A Nouakchott, la capitale du voisin immédiat du Maroc, les points de départ terrestres vers Dakhla, Laâyoune, Agadir ou Casablanca se multiplient et refusent du monde.
Mohamed Lemine, chargé des opérations d’un garage situé près des jardins de la commune de Sebkha explique que, «dès que nous avons un nombre suffisant de candidats au voyage pour le Maroc, je saisis un chauffeur. Ces conducteurs utilisent de petites Toyota Avensis et des mini-cars. Nous expédions également des marchandises deux fois par semaine».
Mohamed ould Mohamed Lemine, ancien militaire, originaire de la ville d’Atar ajoute, «je fais ce trajet depuis 1998, bien avant le bitumage du tronçon Nouakchott-Nouadhibou».
Mohamed Beddy, commerçant, profite de ce service et précise ainsi, «je viens ici à Fadila Voyages International, pour envoyer des colis composés de bracelets, habits, diverses parures, destinés à des clients se trouvant à Dakhla et Laâyoune. J’effectue régulièrement ce genre d’opérations, toujours au même endroit».
Notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
Source : Afrique.le360.ma
Mohamed Lemine, chargé des opérations d’un garage situé près des jardins de la commune de Sebkha explique que, «dès que nous avons un nombre suffisant de candidats au voyage pour le Maroc, je saisis un chauffeur. Ces conducteurs utilisent de petites Toyota Avensis et des mini-cars. Nous expédions également des marchandises deux fois par semaine».
Mohamed ould Mohamed Lemine, ancien militaire, originaire de la ville d’Atar ajoute, «je fais ce trajet depuis 1998, bien avant le bitumage du tronçon Nouakchott-Nouadhibou».
Mohamed Beddy, commerçant, profite de ce service et précise ainsi, «je viens ici à Fadila Voyages International, pour envoyer des colis composés de bracelets, habits, diverses parures, destinés à des clients se trouvant à Dakhla et Laâyoune. J’effectue régulièrement ce genre d’opérations, toujours au même endroit».
Notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
Source : Afrique.le360.ma