Les partis membres du congrès de l’internationale socialiste ont invité hier le régime la mauritanien à ne pas tenter de modifier la constitution, en l’absence d’un consensus national, ajoutant qu’ils suivent avec une grande inquiétude les derniers développements sur la scène politique en Mauritanie.
A l’issue de ses travaux hier à Cartagena, en Colombie, le congrès a adopté une recommandation de soutien la lutte politique des partis et tous les dirigeants d’opinion et les organisations de la société civile hostiles aux amendements constitutionnels attendus, et particulièrement le rassemblement des forces démocratiques (RFD).
Le communiqué final accuse le régime mauritanien de vouloir dénaturer la constitution du pays et la tailler sur mesure en soumettant des amendements à deux chambres parlementaires illégales, le mandat de l’une d’elle, le sénat, depuis longtemps expiré, et une assemblée nationale élue dans des conditions loin d’être transparentes, une élection caractérisée par le boycott d’une grande partie de l’opposition, selon le texte.
Le communiqué ajoute que ces amendements constitutionnels sacrifient ce qui reste des symboles de l’unité nationale et retardent la mise en place d’un état de droit, réaffirmant que l’objectif visé par le pouvoir en voulant faire adopter les amendements constitutionnels est d’échapper aux poursuites prévisibles de sa mauvaise gestion politique, économique et sociale du pays.
Le congrès a renouvelé le mandat du président Georges Papandréou à la tête de l’organisation et reconduit par ailleurs le président du RFD, Ahmed O. Daddah au poste de vice-président.
Source:http://fr.saharamedias.net
A l’issue de ses travaux hier à Cartagena, en Colombie, le congrès a adopté une recommandation de soutien la lutte politique des partis et tous les dirigeants d’opinion et les organisations de la société civile hostiles aux amendements constitutionnels attendus, et particulièrement le rassemblement des forces démocratiques (RFD).
Le communiqué final accuse le régime mauritanien de vouloir dénaturer la constitution du pays et la tailler sur mesure en soumettant des amendements à deux chambres parlementaires illégales, le mandat de l’une d’elle, le sénat, depuis longtemps expiré, et une assemblée nationale élue dans des conditions loin d’être transparentes, une élection caractérisée par le boycott d’une grande partie de l’opposition, selon le texte.
Le communiqué ajoute que ces amendements constitutionnels sacrifient ce qui reste des symboles de l’unité nationale et retardent la mise en place d’un état de droit, réaffirmant que l’objectif visé par le pouvoir en voulant faire adopter les amendements constitutionnels est d’échapper aux poursuites prévisibles de sa mauvaise gestion politique, économique et sociale du pays.
Le congrès a renouvelé le mandat du président Georges Papandréou à la tête de l’organisation et reconduit par ailleurs le président du RFD, Ahmed O. Daddah au poste de vice-président.
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