La femme en question s’appelle Moima, Selon Aziza Brahim, la coordinatrice de SOS Esclaves dans l’Adrar, qui relate le récit d’une membre de l’ONG à Ouadane, Moima, 56 ans, aurait fait partie de la dot dans une cérémonie de mariage qui a eu lieu dans la même ville.
“Les personnes impliquées dans cette pratique d’esclavage se sont présentées à leurs locaux d’Atar pour se plaindre de la divulgation de l’affaire d’Ouadane et affirmer, en présence de témoins, ici présents, que Moima est leur esclave”, explique-t-il. Cad qu’ils ont eu le toupet de venir dire à des abolitionnistes pourquoi ils ont divulguer l’affaire et ensuite reclamer que la femme est leur esclave.
Source : Aganisha
“Les personnes impliquées dans cette pratique d’esclavage se sont présentées à leurs locaux d’Atar pour se plaindre de la divulgation de l’affaire d’Ouadane et affirmer, en présence de témoins, ici présents, que Moima est leur esclave”, explique-t-il. Cad qu’ils ont eu le toupet de venir dire à des abolitionnistes pourquoi ils ont divulguer l’affaire et ensuite reclamer que la femme est leur esclave.
Source : Aganisha