Présidence de la CAF: tensions autour de l’éligibilité des candidats

Ahmed Yahya, l’un des cinq candidats déclarés à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), a critiqué la CAF après que celle-ci ait jugé sa candidature recevable mais « nécessitant des vérifications complémentaires ». Le Mauritanien est dans le même cas que le Sud-Africain Patrice Motsepe, tandis que le dossier du patron sortant, Ahmad, a été retoqué. Pour l’heure, seuls le Sénégalais Augustin Senghor et l’Ivoirien Jacques Anouma sont autorisés à se présenter le 12 mars 2021.



Présidence de la CAF: tensions autour de l’éligibilité des candidats
La tension monte au sujet de l’élection du président de la Confédération africaine de football (CAF) prévue le 12 mars 2021 à Rabat. Ahmed Yahya, l’un des cinq prétendants au poste, hausse le ton, après avoir vu sa candidature jugée par la CAF recevable mais « nécessitant des vérifications complémentaires ».

Il menace l’instance basée au Caire « d’engager toute action judiciaire et administrative […] pour assurer la protection de [ses] intérêts » dans ce processus qu’il juge marqué par de « graves dysfonctionnements ».

Changement de ton radica
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Voilà un revirement à 180 degrés. En effet, le 7 janvier, le Mauritanien, comme le Sud-Africain Patrice Motsepe, avait appris que son dossier était mis en attente jusqu’au 28 janvier, date d’une audition organisée par la Commission de gouvernance de la CAF.

Le 8 janvier, le patron de la Fédération de football de la République islamique de Mauritanie (FFRIM) s’était même « [félicité] du fait que [sa] candidature ait été jugée recevable ». Il avait également indiqué qu’il « [répondrait] avec enthousiasme à l’audition organisée au Caire ».

Source: https://www.rfi.fr

Jeudi 28 Janvier 2021
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