Au début de son discours, hier à Kiffa devant des milliers de personnes, le candidat Messaoud Ould Boulkheïr a prononcé une prière à la mémoire de son compagnon et ami Mohamed Mahmoud Ould Radhi, décédé il y a quelques mois, avant de prendre la parole et revenir sur le parcours du défunt.
Il dira : "jamais je n'ai cru possible que le peuple mauritanien ne m'accepte comme un citoyen à part entière. Aujourd'hui, votre présence ici prouve que vous m'acceptez citoyen mais aussi en président".
"Je me suis toujours battu contre l'esclavage et je l'ai toujours refusé mais aujourd'hui, je vous prends à témoin : je suis l'esclave de la Mauritanie".
Il répétera cette formule, sous les applaudissements d'une foule en liesse, jusqu'à ce que l'émotion le submerge. Les larmes aux yeux, il retourne à son siège et n'arrivera à se lever qu'au bout de longues minutes.
Ces derniers jours, de nombreuses communautés de descendants d’esclaves (Adwabas) ont rallié le candidat Messaoud Ould Boulkheïr, dans l’indifférence d’une presse habituée à la valorisation des positionnements de notables tribaux.
Source: Taqadoumy
Il dira : "jamais je n'ai cru possible que le peuple mauritanien ne m'accepte comme un citoyen à part entière. Aujourd'hui, votre présence ici prouve que vous m'acceptez citoyen mais aussi en président".
"Je me suis toujours battu contre l'esclavage et je l'ai toujours refusé mais aujourd'hui, je vous prends à témoin : je suis l'esclave de la Mauritanie".
Il répétera cette formule, sous les applaudissements d'une foule en liesse, jusqu'à ce que l'émotion le submerge. Les larmes aux yeux, il retourne à son siège et n'arrivera à se lever qu'au bout de longues minutes.
Ces derniers jours, de nombreuses communautés de descendants d’esclaves (Adwabas) ont rallié le candidat Messaoud Ould Boulkheïr, dans l’indifférence d’une presse habituée à la valorisation des positionnements de notables tribaux.
Source: Taqadoumy