Plus on s'approche de la date fatidique du 18 juillet, plus l'issue du vote est incertaine. Les candidats s'étant davantage investis dans la conquête des voix, une surprise de dernière minute n'est pas exclue, qui pourrait éjecter hors de course, l'un des favoris.
" La réalité politique de la veille n'est jamais celle du jour-même ". Cet adage, les partisans du général Mohamed Ould Abdel Aziz sont en train de l'expérimenter. Depuis la dernière sortie relativement réussie de leur candidat à Arafat samedi dernier, l'évolution de la situation semble être en leur défaveur. Jusque-là persuadés de leur hégémonie sur la scène politique, les hommes chargés de la promotion du candidat Ould Abdel Aziz, n'ont pas vu venir le changement dans les attitudes des populations. Il apparaît aujourd'hui que ces dernières jusque-là entraînées dans la dynamique du 6 août, et réconfortés dans le combat contre les " prévaricateurs ", sont revenues à d'autres sentiments, poussées en cela par le discours " destructeur " du général candidat. De nombreux citoyens seraient en effet décidés à faire barrage à Ould Abdel Aziz " dans l'intérêt suprême " de la Mauritanie, disent-ils. Parce qu'avec un homme qui menace d'emprisonner tous ceux qui ne partagent pas ses idées, au pouvoir, la Mauritanie risque d'être entraînée dans des tourbillons sans fin. Ainsi, c'est en subtiles politiciens, que les adversaires du général ont profité de l'attitude de celui pour élargir leur assise sur les populations.
Mohamed Ould Abdel Aziz qui a déployé des moyens faramineux et du temps énorme dans sa campagne, semble avoir été rattrapé par ses adversaires crédités seulement d'une dizaine de jours de campagne. Partant, les pronostics sont de plus en plus fous. D'aucuns prévoient que les résultats des suffrages pourraient finalement surprendre, tous les analystes croyant dur comme fer qu'un seul tour de la présidentielle ne pourra en aucun cas départager ces derniers. Et pour cause, aucun des candidats en lice ne détient plus de 30% des intentions de vote. Partant, les scénarii sont nombreux. Entre autres : Ahmed Ould Daddah - Mohamed Ould Abdel Aziz au second tour ou, Ahmed Ould Daddah - Messaoud Ould Boulkheïr, ou encore Mohamed Ould Abdel Aziz - Messaoud Ould Boulkheïr , ou Ahmed Ould Daddah - Ely Ould Mohamed Vall. Tous les observateurs sont formels, les électeurs se retrouveront au second tour face à l'un de ces scénarios.
Oumou
Source: l'authentique
" La réalité politique de la veille n'est jamais celle du jour-même ". Cet adage, les partisans du général Mohamed Ould Abdel Aziz sont en train de l'expérimenter. Depuis la dernière sortie relativement réussie de leur candidat à Arafat samedi dernier, l'évolution de la situation semble être en leur défaveur. Jusque-là persuadés de leur hégémonie sur la scène politique, les hommes chargés de la promotion du candidat Ould Abdel Aziz, n'ont pas vu venir le changement dans les attitudes des populations. Il apparaît aujourd'hui que ces dernières jusque-là entraînées dans la dynamique du 6 août, et réconfortés dans le combat contre les " prévaricateurs ", sont revenues à d'autres sentiments, poussées en cela par le discours " destructeur " du général candidat. De nombreux citoyens seraient en effet décidés à faire barrage à Ould Abdel Aziz " dans l'intérêt suprême " de la Mauritanie, disent-ils. Parce qu'avec un homme qui menace d'emprisonner tous ceux qui ne partagent pas ses idées, au pouvoir, la Mauritanie risque d'être entraînée dans des tourbillons sans fin. Ainsi, c'est en subtiles politiciens, que les adversaires du général ont profité de l'attitude de celui pour élargir leur assise sur les populations.
Mohamed Ould Abdel Aziz qui a déployé des moyens faramineux et du temps énorme dans sa campagne, semble avoir été rattrapé par ses adversaires crédités seulement d'une dizaine de jours de campagne. Partant, les pronostics sont de plus en plus fous. D'aucuns prévoient que les résultats des suffrages pourraient finalement surprendre, tous les analystes croyant dur comme fer qu'un seul tour de la présidentielle ne pourra en aucun cas départager ces derniers. Et pour cause, aucun des candidats en lice ne détient plus de 30% des intentions de vote. Partant, les scénarii sont nombreux. Entre autres : Ahmed Ould Daddah - Mohamed Ould Abdel Aziz au second tour ou, Ahmed Ould Daddah - Messaoud Ould Boulkheïr, ou encore Mohamed Ould Abdel Aziz - Messaoud Ould Boulkheïr , ou Ahmed Ould Daddah - Ely Ould Mohamed Vall. Tous les observateurs sont formels, les électeurs se retrouveront au second tour face à l'un de ces scénarios.
Oumou
Source: l'authentique
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