’instabilité, en raison de sa volonté à entreprendre une démarche à grands risques, consistant à détourner la volonté du peuple et la manipulation du processus électoral.
Source : http://zahraa.mr/node/20063
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