Notre monde a changé. Nous sommes de plus en plus confrontés à des réalités nouvelles.
Les défis liés aux changements climatiques, à la démographie galopante, à la gouvernance mondiale, entre autres, sont devenus des défis mineurs face aux défis de la crise sanitaire. Nous sommes face à un monde incertain et qui ressemble paradoxalement, comme un monde que nous avons voulu, que nous avons construit, selon nos désirs de, davantage, dompter la nature.
Certains pays, de l’Europe vieillissante, confrontés aux défis du déficit de la sécurité sociale, le coup des dépenses de la santé, l’explosion démographique voient leurs citoyens mourir par milliers. L’Europe doute et s’interroge L’Afrique se meurt et se cherche.
Le triangle dominant (constitué des États-Unis de la Chine et de la Russie) a été fortement touché. Une chose est sûre nous assistons aujourd’hui à une globalisation de la peur et même de la psychose d’une misère mondiale. A l’espace de quelques mois notre monde, a accouché d’un autre, selon une formule empruntée La question que l’on se posait hier où va le monde ? N’avait pas autant de gravité qu’elle en a aujourd’hui.
Jadis les réponses semblaient être plus optimistes les unes que les autres. On nous parlait de progrès scientifiques, d’avancées technologiques et de boom économique. On nous faisait même miroiter que « la possibilité de ne plus mourir de maladies mais du fait de l’âge pourrait être une des révolutions majeures du XXI Siècle ». Aujourd’hui à la question où va le monde ?
Aucun humain ne peut en apporter la réponse, c’est l’incertitude la plus totale, la remise en cause de toutes nos certitudes, de nos fausses certitudes j’allais dire. Un petit virus a instauré un nouvel ordre mondial en imposant la « démondialisation ».
La fameuse formule « restez chez vous » n’a pas la même résonnance pour ceux qui prennent la mer, que pour ceux qui cherchent à mettre le nez dehors, lors des couvre-feux. Ce virus, deshumanisant et désocialisant, a engendré un drame .Nous avons tous été témoins d’une calamité dont on à peur de nommer. Ce virus donne à réfléchir. Il a rompu les équilibres et laisse planer le doute. Il limite les libertés et bafoue les droits fondamentaux .Nous sommes face à un sujet qui nous a tout pris.
Cette pandémie, car c’est d’elle qu’il s’agit, nous a fait oublier toutes nos veilles peurs, nos peurs du siècle dernier, on oublie le réchauffement climatique, on oublie le terrorisme et j’en passe. Aujourd’hui seule la pandémie compte .Les interdits deviennent le permis.
Par exemple, porter un masque, dans une banque, entre autres actes, en temps normal prohibés. Quel monde avons-nous aujourd’hui ? Un monde de la peur, de la confusion et des paradoxes. Le mal est partout. On voit le mal partout : dans nos systèmes de santé, dans nos économies, dans nos modes de vie et dans nos rapports avec la nature. Alors le mal est devenu palnetaire.et la peur mondiale. Il n’y a plus d’axe du mal mais de monde du mal ou mal du monde, c’est selon. Nous assistons à une mort programmée de notre monde, par nos vices, nos vicissitudes et nos errements, mise en exécution par un virus porteur d’un mandat macabre. La recherche frénétique, d’un bien être à tout prix, à conduit à un mal être planétaire. Oui nous sommes responsables ! Comme disait l’autre : « Quand c’est urgent, c’est déjà trop tard ».
Il est fait état dans un riche document d’analyse et de Prospective : qu’Il y’a de cela plus deux décennies, les études de nombreux scientifiques, nous prédisaient l’apparition des virus émergents, des maladies émergentes et beaucoup d’autres inquiétudes de ce nouveau siècle. « Qu’aujourd’hui les maladies et les virus prennent l’avion ». « Que soigner là-bas, c’est prévenir ici ».
D’ailleurs une enquête réalisée auprès de plus d’un millier de spécialistes du monde entier a fait apparaitre une nouvelle configuration de risques émergents : « -Les risques génétiques liés aux biotechnologies.
-Les effets combinés de contaminants chimiques ou toxiques sur les cancers et la reproduction.
-Les nouvelles maladies et nouveaux virus
-La croissance de l’incertitude scientifique et la désinformation.» Entre autres prévisions.
Eux ils avaient vu venir mais nos gouvernants n’ont pas su anticiper. Or depuis le début de ce siècle le monde savait qu’il devait se préparer, à faire face, à quelque chose d’inattendue.
Cependant nous n’avons rien fait pour prévenir .En attendant de vaincre le virus, protégeons nous, prenons soins de nous-mêmes. Car notre vie ou notre survie est mise en mal par quelque chose que nous n’arrivons pas à identifier.
Kaédi le 24 Décembre 2020
Oumar Lamine Diallo
Source : Oumar Lamine Diallo
Les défis liés aux changements climatiques, à la démographie galopante, à la gouvernance mondiale, entre autres, sont devenus des défis mineurs face aux défis de la crise sanitaire. Nous sommes face à un monde incertain et qui ressemble paradoxalement, comme un monde que nous avons voulu, que nous avons construit, selon nos désirs de, davantage, dompter la nature.
Certains pays, de l’Europe vieillissante, confrontés aux défis du déficit de la sécurité sociale, le coup des dépenses de la santé, l’explosion démographique voient leurs citoyens mourir par milliers. L’Europe doute et s’interroge L’Afrique se meurt et se cherche.
Le triangle dominant (constitué des États-Unis de la Chine et de la Russie) a été fortement touché. Une chose est sûre nous assistons aujourd’hui à une globalisation de la peur et même de la psychose d’une misère mondiale. A l’espace de quelques mois notre monde, a accouché d’un autre, selon une formule empruntée La question que l’on se posait hier où va le monde ? N’avait pas autant de gravité qu’elle en a aujourd’hui.
Jadis les réponses semblaient être plus optimistes les unes que les autres. On nous parlait de progrès scientifiques, d’avancées technologiques et de boom économique. On nous faisait même miroiter que « la possibilité de ne plus mourir de maladies mais du fait de l’âge pourrait être une des révolutions majeures du XXI Siècle ». Aujourd’hui à la question où va le monde ?
Aucun humain ne peut en apporter la réponse, c’est l’incertitude la plus totale, la remise en cause de toutes nos certitudes, de nos fausses certitudes j’allais dire. Un petit virus a instauré un nouvel ordre mondial en imposant la « démondialisation ».
La fameuse formule « restez chez vous » n’a pas la même résonnance pour ceux qui prennent la mer, que pour ceux qui cherchent à mettre le nez dehors, lors des couvre-feux. Ce virus, deshumanisant et désocialisant, a engendré un drame .Nous avons tous été témoins d’une calamité dont on à peur de nommer. Ce virus donne à réfléchir. Il a rompu les équilibres et laisse planer le doute. Il limite les libertés et bafoue les droits fondamentaux .Nous sommes face à un sujet qui nous a tout pris.
Cette pandémie, car c’est d’elle qu’il s’agit, nous a fait oublier toutes nos veilles peurs, nos peurs du siècle dernier, on oublie le réchauffement climatique, on oublie le terrorisme et j’en passe. Aujourd’hui seule la pandémie compte .Les interdits deviennent le permis.
Par exemple, porter un masque, dans une banque, entre autres actes, en temps normal prohibés. Quel monde avons-nous aujourd’hui ? Un monde de la peur, de la confusion et des paradoxes. Le mal est partout. On voit le mal partout : dans nos systèmes de santé, dans nos économies, dans nos modes de vie et dans nos rapports avec la nature. Alors le mal est devenu palnetaire.et la peur mondiale. Il n’y a plus d’axe du mal mais de monde du mal ou mal du monde, c’est selon. Nous assistons à une mort programmée de notre monde, par nos vices, nos vicissitudes et nos errements, mise en exécution par un virus porteur d’un mandat macabre. La recherche frénétique, d’un bien être à tout prix, à conduit à un mal être planétaire. Oui nous sommes responsables ! Comme disait l’autre : « Quand c’est urgent, c’est déjà trop tard ».
Il est fait état dans un riche document d’analyse et de Prospective : qu’Il y’a de cela plus deux décennies, les études de nombreux scientifiques, nous prédisaient l’apparition des virus émergents, des maladies émergentes et beaucoup d’autres inquiétudes de ce nouveau siècle. « Qu’aujourd’hui les maladies et les virus prennent l’avion ». « Que soigner là-bas, c’est prévenir ici ».
D’ailleurs une enquête réalisée auprès de plus d’un millier de spécialistes du monde entier a fait apparaitre une nouvelle configuration de risques émergents : « -Les risques génétiques liés aux biotechnologies.
-Les effets combinés de contaminants chimiques ou toxiques sur les cancers et la reproduction.
-Les nouvelles maladies et nouveaux virus
-La croissance de l’incertitude scientifique et la désinformation.» Entre autres prévisions.
Eux ils avaient vu venir mais nos gouvernants n’ont pas su anticiper. Or depuis le début de ce siècle le monde savait qu’il devait se préparer, à faire face, à quelque chose d’inattendue.
Cependant nous n’avons rien fait pour prévenir .En attendant de vaincre le virus, protégeons nous, prenons soins de nous-mêmes. Car notre vie ou notre survie est mise en mal par quelque chose que nous n’arrivons pas à identifier.
Kaédi le 24 Décembre 2020
Oumar Lamine Diallo
Source : Oumar Lamine Diallo