B.A, 21 ans, est fille d’une famille aisée habitant le quartier chic de Las Palmas à Tevragh-Zeïna (Nouakchott). Elle est inscrite dans un lycée privé réputé de la place. Ses parents paient cher mais tiennent, coûte que coûte, à ce qu’elle passe en classe terminale. Mais B.A, fille gâtée, n’a apparemment que faire des soucis de ses parents.
Elle mène sa vie librement en dehors de la maison. A l’école, quand elle décide d’y aller, c’est pour provoquer les âmes sensibles au corps féminin. Elle est toujours décolletée. Avec elle, c’est souvent du « Dioumbakh Out » qui laisse pointer presque à l’air libre son nombril.
Ce genre d’habillement qui heurte la conscience de certains professeurs, a toujours été dénoncé à la direction de l’école. Plus grave, B.A non seulement suivait les cours, écouteurs du portable à l’oreille, mais ne se privait pas de montrer des scènes obscènes de pornographie de son écran portable à des voisines de table banc.
Le directeur du lycée, assailli de plaintes d’enseignants et d’élèves, décida d’en référer d’abord aux parents de l’élève dont le père est un puissant baron du régime en place. Ceux-là à leur tour sermonnèrent leur fille mais rien n’y fera. B.A continuait à afficher sa liberté jusqu’au jour où, en plein cour, elle est prise de vomissements.
Le père de B.A est alerté immédiatement. Elle fut gardée jusqu’à l’arrivée de ses géniteurs. C’était, le jeudi dernier en milieu de matinée. Une fois sur place, le directeur du lycée reçoit en privé le père et lui propose de conduire la fille dans une clinique privée d’un ami où elle pourrait être consultée discrètement, la facture étant à sa charge.
Les parents acceptent et ainsi B.A est conduite à la clinique en question. Une rapide consultation conclue à un début de grossesse. A peine la sage-femme a-t-elle terminé de parler, le puissant baron tombe en syncope. Il est étalé sur un lit et le médecin de la clinique se charge de le ranimer. La mère qui ne se doutait de rien, reçoit un coup de fil l’informant de la situation de son mari.
Elle se rend immédiatement à la clinique où elle retrouve sa fille recroquevillée sur elle-même, toute en larmes, et son mari qui venait de reprendre ses esprits. Le climat était très lourd déjà, mais quand le baron explique à la maman ce qui est arrivé à sa fille, elle s’affaisse à son tour. Pendant que l’infirmier coure aviser le médecin, B.A visiblement paniquée, en profite pour filer à l’anglaise.
Du coup, personne ne remarque qu’elle a quitté les lieux. Quand la mère se réveille et qu’il faut rentrer à la maison, B.A reste introuvable. Les parents désemparés retournent à la maison non sans avoir demandé au médecin de la clinique de garder le silence total sur cette affaire qui ne devait en aucun cas s’ébruiter. Commence alors une recherche discrète de la fille.
Certains intimes de la famille sont mis au parfum. Mais les élèves de l’école ne se doutent pas que B.A est en état de grossesse. De qui ? La question est posée ! Des noms sont ébruités jusque dans le personnel d’encadrement du lycée. Parce que B.A est encore introuvable pour tenter de la faire parler.
Jusqu’à ce jour, les parents continuent leur recherche, pour retrouver leur fille. Aux dernières nouvelles, elle serait hors du pays, protégé par son amoureux dont l’origine sociale n’aurait pas permis leur mariage parce que forgeron.
(Affaire à suivre)
Source : cridem.
Elle mène sa vie librement en dehors de la maison. A l’école, quand elle décide d’y aller, c’est pour provoquer les âmes sensibles au corps féminin. Elle est toujours décolletée. Avec elle, c’est souvent du « Dioumbakh Out » qui laisse pointer presque à l’air libre son nombril.
Ce genre d’habillement qui heurte la conscience de certains professeurs, a toujours été dénoncé à la direction de l’école. Plus grave, B.A non seulement suivait les cours, écouteurs du portable à l’oreille, mais ne se privait pas de montrer des scènes obscènes de pornographie de son écran portable à des voisines de table banc.
Le directeur du lycée, assailli de plaintes d’enseignants et d’élèves, décida d’en référer d’abord aux parents de l’élève dont le père est un puissant baron du régime en place. Ceux-là à leur tour sermonnèrent leur fille mais rien n’y fera. B.A continuait à afficher sa liberté jusqu’au jour où, en plein cour, elle est prise de vomissements.
Le père de B.A est alerté immédiatement. Elle fut gardée jusqu’à l’arrivée de ses géniteurs. C’était, le jeudi dernier en milieu de matinée. Une fois sur place, le directeur du lycée reçoit en privé le père et lui propose de conduire la fille dans une clinique privée d’un ami où elle pourrait être consultée discrètement, la facture étant à sa charge.
Les parents acceptent et ainsi B.A est conduite à la clinique en question. Une rapide consultation conclue à un début de grossesse. A peine la sage-femme a-t-elle terminé de parler, le puissant baron tombe en syncope. Il est étalé sur un lit et le médecin de la clinique se charge de le ranimer. La mère qui ne se doutait de rien, reçoit un coup de fil l’informant de la situation de son mari.
Elle se rend immédiatement à la clinique où elle retrouve sa fille recroquevillée sur elle-même, toute en larmes, et son mari qui venait de reprendre ses esprits. Le climat était très lourd déjà, mais quand le baron explique à la maman ce qui est arrivé à sa fille, elle s’affaisse à son tour. Pendant que l’infirmier coure aviser le médecin, B.A visiblement paniquée, en profite pour filer à l’anglaise.
Du coup, personne ne remarque qu’elle a quitté les lieux. Quand la mère se réveille et qu’il faut rentrer à la maison, B.A reste introuvable. Les parents désemparés retournent à la maison non sans avoir demandé au médecin de la clinique de garder le silence total sur cette affaire qui ne devait en aucun cas s’ébruiter. Commence alors une recherche discrète de la fille.
Certains intimes de la famille sont mis au parfum. Mais les élèves de l’école ne se doutent pas que B.A est en état de grossesse. De qui ? La question est posée ! Des noms sont ébruités jusque dans le personnel d’encadrement du lycée. Parce que B.A est encore introuvable pour tenter de la faire parler.
Jusqu’à ce jour, les parents continuent leur recherche, pour retrouver leur fille. Aux dernières nouvelles, elle serait hors du pays, protégé par son amoureux dont l’origine sociale n’aurait pas permis leur mariage parce que forgeron.
(Affaire à suivre)
Source : cridem.