Les 10 candidats engagés actuellement dans la rude campagne électorale, qui se déroule actuellement sur toute l’étendue du territoire national, en perspective de la présidentielle du 18 juillet prochain, mènent une chasse farouche aux réservoirs d’électeurs.
Ceux d’entre qui ne bénéficieront pas du soutien des incontournables et influents hommes politiques, qui se sont hautement distingués par leur imposant poids sur l’échiquier politique national lors des consultations présidentielles de mars 2007, peuvent s’estimer déjà éliminés d’avance.
Parmi ces poids politiques, il y a incontestablement les deux figures de proue de l’ex mouvance Zeine Ould Zeine, en l’occurrence Mohamed Ould Kourbally et Khattar Ould Cheikh Ahmed.
En effet, a avec 300 cadres de grande renommée politique, ces hommes politiques s’étaient fortement mobilisés au premier tour de l’élection présidentielle de mars 2007, permettant à leur candidat, l’ex Premier ministre Zeine Ould Zeidane de remporter 15% des suffrages, occupant ainsi la 3ième place dans le classement final des candidats.
Leur mouvance, très courtisée par les deux candidats restés en lice pour le second tour, en l’occurrence Ahmed Ould Daddah et Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, avait finalement apporté son soutien à ce dernier.
Mohamed Ould Kourbally et Khattar Ould Cheikh Ahmed ainsi que leurs solides alliés politiques, sont actuellement l’objet de grandes convoitises de la part des candidats de la prochaine élection présidentielle du 18 juillet prochain.
Mais, ces poids politiques ont déjà tranché en apportant leur soutien total au candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, rendant du coup très grandes, voire certaines, les chances de Mohamed Ould Abdel Aziz de prendre une importante longueur d’avance sur ses autres adversaires à cette échéance électorale.
Pour rappel, ce groupe politique qui avait apporté son soutien à l’ancien chef du gouvernement Zeine Ould Zeidane, puis à Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi au second tour de l’élection présidentielle de mars 2007, n’avait malheureusement pas été associé à la gestion du pays au prorata de son poids politique, exception faite, à la nomination de Zeine Ould Zeidane au poste de Premier ministre.
Quelques mois plus tard, c’était le divorce entre ce groupe politique et l’ancien Premier ministre, qui naviguant en solo et à contre-courant de la mouvance, a fini par se faire remercier sans ménage.
Source: Leveridique
Ceux d’entre qui ne bénéficieront pas du soutien des incontournables et influents hommes politiques, qui se sont hautement distingués par leur imposant poids sur l’échiquier politique national lors des consultations présidentielles de mars 2007, peuvent s’estimer déjà éliminés d’avance.
Parmi ces poids politiques, il y a incontestablement les deux figures de proue de l’ex mouvance Zeine Ould Zeine, en l’occurrence Mohamed Ould Kourbally et Khattar Ould Cheikh Ahmed.
En effet, a avec 300 cadres de grande renommée politique, ces hommes politiques s’étaient fortement mobilisés au premier tour de l’élection présidentielle de mars 2007, permettant à leur candidat, l’ex Premier ministre Zeine Ould Zeidane de remporter 15% des suffrages, occupant ainsi la 3ième place dans le classement final des candidats.
Leur mouvance, très courtisée par les deux candidats restés en lice pour le second tour, en l’occurrence Ahmed Ould Daddah et Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, avait finalement apporté son soutien à ce dernier.
Mohamed Ould Kourbally et Khattar Ould Cheikh Ahmed ainsi que leurs solides alliés politiques, sont actuellement l’objet de grandes convoitises de la part des candidats de la prochaine élection présidentielle du 18 juillet prochain.
Mais, ces poids politiques ont déjà tranché en apportant leur soutien total au candidat Mohamed Ould Abdel Aziz, rendant du coup très grandes, voire certaines, les chances de Mohamed Ould Abdel Aziz de prendre une importante longueur d’avance sur ses autres adversaires à cette échéance électorale.
Pour rappel, ce groupe politique qui avait apporté son soutien à l’ancien chef du gouvernement Zeine Ould Zeidane, puis à Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi au second tour de l’élection présidentielle de mars 2007, n’avait malheureusement pas été associé à la gestion du pays au prorata de son poids politique, exception faite, à la nomination de Zeine Ould Zeidane au poste de Premier ministre.
Quelques mois plus tard, c’était le divorce entre ce groupe politique et l’ancien Premier ministre, qui naviguant en solo et à contre-courant de la mouvance, a fini par se faire remercier sans ménage.
Source: Leveridique