A l’en croire, le président Wade s’investit dans le règlement des crises étrangères, reçoit les Mauritaniens à Dakar, le chef rebelles soudanais Anouar An Nour à Paris et ne veut pas rencontrer ses propres rebelles à la capitale française. Or, au niveau interne, il n’y a pas de dialogue. « Me Abdoulaye Wade ne sera un véritable homme de dialogue que s’il accepte de dialoguer avec le Mfdc pour le règlement définitif de ce conflit interne vieux de 26 ans » a-t-il précisé.
Toutefois, Amnesty International salue le vote de la loi portant création d’un observatoire sur la torture en mars dernier. L’Ong de défense des droits de l’homme invite les autorités à doter cette structure de moyens dès l’effectivité de sa mise en place.
La situation des droits humains dans le pays, c’est également celle des enfants talibés et de violences faites aux femmes. Selon Seydi Gassama, il appartient à l’Etat qui semble se décharger sur les religieux de restructurer et d’encadrer ces écoles conformément à ces engagements. Cependant, Seydi Gassama dénonce le fait que des Ong et des religieux profitent de la situation de ces enfants pour obtenir des financements et les violences dont sont victimes, surtout les filles. « Ce sont des musulmans qui violent, tuent des femmes. Il faut que les chefs religieux condamnent les violences faites aux femmes » a-t-il martelé.
Pour ce qui est du problème des homosexuels, Seydi Gassama estime que la gestion de ce phénomène doit prendre en compte le droit à la vie privée. Selon lui, « lorsque des gens sont consentants dans leur maison, la loi n’a rien à dire. C’est pourquoi les neuf ressortissants de Mbao condamnés ont été libérés ».
Quant à l’affaire Hissène Habré, les obstacles juridiques étant levés, Seydi Gassama invite les deux partie à discuter en vue de trouver des solutions au blocage financier pour le démarrage du procès.
Auparavant, Louis Mendy, le président d’Amnesty international Sénégal a lu le message d’Irène Khan la secrétaire générale d’Amnesty international assimilant le retard en matière de droits humains à « un bombe à retardement » qui se cache derrière la crise économique. Elle n’a pas épargné les pays occidentaux qui ont adopté des mesures de restriction pour maintenir les personnes hors de leur frontière, en collaboration avec des Etat tels que le Maroc, la Libye, la Mauritanie et le Sénégal.
Source: sudquodien
Toutefois, Amnesty International salue le vote de la loi portant création d’un observatoire sur la torture en mars dernier. L’Ong de défense des droits de l’homme invite les autorités à doter cette structure de moyens dès l’effectivité de sa mise en place.
La situation des droits humains dans le pays, c’est également celle des enfants talibés et de violences faites aux femmes. Selon Seydi Gassama, il appartient à l’Etat qui semble se décharger sur les religieux de restructurer et d’encadrer ces écoles conformément à ces engagements. Cependant, Seydi Gassama dénonce le fait que des Ong et des religieux profitent de la situation de ces enfants pour obtenir des financements et les violences dont sont victimes, surtout les filles. « Ce sont des musulmans qui violent, tuent des femmes. Il faut que les chefs religieux condamnent les violences faites aux femmes » a-t-il martelé.
Pour ce qui est du problème des homosexuels, Seydi Gassama estime que la gestion de ce phénomène doit prendre en compte le droit à la vie privée. Selon lui, « lorsque des gens sont consentants dans leur maison, la loi n’a rien à dire. C’est pourquoi les neuf ressortissants de Mbao condamnés ont été libérés ».
Quant à l’affaire Hissène Habré, les obstacles juridiques étant levés, Seydi Gassama invite les deux partie à discuter en vue de trouver des solutions au blocage financier pour le démarrage du procès.
Auparavant, Louis Mendy, le président d’Amnesty international Sénégal a lu le message d’Irène Khan la secrétaire générale d’Amnesty international assimilant le retard en matière de droits humains à « un bombe à retardement » qui se cache derrière la crise économique. Elle n’a pas épargné les pays occidentaux qui ont adopté des mesures de restriction pour maintenir les personnes hors de leur frontière, en collaboration avec des Etat tels que le Maroc, la Libye, la Mauritanie et le Sénégal.
Source: sudquodien