Le remaniement ministériel qui circule sur toutes les lèvres et revient dans plusieurs titres de la presse peut bien finalement s'apparenter à la fameuse pierre précieuse de notre tradition (El Kibrit Lahmar), celle que "l'on évoque toujours mais qu'on ne voit jamais ".
Certains ont même poussé l'outrecuidance jusqu'à inventer une équipe gouvernementale qui relève plus de leur propre fantasme que le fruit d'une analyse étayée par des arguments de poids. Finalement, on s'achemine vers un scénario qui donne autant de gouvernements que de pronostiqueurs. Et si le président Aziz décidait de ne pas changer son team ?
Certaines confidences ont rapporté que le Président Mohamed Ould Abdel Aziz aurait répondu à un interlocuteur qui lui parlait de remaniement ministériel "pourquoi changer de gouvernement ? Tous les Mauritaniens se valent ! " Vrai ou faux, cette assertion montre toutefois l'impatience qui s'est emparée de la rue. Celle-ci lie immanquablement la désastreuse situation que vit le pays à la mauvaise performance du gouvernement de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf.
D'autres arguments sont avancés pour expliquer l'inertie du Président à changer d'équipe. Ils évoquent l'échec dans les négociations entamées récemment entre les partis politiques de sa majorité et lui, mais aussi avec l'opposition partisane. Selon cette version, les leaders politiques convoqués pour concertation à la Présidence de la République n'auraient pas souscrit aux conditions posées par leur interlocuteur.
En effet, les sources qui évoquent les entrevues entre le Président Mohamed Ould Abdel Aziz et les formations politiques susceptibles d'être associées à la conduite des affaires ont achoppé sur la nature de leur représentativité ainsi que sur les prérogatives limitées qui leur seront dévolues en cas d'accord. Ces partis et formations auraient cherché à grignoter encore un peu plus du gâteau gouvernemental avant d'être surpris par l'arrêt unilatéral des pourparlers de la part du Président Aziz. Puis, ces conseillers et quelques partis pourtant contactés, s'empressèrent de démentir toutes ces consultations, les mettant sur le compte de la "rumeur ".
Certains n'écartent pas l'idée que cette politique du "démenti" fasse elle-même partie de ce jeu de yo-yo que se livrent les deux pans, histoire chacun de soutirer plus de l'autre, d'un côté Mohamed Ould Abdel Aziz et de l'autre, les partis ciblés. C'est la même tactique qui a été utilisée lors des négociations de Dakar. Les partisans de Mohamed Ould Abdel Aziz ne cessaient d'affirmer que les négociations ont échoué, pour faire davantage pression sur l'opposition…Et cela avait marché…
Source: L'authentique
Certains ont même poussé l'outrecuidance jusqu'à inventer une équipe gouvernementale qui relève plus de leur propre fantasme que le fruit d'une analyse étayée par des arguments de poids. Finalement, on s'achemine vers un scénario qui donne autant de gouvernements que de pronostiqueurs. Et si le président Aziz décidait de ne pas changer son team ?
Certaines confidences ont rapporté que le Président Mohamed Ould Abdel Aziz aurait répondu à un interlocuteur qui lui parlait de remaniement ministériel "pourquoi changer de gouvernement ? Tous les Mauritaniens se valent ! " Vrai ou faux, cette assertion montre toutefois l'impatience qui s'est emparée de la rue. Celle-ci lie immanquablement la désastreuse situation que vit le pays à la mauvaise performance du gouvernement de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf.
D'autres arguments sont avancés pour expliquer l'inertie du Président à changer d'équipe. Ils évoquent l'échec dans les négociations entamées récemment entre les partis politiques de sa majorité et lui, mais aussi avec l'opposition partisane. Selon cette version, les leaders politiques convoqués pour concertation à la Présidence de la République n'auraient pas souscrit aux conditions posées par leur interlocuteur.
En effet, les sources qui évoquent les entrevues entre le Président Mohamed Ould Abdel Aziz et les formations politiques susceptibles d'être associées à la conduite des affaires ont achoppé sur la nature de leur représentativité ainsi que sur les prérogatives limitées qui leur seront dévolues en cas d'accord. Ces partis et formations auraient cherché à grignoter encore un peu plus du gâteau gouvernemental avant d'être surpris par l'arrêt unilatéral des pourparlers de la part du Président Aziz. Puis, ces conseillers et quelques partis pourtant contactés, s'empressèrent de démentir toutes ces consultations, les mettant sur le compte de la "rumeur ".
Certains n'écartent pas l'idée que cette politique du "démenti" fasse elle-même partie de ce jeu de yo-yo que se livrent les deux pans, histoire chacun de soutirer plus de l'autre, d'un côté Mohamed Ould Abdel Aziz et de l'autre, les partis ciblés. C'est la même tactique qui a été utilisée lors des négociations de Dakar. Les partisans de Mohamed Ould Abdel Aziz ne cessaient d'affirmer que les négociations ont échoué, pour faire davantage pression sur l'opposition…Et cela avait marché…
Source: L'authentique
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