Des milliers de Togolais ont manifesté ce samedi 6 février 2010 dans les rues de Lomé, pour protester contre la décision de la Confédération africaine de football, la CAF, de suspendre l'équipe nationale du Togo des deux prochaines coupes d'Afrique des nations. Des sanctions controversées décrétées par l’instance suprême du foot africain après le rappel par Lomé, des joueurs togolais de la CAN 2010 en Angola suite à l'attaque de leur convoi au Cabinda au cours de laquelle deux membres de l'encadrement de l'équipe ont perdu la vie.
C’est une foule faite de personnalités de tous âges venue des associations de la société civile. A la limite déchaînée, cette foule criait sa rage contre la décision de la Confédération africaine de football de suspendre le Togo des deux prochaines compétitions de la Coupe d’Afrique des nations.
Une décision assortie d’une amende de 50 000 dollars, environ 25 millions de francs CFA. A cette décision, la foule enragée qui a parcouru les rues de Lomé ce samedi, crie à l’injustice, au scandale.
Elle s’en prend au président de la CAF dont elle brûle au passage un poster le représentant. Jusqu’au stade municipal, les manifestants ont crié : « Hayatou démission ». Puis, après cette marche de près de deux heures trente, les manifestants ont fait une déclaration dans laquelle ils demandent l’annulation pure et simple de la décision. Ils réclament également des dommages et intérêts à hauteur du préjudice subi par les familles des victimes, les joueurs et le pays tout entier.
Source: RFI
C’est une foule faite de personnalités de tous âges venue des associations de la société civile. A la limite déchaînée, cette foule criait sa rage contre la décision de la Confédération africaine de football de suspendre le Togo des deux prochaines compétitions de la Coupe d’Afrique des nations.
Une décision assortie d’une amende de 50 000 dollars, environ 25 millions de francs CFA. A cette décision, la foule enragée qui a parcouru les rues de Lomé ce samedi, crie à l’injustice, au scandale.
Elle s’en prend au président de la CAF dont elle brûle au passage un poster le représentant. Jusqu’au stade municipal, les manifestants ont crié : « Hayatou démission ». Puis, après cette marche de près de deux heures trente, les manifestants ont fait une déclaration dans laquelle ils demandent l’annulation pure et simple de la décision. Ils réclament également des dommages et intérêts à hauteur du préjudice subi par les familles des victimes, les joueurs et le pays tout entier.
Source: RFI