Weil Emak yel werrani : le Fndd ne veut pas être accusé de tort



Weil Emak yel werrani : le Fndd ne veut pas être accusé de tort
Candidats malheureux, chefs d’Etat et de gouvernement, tous se sont pliés au verdict des résultats des élections présidentielles du 18 juillet dernier, qui ont consacré Mohamed Ould Abdel Aziz, président élu au premier tour avec 52,58% des suffrages exprimés sur toute l’étendue du territoire national.

Les plus récalcitrants des protagonistes politiques ont préféré encore attendre pour voir plus clair dans la crédibilité de ces élections. Avec les résultats de l’expertise faite par la Ceni et le Ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation, sur demande du Conseil Constitutionnel, attestant la victoire éclatante du candidat Olud Abdel Aziz au premier tour de la dite présidentielle, c’est devant une course effrénée qu’on se trouve désormais, de la part des forces politiques, qui ayant accepté les conditions du jeu politique, se voient aujourd’hui contraintes d’accepter ses résultats.

Après les félicitations du candidat Hamadi Ould Meimou au président élu, Mohamed Ould Abdel Aziz , c’est le Fndd qui s’apprête à s’engager dans la même voie de la raison, manifestant ses intentions de reconnaitre dans les prochaines 24h, l’élection de Ould Abdel Aziz à la tête du pays.

D’ailleurs son leader charismatique et pragmatique, le candidat malheureux Messaoud ould Boulkheir a presque tout dit dans ce sens, en affirmant que l’ère du désordre est à jamais révolue et qu’il est temps de mettre les choses dans les bonnes normes au pays. Une manière de dire que personne n’est plus prêt à replonger le pays dans la crise après que le peuple est exprimé ses choix politiques et son président.

Source: Le veridique

Samedi 25 Juillet 2009
Boolumbal Boolumbal
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