Les menaces de Ahmed Yakhya Ould Lekwar de traduire en justice les personnes qui accusent son père de tortionnaire ont provoqué l’ire des victimes des années de braise, des figures de l’opposition mauritanienne de mouvements citoyens et d’organisations mauritaniennes des droits de l’homme ainsi que la société civile.
Au cœur de cette polémique le porte-parole des FPC qui ironise sur sa page Facebook avec son coup de sifflet qui relance la balle au centre des débats. Kaaw Touré ne doute pas que le candidat à la CAF ne peut être tenu responsable des crimes de son père mais quand il menace de porter plainte contre les victimes il est alors hors-jeu et devra aborder un autre match. Celui de la fameuse et fumeuse loi d’auto amnistie de 93 selon ses propres termes en persistant et signant qu’il s’agit d’un crime contre l’humanité.
A ce titre la présidente du collectif des veuves et orphelins considère que l’accusé père ancien directeur de la marine nationale est un tortionnaire et premier responsable des purges ethniques contre les officiers et sous-officiers de la marine nationale à Nouadhibou en 90.
En voulant défendre son père,Ould Lekwar est dans le déni et entre dans un registre de victime expiatoire qui est pointé du doigt.
En définitive le candidat à la CAF n’a rien avoir avec des crimes qu’il n’a pas commis. En revanche les orphelins, veuves, rescapés du génocide du régime de Ould Taya constituent la meilleure partie civile de tous les procès contre les criminels des années 86 à 92.
Cherif Kane
Coordinateur journaliste
Source: https://kassataya.coom
Au cœur de cette polémique le porte-parole des FPC qui ironise sur sa page Facebook avec son coup de sifflet qui relance la balle au centre des débats. Kaaw Touré ne doute pas que le candidat à la CAF ne peut être tenu responsable des crimes de son père mais quand il menace de porter plainte contre les victimes il est alors hors-jeu et devra aborder un autre match. Celui de la fameuse et fumeuse loi d’auto amnistie de 93 selon ses propres termes en persistant et signant qu’il s’agit d’un crime contre l’humanité.
A ce titre la présidente du collectif des veuves et orphelins considère que l’accusé père ancien directeur de la marine nationale est un tortionnaire et premier responsable des purges ethniques contre les officiers et sous-officiers de la marine nationale à Nouadhibou en 90.
En voulant défendre son père,Ould Lekwar est dans le déni et entre dans un registre de victime expiatoire qui est pointé du doigt.
En définitive le candidat à la CAF n’a rien avoir avec des crimes qu’il n’a pas commis. En revanche les orphelins, veuves, rescapés du génocide du régime de Ould Taya constituent la meilleure partie civile de tous les procès contre les criminels des années 86 à 92.
Cherif Kane
Coordinateur journaliste
Source: https://kassataya.coom