Un combattant islamiste présumé, qui a avait réussi jeudi soir à échapper à la police, a finalement été arrêté vendredi à Nouakchott par une unité des forces de l'ordre qui était à ses trousses. L’homme ferait partie du groupe des assassins d’un ressortissant américain tué de trois balles dans la tête, en plein jour à Nouakchott, le 23 juin.
D’après une source sécuritaire citée par l’Agence France Presse, Didi Ould Bezeid ferait partie du groupe des trois hommes impliqués dans le meurtre d’un expatrié américain, perpétré fin juin, dans un quartier populaire de Nouakchott.
Suite à une intervention de la police, menée la veille du scrutin présidentiel du 18 juillet, deux membres présumés de ce groupe avaient déjà été interpellés.
Sans arme, il se rend sans résistance
Le troisième restait en fuite. Repéré dans le quartier de Teyaret, au nord-est de Nouakchott, Didi Ould Bezeid avait réussi à échapper aux forces de l’ordre, qui avaient donné l’assaut contre sa maison, jeudi soir. Dans ce quartier dépourvu d’axes bitumés, il avait facilement pris la fuite. Réfugié chez un proche parent, il se serait rendu sans résistance, vingt-quatre heures plus tard, n’étant pas armé.
Selon des voisins, l’homme résidait depuis plusieurs années dans ce quartier et vivait apparemment sans problèmes. Depuis le meurtre par balles du ressortissant américain, le terrorisme islamiste semble avoir refait son apparition sur l’échiquier national.
Au cours de sa première conférence de presse, donnée il y a huit jours, le nouveau président mauritanien avait de son côté affirmé qu’il n’y avait pas de cellules terroristes actives installées en Mauritanie. Mohamed Ould Abdel Aziz avait par ailleurs promis de lutter sur deux fronts : sur le front sécuritaire, mais aussi sur le front socio-économique. « La pauvreté et la misère font aussi partie des causes du terrorisme, nous allons lutter contre cela », avait-il affirmé.
Source: RFI
D’après une source sécuritaire citée par l’Agence France Presse, Didi Ould Bezeid ferait partie du groupe des trois hommes impliqués dans le meurtre d’un expatrié américain, perpétré fin juin, dans un quartier populaire de Nouakchott.
Suite à une intervention de la police, menée la veille du scrutin présidentiel du 18 juillet, deux membres présumés de ce groupe avaient déjà été interpellés.
Sans arme, il se rend sans résistance
Le troisième restait en fuite. Repéré dans le quartier de Teyaret, au nord-est de Nouakchott, Didi Ould Bezeid avait réussi à échapper aux forces de l’ordre, qui avaient donné l’assaut contre sa maison, jeudi soir. Dans ce quartier dépourvu d’axes bitumés, il avait facilement pris la fuite. Réfugié chez un proche parent, il se serait rendu sans résistance, vingt-quatre heures plus tard, n’étant pas armé.
Selon des voisins, l’homme résidait depuis plusieurs années dans ce quartier et vivait apparemment sans problèmes. Depuis le meurtre par balles du ressortissant américain, le terrorisme islamiste semble avoir refait son apparition sur l’échiquier national.
Au cours de sa première conférence de presse, donnée il y a huit jours, le nouveau président mauritanien avait de son côté affirmé qu’il n’y avait pas de cellules terroristes actives installées en Mauritanie. Mohamed Ould Abdel Aziz avait par ailleurs promis de lutter sur deux fronts : sur le front sécuritaire, mais aussi sur le front socio-économique. « La pauvreté et la misère font aussi partie des causes du terrorisme, nous allons lutter contre cela », avait-il affirmé.
Source: RFI