Nous venons d'apprendre par l'intermédiaire de nos amis de Nouakchott que des anciens militaires en France ont envoyé un émissaire pour voir le général Abdel Aziz pour lui parler de notre désaccord sur le faux règlement du passif humanitaire engagé entre lui et le COVIRE.
Il s'avère que dans la précipitation des camarades malgré leur volonté de vouloir un règlement digne de ce nom utilisent des méthodes et moyens rudimentaires ne pouvant nous mener au succès.
Il s'agit de l'envoi ce Mercredi 04 Février 2010 d'un ex Officier au nom de la diaspora en France pour cette question du passif humanitaire , qui a tout point de vue à une dimension nationale dépassant de loin la sphère de la diaspora en Europe et le clivage des partis politiques, ONG voire d' ethnies en Mauritanie
C'est pourquoi, notre Organisation la Coordination des Anciens Militaires en Exil (CAMME) se désolidarise complètement de cette démarche et fait remarqué qu'elle n 'a envoyé personne à Nouakchott, pour parler en son nom.
La CAMME composée exclusivement d'"anciens militaires ,de veuves et d' orphelins refuse toute instrumentalisation de ce dossier et invite tous les acteurs à plus de patience, de sérieux, de méthode et surtout de conviction face à la volonté de sabordage et de liquidation volontaire des droits des victimes par tous ceux qui gravitent autour de ce dossier qui nous est pourtant tous cher par sa complexité et sa dimension humaine puisqu’il s’agit de crimes et de traitements inhumains et dégradants commis dans une barbarie totale.
La CAMME comme par le passé reste « droite dans ses bottes « jusqu'à une vraie volonté politique qui engagerait toutes les parties sans amateurisme ni précipitation ni division.
Cette nième rencontre en catimini avec le général n'engage nullement pas notre communauté de victimes c’est le pourquoi de notre communiqué d’aujourd’hui pour plus de clarté dans l'esprit de nos adhérents et sympathisants.
Pour le bureau exécutif de la CAMME
Le Chargé des relations extérieures
Mr Gangué Mamadou
Il s'avère que dans la précipitation des camarades malgré leur volonté de vouloir un règlement digne de ce nom utilisent des méthodes et moyens rudimentaires ne pouvant nous mener au succès.
Il s'agit de l'envoi ce Mercredi 04 Février 2010 d'un ex Officier au nom de la diaspora en France pour cette question du passif humanitaire , qui a tout point de vue à une dimension nationale dépassant de loin la sphère de la diaspora en Europe et le clivage des partis politiques, ONG voire d' ethnies en Mauritanie
C'est pourquoi, notre Organisation la Coordination des Anciens Militaires en Exil (CAMME) se désolidarise complètement de cette démarche et fait remarqué qu'elle n 'a envoyé personne à Nouakchott, pour parler en son nom.
La CAMME composée exclusivement d'"anciens militaires ,de veuves et d' orphelins refuse toute instrumentalisation de ce dossier et invite tous les acteurs à plus de patience, de sérieux, de méthode et surtout de conviction face à la volonté de sabordage et de liquidation volontaire des droits des victimes par tous ceux qui gravitent autour de ce dossier qui nous est pourtant tous cher par sa complexité et sa dimension humaine puisqu’il s’agit de crimes et de traitements inhumains et dégradants commis dans une barbarie totale.
La CAMME comme par le passé reste « droite dans ses bottes « jusqu'à une vraie volonté politique qui engagerait toutes les parties sans amateurisme ni précipitation ni division.
Cette nième rencontre en catimini avec le général n'engage nullement pas notre communauté de victimes c’est le pourquoi de notre communiqué d’aujourd’hui pour plus de clarté dans l'esprit de nos adhérents et sympathisants.
Pour le bureau exécutif de la CAMME
Le Chargé des relations extérieures
Mr Gangué Mamadou
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