La tension monte au sujet de l’élection du président de la Confédération africaine de football (CAF) prévue le 12 mars 2021 à Rabat. Ahmed Yahya, l’un des cinq prétendants au poste, hausse le ton, après avoir vu sa candidature jugée par la CAF recevable mais « nécessitant des vérifications complémentaires ».
Il menace l’instance basée au Caire « d’engager toute action judiciaire et administrative […] pour assurer la protection de [ses] intérêts » dans ce processus qu’il juge marqué par de « graves dysfonctionnements ».
Changement de ton radica
l
Voilà un revirement à 180 degrés. En effet, le 7 janvier, le Mauritanien, comme le Sud-Africain Patrice Motsepe, avait appris que son dossier était mis en attente jusqu’au 28 janvier, date d’une audition organisée par la Commission de gouvernance de la CAF.
Le 8 janvier, le patron de la Fédération de football de la République islamique de Mauritanie (FFRIM) s’était même « [félicité] du fait que [sa] candidature ait été jugée recevable ». Il avait également indiqué qu’il « [répondrait] avec enthousiasme à l’audition organisée au Caire ».
Source: https://www.rfi.fr
Il menace l’instance basée au Caire « d’engager toute action judiciaire et administrative […] pour assurer la protection de [ses] intérêts » dans ce processus qu’il juge marqué par de « graves dysfonctionnements ».
Changement de ton radica
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Voilà un revirement à 180 degrés. En effet, le 7 janvier, le Mauritanien, comme le Sud-Africain Patrice Motsepe, avait appris que son dossier était mis en attente jusqu’au 28 janvier, date d’une audition organisée par la Commission de gouvernance de la CAF.
Le 8 janvier, le patron de la Fédération de football de la République islamique de Mauritanie (FFRIM) s’était même « [félicité] du fait que [sa] candidature ait été jugée recevable ». Il avait également indiqué qu’il « [répondrait] avec enthousiasme à l’audition organisée au Caire ».
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